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Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale et falsification

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Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale  et  falsification Empty Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale et falsification

Message  la baleine Mer 23 Déc - 21:32

Source:

http://www.la-grande-revelation.com/archeologie-et-prehistoire-censure-et-falsification-a1784888

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Par VESONE dans Bienvenue sur le blog de "La Grande Révélation" ! le 13 Octobre 2010 à 16:39

CHAPITRE 10-12                  

ARCHEOLOGIE, PREHISTOIRE, ANTHROPOLOGIE : CENSURE GENERALE  ET  FALSIFICATION

Dans ce domaine, aussi, la pensée unique conforme au consensus sur l’ordre établi exclut toute exploration hors dogme. Les chercheurs qui s’y hasarderaient sont immédiatement privés de tribune et de budget. Nos origines lointaines ne doivent absolument pas être connues et en aucun cas l'inavouable identité de nos créateurs. Ils font tout pour que nous les considérions comme les émanations du seul Dieu Unique et Source de tout. Mais nous sommes aujourd’hui entrés dans le temps de la grande révélation, tel est le sens du mot Apocalypse. Ce n’est donc pas la fin du monde matériel, mais la fin de l’arnaque et de l’usurpation. Des textes très anciens récemment décryptés disent ceci : « Nous les fils d’Adam sommes historiquement les descendants génétiques des Déesses Mères Cosmiques qui ont été capturées et contraintes de nous créer sous la domination agressive de puissants prédateurs reptiliens et de leurs clones appelés Annunakis. Après avoir gagné une longue guerre céleste, ils étaient en cavale dans l’univers et à la recherche d'une planque agréable. Comme ils sont immortels et multidimensionnels, il leur était facile de nous leurrer par l’intermédiaire de leurs sbires humains et semi-humains. Voilà ce que devrait savoir demain Monsieur tout-le-monde pour tourner la page et élargir sa conscience au-delà de la culpabilité qui lui a été mise sur le dos grâce à l’invention d’une faute originelle. Pour que cette méga imposture ne soit pas connue de la masse grouillante des fils d’Adam, depuis les temps les plus reculés, notre culture historique, archéologique, préhistorique et anthropologique est soumise à un régime de censure générale concernant toute découverte sur la période antédiluvienne de notre Genèse. Que s'est-il passé sur notre planète avant le déluge? Réponse enseignée, rien ou presque selon les académiciens. Même quand j’étais enfant et sans culture, mon instinct me disait que cette longue préhistoire ne pouvait correspondre à la réalité, car j’avais en moi d’autres souvenirs qui surgissaient dans mes rêves. Aujourd’hui des chercheurs inspirés comme Anton Parks, égyptologue et traducteur des plaquettes sumériennes, souligne sans plus se cacher la censure mondiale des autorités officielles pour effacer toute trace des civilisations antédiluviennes. Voilà pourquoi il a bien fallu que ces mêmes autorités créent de toutes pièces des textes fondateurs crédibles afin de répondre à la curiosité du public et pouvoir affirmer que notre histoire ne commençait qu’après le dernier déluge avec Noé. Avant, il n’y avait donc rien eu, si ce n’est quelques peuples primitifs et nomades sans civilisation organisée. Circulez, s’il vous plait, il n’y a rien à voir. Telle était cette fameuse préhistoire, immensément longue puisqu’elle aurait duré 300.000 ans et plus. Le monothéisme forcé devenait un impératif stratégique. C’est-à-dire bien laver le cerveau de tous en forgeant l’idée de Qui était le vrai et unique Patron et pourquoi ? Sans la crainte de cette autorité menaçante, le peuple aurait été ingouvernable, dirons ceux qui commencent à douter cependant de l’honnêteté de nos académiciens et à leur chercher des excuses. Ce grand mensonge était donc un mal pour un bien diront les Jésuites. Notre histoire officielle ne serait donc que des fables pour faire tenir les enfants humains tranquilles, une sorte de mensonge bienveillant. Tant de sollicitude n’est-elle pas attendrissante ? Aujourd’hui, certes, l’effondrement radical des connaissances acquises risquerait d’entraîner des changements brutaux de conscience et donc de comportement. Les psychothérapeutes appellent cet accident : décompensation psychique. Les sociologues disent que cet effondrement culturel serait un ethnocide, c'est-à-dire un suicide de notre identité collective. Mais la validation actuelle de découvertes révolutionnaires récentes annule déjà, pour notre jeune génération, la valeur fondamentale des enseignements traditionnels. Les dés sont jetés comme vous allez le découvrir et le point de non retour a été atteint.




