3.1 Les Monstres intérieurs

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Ce "quoi que je dise", tu l'entends comment ?

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À partir du moment où sont manquants le contexte et l'histoire de ton exposition-dévoilement sur ces différents forums - ou ce que je nommerais : une seconde "forme", après la première, qui est une totalité signifiante en tant qu'elle se tentait comme une seconde naissance -, tu t'es trouvé pris, gelé dans la perception que de nouveaux lecteurs ont pu avoir de cette partie incomplète et donc inexacte de toi-même. Après quoi, tout ce que (rs) tu as pu dire n'a pu être interprété et entendu que comme des tentatives d'autojustification nourrissant symétriquement une pensée du soupçon et un... procès. Mais ne rien dire également...

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Je comprend.

Je suis assez remué et, concrètement dans ma vie, déstabilisé par ce bilan qui émerge - et ce "fonctionnement" ne date pas d'hier. Pour l'instant je suis... out. Il n'y a pas d'autres mots et il en faudra néanmoins.

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Je me permet d'ajouter par-delà ta double-barre: ne reste pas cloîtré chez toi. Sors et ne te durci pas face aux impressions fondées ou non d'allusions déplacées ou de regards pénétrants. Même si ce lieu venait à disparaître, ton âme t'appartient et travaille, par le verbe, à retisser ton intégrité.

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Ok.

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Ce qui précède appelle pour moi nécessaires précisions. Une lecture superficielle - caricaturale - pourrait dire ce qui suit - je l'entend déjà comme s'arrogeant satisfaite confirmation, dans mes mots, de ce qu'elle pense avoir toujours dit, su, cru, conclu. Or - et qui ne peut que l'agacer et lui préférer m'opposer en bloc, en vrac, le non-argumentaire d' "intellectualisme" au lieu d'admettre ou d'envisager possibilité de sa limite - ce n'est aucunement ce que j'ai dit...

"En somme" - m'opposerait ce lecteur qui ne comprend rien à rien, et au fond à qui je ne peux en vouloir -

1. tout ceci pour dire que ce monsieur n'avait qu'à pas - haaaa, le YAKA et le YAKAPAS, c'est vrai que ça c'en est une pensée profonde - se laisser parler au-delà de ce qu'il souhaitait / avait décidé / pouvait décider par avance ou en cours de sa longue route. Personne d'ailleurs ne l'a obligé et s'il s'en sentirait mal, par suite, il n'aurait qu'à s'en prendre à lui-même.

2. Son "retissage" d'une pseudo "âme" par de simples mots est étrange car les faits sont les faits.

1. Hé ben non

- chère âme simple pour ne pas dire âme simplissime, vous ne m'avez pas bien lu, désolé de devoir humblement vous le faire remarquer -,

car l'humilité n'est pas toujours là où l'on croit, mais plutôt là où l'on continue de croître.

2. Hé ben non

- etc. -,

car ce dont il est ou serait question, justement, se situerait dans une interface entre conscience et matière, et où donc - et pardon de l'apparente énormité de la chose mais vous revient de vous cultiver ou de tourner les talons en me traitant d'illuminé... et qui est parfaitement votre droit - serait en jeu un travail concret sur nos physicalités.

La "méditation", par exemple, ne serait pas réservée aux gourous et aux sectes et peut-être d'ailleurs que sans le savoir vous vous en approchez; l'écriture ne serait pas d'avantage réservée aux oisifs imaginatifs car vous-même, au café du commerce et même en ne vous parlant qu'à vous-même - ou à qui vous croyez être -, vous n'imaginez pas à quel point ces vibrations que vous émettez dans l'air ou dans l'éther sculptent votre destinée.

Pour parler plus concrètement, cette importance du langage aurait rapport, rien de moins, avec votre physicalité en tant que fondée sur votre racine informationnelle - ou ADN - qui possède toujours la souplesse nécessaire pour que vous vous souveniez de qui vous êtes vraiment.

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Pour le reste, désolé, mais aujourd'hui je ne peux dire mieux.

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As-tu une traduction de l'émergence, dans le fil consacré à Hildegarde, de cette chanson nommée "Le troisième sexe" ?

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Hildegarde, c'est ma mère biologique en tant que première femme de ma vie - empreinte ayant forgé comme question vitale la recherche d'un tiers, d'une différence viable qui me permette de me "séparer" d'elle.

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Et ?

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Quatre vidéos d'affilée se structurent autour du nom YHVH - Anu, selon Anton Parks et James Mahu, c'est-à-dire une dualité catastrophique à l'origine de nos guerres de religions / de nos cultures patriarcales soumettant la femme et manquant simultanément l'intégration du féminin. Comme posée en vis-à-vis ayant cessé d'être compréhensible, pour moi, face à cette relecture historique, la lecture principielle ou qabalistique m'ayant conduit avec urgence sur le site antahkarana...