4.3 Une naissance difficile, et pourtant...

Puisque ce lieu j'avais souhaité pour "témoignages" et que je suis à nouveau dans le cirage, peut-être serait-il utile que j'en parle - je ne parle pas de profession de foi genre "Ce que je crois", mais de dire aux grenouilles d'anti-bénitier que la réalité peut tout de même, éventuellement, être plus riche et plus complexe que ce à quoi elles prétendent faire objection. Comme si leur regard tourné vers ce ciel d'obscurité et le gouffre qui les sépare de cette Tromperie qui s'est nommée croyance, religion, morale, ne pouvait que définitivement circonscrire la totalité du réel. Lequel, éventuellement, comme cette image reproduite des icônes 5 et 6, pouvait présenter un ciel inspiré qui nous parle SOUS le niveau de notre "conscience".

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Je pense, voyant cette image reproduite, que plutôt qu'un ciel, elle pourrait représenter une surface d'eau en laquelle, dans une remontée, apparaîtrait près de la surface qui se rapproche une percée de lumière





et qui me fait penser à un poème que tu avais repris dans Les Monstres:




https://resonances.forumactif.com/t168p686-3-1-les-monstres-interieurs#4489

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Je n'ai plus retrouvé l'adresse de la vidéo que j'avais mis sur ce site "de psychologie" et qu'ils ont effacé. Après un spectacle magique, remontée ? un peu avant la fin. Et qui était exactement cette image là.


Je m'aperçois que je ne connais pas les autres textes-poèmes des wingmakers - absolument magnifiques:

http://wingmakers.exprimetoi.net/t66-la-poesie-des-wingmakers

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Donc tu disais

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Je disais que, m'attelant à tenter de préparer une réponse écrite à un tissu d'âneries; ce qui exigeait de réunir des documents; ce que faisant et rajoutant à un tas déjà bien monticulé - un ignoble compost dans un jardin abandonné - je faisais suivre d'un énième commencement de texte; ce qui me conduisait finalement vers ma capitulation, mon sommeil et ré-émergence avec ces mots apparus: 

"NON CROYANCE"

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Comment les avais-tu traduit ?

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Ma nouvelle tentative d'écriture me conduisait à prendre le contre-pied des assertions inconsistantes de la dame - on pourrait dire en étant encore très en-dessous de la vérité: caricaturales. Ce faisant - prenant ses inepties au sérieux -, je donnais du poids à ce qui n'en méritait pas et me laissais contaminer par un esprit bien conforme à ce qui "brille" dans les palais dit de "justice" et qui est une faconde, d'une part, pour les "conclusions" des dites "parties adverses", et bien entendu l'attitude fondamentale, de base, qui est l'esprit de polémique.

J'ai traduis déjà basiquement que m'était dit que la direction dans laquelle je me dirigeais et que je viens d'évoquer n'était pas la bonne,

mais que d'autre part, je refusais d'être "croyant" dans un sens fort du terme qui était de ne pas vouloir voir des évidences, bien que non dites explicitement, voire apparemment contradictoires avec un texte lu au premier degré - comme les croyants fondamentalistes qui assènent que n'existe qu'une et une seule possibilité de traduction à la citation hors contexte d'un lambeau de texte arraché à la globalité.

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Par exemple ?

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Je pense, constate, qu'en poursuite de ce que j'ai déjà signalé dans le couloir et qui paraissait être une utilisation d'images empruntées à mon univers onirique-symbolique, dans les annexes du "dépôt de conclusions" de la dame figurent deux photos.

Ce qui, pour annihiler le potentiel extrêmement toxique, destructeur de ce document pris au premier degré, me fait maintenant associer avec ce passage sur ce site:

... les images pensant plus loin que la pensée, par le monde mystérieux des formes qui disent sans dire, qui relancent la pensée par rappel du langage de la vie.

https://resonances.forumactif.com/t181p476-3-3-la-connaissance-protege-l-ignorance-expose-au-peril#5722

Il s'agit de deux photos prises de mon piano. 

L'une quand il était tourné clavier face au mur et "foulard" (une couverture) soigneusement ajusté "sur sa tête". Cette photo est faite en noir et blanc. Il émane d'elle une impression de pauvreté, de tristesse et de désolation.

L'autre quand, découvrant le foulard arraché et le clavier maculé d'un relief de repas - pour énoncer le saccage en des termes agréables à l'oreille -, j'avais retourné le clavier avec le forfait dévoilé au grand jour et aux yeux de tous. J'avais constaté que, par suite, les "cadeaux" avaient été tout aussi anonymement retirés - témoignages vivants de bonnes relations de voisinage. Cette photo - prise après l'incident -, est en couleur - un piano / pianiste / compositeur / chanteur qui ne se couvre plus d'un voile d'ignorance, pourrait-on dire.

Je crois utile, pour d'éventuelles lectures perverses, de préciser que cette traduction de cet incident en un sens symbolique ne constitue en rien un encouragement adressé à quiconque pour considérer que les victimes n'obtiennent que ce qu'elles méritent - ce qui est tout de même fournir un alibi commode aux dénégateurs de responsabilités jamais pour eux, mais selon eux, devant toujours revenir aux autres. 

Je parle de spécialistes de la débinade - déjà signalé ici et ailleurs - qui eux / elles aussi, à leur manière, se posent à peine en victimes qui n'ont rien vu rien fait. À peine si on ne les aurait pas enrôlé de force, les pooovres.

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Voile d'ignorance ?