Nous étions déjà là il y a 600 millions d’années

Afin que le lecteur puisse ici prendre conscience de l’étendue de la manipulation dont il est question, je prendrais pour exemple un article de la revue NEXUS de juillet 2008. C’est le n° 57 page 34. Vous y découvrirez l’interview par Laura Lee du chercheur, hélas marginalisé, Michael Crémo. Le titre de l’article est celui-ci : « Nous étions là il y a 600 millions d’années ». Après la publication en 2002 de son livre « histoire secrète de l’espèce humaine » coécrit avec le docteur Richard Thomson, le chercheur Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie, même si ces découvertes ne bénéficièrent jamais d’aucune publicité officielle. Il faut oser ! Lors de cette interview accordée en 1995 à la journaliste Laura Lee, il explique comment il en est arrivé à la certitude prouvée que le modèle de la préhistoire humaine sur lequel nous nous reposons depuis 200 ans est volontairement erroné. Il en veut pour preuve d’avoir trouvé la trace humaine la plus ancienne qui est une empreinte de chaussure. Elle fut découverte à Antelope Spring, dans l’Utah, aux USA en 1968. Cette empreinte remonte au cambrien soit environ 500 millions d’années. Cet auteur cite aussi ce magnifique vase métallique qui a été retrouvé dans des roches du précambrien à Dorchester (UK). Il a reçu une datation officielle au-delà de 600 millions d’années. Il nous signale aussi que des empreintes trouvées en Afrique et datant de 3,6 millions d’années ne sont pas du tout celles d’un pied d’australopithèque comme l’archéologie officielle a voulu le faire croire, mais bien celles d’un homme moderne. Il énumère de même le plus ancien objet connu à ce jour, une sphère métallique cannelée, découverte en Afrique du Sud. On en a trouvé beaucoup d’autres, parfaitement sphériques et métalliques en alliage inconnu, quelques unes avec des cannelures au niveau de leur équateur. Toutes ces sphères datent de 2 à 3 millions d’années. Enfin pour faire un jeu de mot, citons le clou de cette énumération. Il s’agit d’un clou en acier et d’un marteau qui ont été découverts en 1845 à Mylnfield en Ecosse, insérés dans une roche stratifiée datant de 460 millions d’années. En avez-vous-même entendu parler ? Vous n’êtes pas hélas le seul. Toutes ces découvertes se passent à l’étranger, direz-vous, alors passons à notre territoire bien français.



Glozel

Glozel est le nom d'un lieu-dit de la commune de Ferrière-sur-Sichon dans l’Allier et à une trentaine de kilomètres de Vichy. En avez-vous jamais entendu parler ? Il est devenu célèbre à partir de 1924, quand fut mis à jour un ensemble d'objets artistiques, attribués dans un premier temps à une époque préhistorique, mais dont la datation et parfois l’authenticité furent étrangement contestées. Ces objets sont des pierres taillées, des poteries, des fragments de verre et des tablettes gravées portant des inscriptions évoquant une écriture dans un alphabet inconnu proche des alphabets phéniciens. Ces vestiges furent à l’origine d’une vive controverse qui divisa une partie de la communauté scientifique, puis le grand public, en « glozéliens » et « anti-glozéliens ». L'« affaire Glozel » connut de nombreux épisodes judiciaires. Après de nouvelles analyses et datations, le Ministère de la Culture a rendu public en 1995 un rapport qui estime que le site est principalement médiéval, tout en contenant de nombreux artefacts de l’Âge du fer. Le rapport conclut également que le site a été enrichi à une époque indéterminée de contrefaçons modernes dont l’auteur demeure inconnu. Voilà un bel exemple de scandale culturel qui évite aux autorités de réformer la pensée unique en vigueur. En réalité, pour les découvreurs, il ne fait aucun doute que les auteurs des objets découverts à Glozel avaient développé un système d'écriture très nettement antérieur à celui des Phéniciens.
Ses découvertes remettent donc en cause l’apparition de l'écriture au Moyen-Orient et en font une invention européenne ou plutôt atlante.
Il est assez étonnant que l’archéologie officielle continue à garder des zones d’ombre suspectes alors qu’il serait aisé de faire avancer le débat. Pendant 50 ans, on a traité le découvreur Emile Fradin de faussaire, jusqu’en 1972 date à laquelle les techniques de thermoluminescence ont démontré qu’il n’était pas un escroc. Le champ où les découvertes ont été faites avait été laissé à moitié fouillé dans les années 40 pour que les archéologues puissent éventuellement revenir faire des expériences. Ceci a été fait dans les années 95, et « l’innocence » de Fradin a enfin été reconnue .Qu’en est-il aujourd’hui de la situation ? Voilà bien ce qu’est l’actuelle archéologie dite scientifique ! Parce qu’il existe, à Glozel, de nombreuses tablettes dénuées de sens, on pense tout de suite à des faussaires. On ne s’interroge même pas sur ce que pouvait être un lieu mystique antique où les scribes attitrés se faisaient rétribuer pour écrire les dédicaces et supplications demandées par des pèlerins illettrés. Dans la passion du siècle dernier, pourquoi n’y aurait-il pas eu aussi des contrefaçons volontaires pour dénigrer le site ? C’est presque sûr. Voilà bien ce qu’est l’actuelle archéologie dite scientifique ! Elle est incapable de concevoir la permanence dans le temps d’un site hors du commun. Contredire les thèses officielles présentent trop de risque de découverte d’une autre grande vérité cachée que seuls des mandarins peuvent connaître. Selon moi la règle de base et fondamentale est celle-ci : Le bétail humain n’a que faire d’une vérité compliquée qui ne lui servirait à rien. Les autorités pensent qu’elles doivent lui en fabriquer une très officielle et que le bétail doit la respecter. Ceux qui contestent doivent être punis parce qu’ils sont dangereux par leur innocence. Ne croyez pas que ces propos soient excessifs. A l’origine de la punition bien cruelle du pauvre Emile Fradin, découvreur de Glozel, il y a trois hommes, trois français, trois sommités internationales, trois scientifiques reconnus. On connaît parfaitement dans la société savante cette redoutable trinité des Capitan, Breuil et Peyroni (ce dernier étant le grand conservateur en chef du musée des Eyzies). Ce triumvirat constituait une firme exclusive en préhistoire. Or, la découverte de Glozel avait pris les trois hommes à l'improviste, en bouleversant leurs thèses et sans leur laisser le temps de concerter entre eux une réponse cohérente. Glozel fut pour eux un attentat et Fradin un dangereux terroriste. Si encore ces trouvailles avaient été faites par un spécialiste patenté, chevronné, portant l'estampille académique, à la bonne heure. Mais l'inventeur était un simple profane, un rustre, qui s'affirmait chercheur indépendant. Il avait refusé le patronage, de ce triumvirat prétendant faire cavalier seul. Il a haussé les épaules quand on lui a offert que son nom figurât modestement derrière les illustres signatures du grand et distingué triumvirat. Cette histoire, parce qu’elle s’est passée en France et qu’elle est simple à comprendre, me semble un bon petit exemple pour que le lecteur comprenne que la culture du monde n’est pas aussi auréolée de lauriers que nous le pensons. Les autorités culturelles ne disent pas la vérité vraie, car elle ne les intéresse pas. Ils disent uniquement celle que leur commandent de dire les Grands Maître de loge. Mais les temps changent et l’espoir nous est permis, à nous les petits, de connaître enfin la vérité. Pour perdre Fradin et déshonorer de braves gens sincères, tout fût mis en oeuvre avec tant de hargne, de cruauté et de malhonnêteté que le conseil municipal voisin du lieu, c’est-à-dire la Mairie de Ferrières, puis la Ligue des Droits de l'homme, durent intervenir, tellement ils avaient honte. Par ailleurs, la justice ne suivit pas heureusement les conseils des officiels. Ceux-ci avaient traîné Fradin pour fraude en correctionnelle, puis en appel et enfin en cassation. Or, la justice a anéantit tous les chefs d'accusation et donna gain de cause à Fradin. Ce petit paysan de France avait gagné sur les puissants pontifes de l’archéologie. Par contre ses découvertes furent oubliées. Fallait-il pourtant qu'il ait vraiment raison ! Voilà de même le camp que vous propose aussi ce livre, celui des hommes honnêtes face à la vérité, même s’ils sont confrontés à une énorme machine qui manipule et désinforme .Dans son livre "Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans"- Éditions Robert Laffont - 1971, le grand Robert Charroux évoque Glozel à plusieurs reprises. Cet homme aimait l’aventure. Il était plongeur sous-marin, chercheur de trésors, globe-trotter, journaliste et archéologue. Robert Charroux a été porté par sa curiosité à explorer les domaines les plus divers de l'histoire, de la préhistoire et de l'activité des hommes, loin des sentiers battus et de la science officielle imposée. Il suggère que les artisans Glozéliens auraient pu être des descendants de la civilisation du continent Mu englouti dans le Pacifique. Il consacre plusieurs pages à Glozel dans le chapitre 2 intitulé "Les ancêtres supérieurs". Je le cite :
<< Voilà donc aujourd’hui Glozel réhabilité. La découverte est prodigieuse : une bibliothèque néolithique de plus de 100 tablettes à caractères alphabétiques, le premier alphabet connu au monde, des outils en pierre éclatée, de merveilleux galets gravés et dessinés, des poteries absolument uniques. C'est à Glozel que la science et le monde entier trouvent la filière incontestable reliant notre civilisation à celle de nos lointains aïeux. A cette époque ancienne de 10 000 à 15 000 ans environ, le Magdalénien, si l'on en croit les expertises, des hommes façonnèrent des idoles et des vases en terre cuite, représentant des êtres insolites.
Il ne fait aucun doute que nos aïeux préhistoriques possédaient une culture beaucoup plus avancée qu'on ne l'imagine.
L'utilisation du silex n'était que le lot des classes inférieures. La science et les techniques de fabrication se transmettaient sans doute entre initiés qui accaparaient le pouvoir. Ce qui demeure écrit en écriture hiératique sur les briques de Glozel était absolument impénétrable au vulgaire. Les connaissances supérieures étaient-elles un legs de civilisations terrestres très anciennes ou avaient-elles une origine extra-terrestre? Deux quasi certitudes nous guident :
Une civilisation très avancée a précédé notre époque préhistorique et l'aventure cosmique que nous commençons à vivre a été vécue par d'autres humains.
La tradition et le bon sens militent en faveur d'ancêtres supérieurs ayant accompli une chaîne complète d'évolution avant de sombrer, par la faute d'un cataclysme atomique. Cette vérité est bien sûr répudiée par la science muselée, elle est cependant omniprésente dans les textes sacrés et les traditions du monde entier .>>Fin de citation. Pour clore ce paragraphe sur Glozel, je vous indique, pour simple information, encore, un article paru dans la revue scientifique Stargate n° 6 d’octobre 2004 en page 44. Vous trouverez un article de la journaliste Anna-Maria Mandelli « Le trésor soit disant inexistant de Glozel ». Elle rapporte sur quelques pages l’histoire extraordinaire de la découverte archéologique de Glozel et de ses rebondissements. Elle dit ceci : « Au cœur de la France, un site révèle dans les années 20 des traces de vie quotidienne, des écritures, des tablettes, des objets d’origine parfaitement inconnue. Ils remontent à plus de 100.000 ans. Ils ont provoqué l’une des polémiques scientifiques les plus enflammées de toute l’histoire de l’archéologie mondiale». Cette journaliste spécialiste en archéologie termine son article ainsi : « Certains chercheurs méconnus ont prouvé que des civilisations du passé ont atteint un niveau de technologie extrêmement élevé, supérieur au nôtre. Or, cela continue d’être nié par nos textes d’histoire officielle et même par les autorités dites compétentes en matière d’archéologie ».Fin de l'article.



Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique

Bel autre exemple de désinformation historique : Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique, bien au contraire, il y est arrivé le dernier. Selon l’excellent article de la revue Nexus n°65 Nov-Déc 2009, le célèbre géologue et paléontologue Hans-Joachin Zillmer a rassemblé pendant dix ans sur le sol américain les vestiges de visiteurs européens bien plus anciens que l’explorateur génois Christophe Colomb. Le village viking, dont les ruines subsistent dans l’Anse aux Meadows, au Canada, est considéré officiellement comme la preuve des contacts transocéaniques bien avant Christophe Colomb. Beaucoup de ces découvertes confortent la théorie d’un continent atlantique disparu qui aurait grandement facilité les échanges entre l’Europe et l’Amérique. Par exemple, lors d’une fouille scientifique organisée par la Smithsonian Institution en 1989, fut découverte dans le Tennessee sous la tête d’un squelette, une inscription en Hébreu ancien datant de quelques millénaires avant notre ère. Beaucoup d’autres textes lapidaires furent découverts et identifiés comme étant du Libyen ancien. Des amphores carthaginoises du début de notre ère furent repêchées en 1972 au large des côtes du Honduras. Les autorités interdirent de continuer les recherches afin de ne pas écorner le mythe planétaire de Christophe Colomb. Le docteur Zillmer traite dans son livre des liens étroits entre les différentes langues anciennes qu’il a rencontrées dans ses recherches.
A sa grande surprise, au centre de ces langues est le basque ancien, sorte de langue universelle et vestige vivant, selon lui, d’un continent atlantique disparu.
Le basque ancien présente beaucoup de caractères communs avec beaucoup de langues anciennes telles l’étrusque, le berbère, le tamajaq (langue des Touareg), le vieux gallois, et les divers dialectes amérindiens. Le basque ancien présente de nombreux points de comparaison avec la langue administrative des Incas. Pourquoi alors Christophe Colomb est-il toujours présenté comme le grand découvreur de l’Amérique, malgré les preuves contraires ? Selon le docteur Hans-Joachin Zillmer, une telle remise en cause est officiellement impossible, sous peine de réformer toute notre histoire jusqu’à notre Genèse. Comme tous les vieux dogmes fondateurs de nos civilisations, celui-là ne serait révisé qu’à condition de complètement réécrire notre histoire. Selon cet auteur, si un tel bouleversement se produisait officiellement un jour prochain, nous assisterions à la réforme de tout notre système de croyances. Selon ZILLMER, cette éventualité serait très lourde de conséquences pour la logique de nos institutions. Peut-être que cette levée du voile sur la vérité historique de notre monde et sur son origine est le point focal vers lequel nous tendons et qui constitue l’Apocalypse, c'est-à-dire le temps de la révélation ?


Dernière édition par la baleine le Dim 17 Jan - 23:35, édité 9 fois
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Message  la baleine Mer 23 Déc - 21:34

Rudolf Steiner, un anthropologue de génie mais interdit

Il n’a curieusement et injustement bénéficié d'aucune publicité. Il est né au milieu du 19e siècle. Conjuguant la rigueur scientifique et l'investigation occulte, il fit des découvertes considérables dans tous les domaines. Des écoles et des universités fonctionnent encore de par le monde sur ses bases mais elles ne bénéficient d'aucune aide publique et sont considérées comme des sectes. J'ai connu personnellement un jeune homme ayant étudié dans l'un de ces établissements et il faisait plaisir à voir et à entendre. Voici résumé l’essentiel de la noble pensée des steineriens .Il est vraiment lamentable que nos enseignements se privent de cette vision jugée sectaire. Que disent donc de si étrange les steineriens pour être ainsi mis à l’écart ? Ils disent en effet des choses simples mais rares : "Pour s'élever très haut dans la culture, il faut faire de la force de l'amour une force de connaissance. Il ne s’agit pas ici du sentiment généralement connu sous ce nom. L'amour que nous avons en vue est celui qui nous rend capable de nous sentir un avec des êtres subtils dans l’au-delà du monde physique, à nous sentir vraiment un avec eux, de manière à éprouver ce qui se passe en eux aussi bien que ce qui se passe en nous et à sortir, par conséquent, complètement de nous pour revivre avec eux. Au cours de la vie humaine ordinaire, l'amour n'atteint pas ce degré auquel pourtant il faudrait qu'il s'élève pour devenir un pouvoir de connaissance." Voilà bien un texte élevé et ambitieux.
L’Anthroposophie est, selon les termes de Rudolf Steiner, une voie de connaissance qui doit « conduire le spirituel en l’être humain jusqu’au spirituel dans l’univers ». L’Anthroposophie selon Rudolf Steiner, répond à cette démarche :
« Toute connaissance que tu recherches pour mûrir sur la voie de l’ennoblissement de l’homme et de l’évolution de l’univers te porte un pas en avant ». Ce principe découle de l’intuition fondamentale de Steiner à propos de ce qu’on pourrait appeler « l’évolutionnisme christocentrique » où il s’agit, pour l’homme moderne, « d’assumer pleinement les acquis de l’histoire spirituelle de l’Occident en vue de leur transmutation, non pas de s’en remettre à une Tradition primordiale dont on attendrait passivement les manifestations sous forme de nouveaux avatars divins ». C’est ainsi que la pensée steinérienne rend l’homme responsable de sa propre destinée. La Société Anthroposophique universelle est d’ailleurs, selon ses Principes de 1923, « une association de personnes désireuses de cultiver la vie de l’âme dans l’individu et dans la société, en se fondant sur une véritable connaissance du monde spirituel ». Loin d’être une secte malfaisante, l’Anthroposophie constitue donc bien une voie de connaissance et elle n’est pas une démarche « ésotérique », au sens strict, dès lors qu’elle est résolument ouverte vers l’action sociale et communautaire. Dernier aspect fondamental de l’Anthroposophie, le lien qui existe entre les différentes formes de la démarche artistique et ce que nous nommerons l’esprit. En cela Rudolf Steiner apparaît un authentique visionnaire dont l’œuvre a une portée qui dépasse même le cadre de l’Anthroposophie : « Ce qui importe pour le véritable chercheur spirituel de l’avenir, en dehors de toute forme de clairvoyance, c’est le pont qui peut être jeté entre l’art et le regard spirituel. Celui qui comprend cela, sait qu’il en ira du salut de l’humanité aujourd’hui et dans l’avenir, que l’on recherche de plus en plus les choses de l’esprit et la connaissance spirituelle. La lumière de la vision spirituelle doit briller dans l’art, afin que la chaleur et la grandeur de l’art féconde créativement la grandeur et l’horizon de la vision spirituelle » (Munich, 6 mai 1918). Autre aspect original de cette pensée, pour les steineriens, l’âme est originellement androgyne à la fois masculine et féminine. Il faut imaginer l’homme-femme, des « temps très reculés », sous des apparences fort différentes de ce que sont devenus l’homme et la femme : « des formes humaines souples et malléables » dont les aspects masculin et féminin vont progressivement se dessiner, provoquant à la longue une « séparation des sexes ». Conséquence de cette séparation, le corps a perdu la faculté de s’autoféconder. Mais aussi, seconde conséquence : la force qui dans l’homme-femme servait à l’autofécondation, n’ayant plus à s’exercer, crée le cerveau, la faculté de penser et de créer. C’est ce qui fait dire à Steiner que « la pensée a été acquise au prix de l’unisexualité ». Selon lui, la perfection est atteinte quand les polarités masculine-féminine fusionnent. Autre conséquence, enfin, « l’âme acquiert la faculté de collaborer avec l’esprit » mais aussi: « Pour ce qui est de la vie extérieure, l’être humain connaîtra désormais une fécondation venant du dehors ; quant à sa vie intérieure, cette fécondation vient du dedans grâce à l’esprit ».Pour les steineriens, le Christ est un être divin qui, en s’incarnant, s’associe à l’humanité pour lui insuffler de nouvelles forces vitales. La mort et la résurrection du Christ constituent ainsi « le point de retournement » d’une humanité qui au lieu de continuer le processus de descente où elle était entraînée, inaugure une nouvelle ère, qui est cette fois dans le sens d’une ascension. Comme le dira Steiner, c’est « l’impulsion du Christ » qui permet de « saisir le plan spirituel ». En conclusion l’œuvre de Rudolf Steiner est bien plus qu’un simple courant idéologique. Son rayonnement en Europe et dans le monde est tout de même le signe que quelque chose opère qui est de l’ordre de l’esprit. Nous conclurons ici en citant une dernière fois Steiner : « Nous comprendrons le monde quand nous nous comprendrons nous-mêmes, parce que nous sommes, lui et nous, des moitiés intégrantes. Enfants du cosmos, germes divins nous sommes. Un jour nous rejoindrons notre Source » (frag. 105, 1798).Cette dernière phrase à elle seule suffit à condamner Steiner à cause d’un but contraire à celui du Gouvernement Occulte. Une fois encore je constate ici que la pureté de pensée et la profonde vérité d’un groupe ont été voilées pour que le monde ne soit pas tenté de suivre ce mouvement ascensionnel si dangereux pour la stabilité de l’Ordre établi.

Il présente trop de risques pour ceux qui à l’inverse ont un intérêt à dompter l’esclave humain par la culpabilité nécessaire à sa docilité.

Ce mouvement philosophique anoblit beaucoup trop l’homme et lui prévoit un avenir beaucoup trop lumineux. Voilà ce que pensent les Seigneurs reptiliens : << Il ne manquerait plus que le bétail humain s’imagine un jour pouvoir devenir dieu, comme nous ? Il en serait bien capable si nous n’y prenons garde. >> Voilà résumé selon moi comment les nobles projets d’enseignement de Rudolf Steiner ont été mis en veilleuse et affublé du redoutable cachet : <>




La traduction récente des plaquettes cunéiformes sumériennes

Elles sont en argile et parfaitement bien conservées par centaines de milliers dans le sous-sol des antiques cités de Mésopotamie au Moyen-Orient. Elles sont pour certaines antérieures aux divers déluges. Le Moyen-Orient a été, pendant des millénaires, le centre administratif du monde, comme l’ont été les USA au 20e siècle. La traduction de ces plaquettes a fait l’objet d’une véritable bataille d’experts. Il est à noter que les pays les plus concernés par la présence de ces textes sont, comme par hasard, l’Iran et l’Irak. Dans les premières heures de la première guerre d’Irak, les premiers lieux visités et pillés par la CIA ont été les musées et leurs réserves. Une partie de ces plaquettes aujourd’hui déchiffrées nous apprennent qu’un groupe de Seigneurs reptiliens a conquis militairement la planète voilà quelques centaines de milliers d'années. Ils avaient gagné une guerre gigantesque et cherchait naturellement une agréable petite planète refuge pour se refaire une santé. Ils dominèrent facilement sur place les déesses régnantes qui étaient d’une très noble lignée reptilienne appelée ‘‘ Amasutum».  Elles étaient nommées ‘‘ Mères Divines ‘‘ car elles étaient expertes en génie génétique dans tout l’univers et œuvraient au nom de la Source Cosmique. Pour ces dernières, notre planète bleue était depuis des éons leur grand laboratoire remplie de créatures plus merveilleuses les unes que les autres. Selon ces plaquettes, les Seigneurs dominants obligèrent militairement les Mères Génitrices à créer différents prototypes d’adams ou bêtes de somme afin de travailler, en particulier dans des exploitations minières, principalement en Afrique. Ces seigneurs de guerre ont mis en place, progressivement au fil des temps, une administration puissante et despotique pour contrôler notre Terre, à perpétuité, grâce à une sorte de pyramide occulte qui fonctionne encore parfaitement de nos jours et qui figure même sur la monnaie américaine qu’ils ont créée. Le problème est que les étages supérieurs de cette pyramide sont invisibles et inaccessibles à ceux de la base, là où nous sommes, vous et moi. La hiérarchie galactique extra-planétaire et coresponsable de cette situation n'a eu de cesse depuis lors que d’amortir les effets dramatiques de cette séquestration brutale. Elle a voulu donner aux humains la possibilité de renverser à terme ce système de l'intérieur. L’évènement historique qui a dramatiquement perturbé tous les plans des Seigneurs dominants est que l’un d’eux, le Prince ENKI-EA, serviteur inconscient de la Source, s’est vivement opposé à la maltraitance des adams et de leurs Mères créatrices. Sa fonction était très importante puisqu’il était responsable des adams et du travail fourni. Pour l’occuper complètement sa famille lui avait accordé la gérance exclusif de la Terre creuse. Celle-ci lui servit de base arrière dans la longue guerre titanesque qu’il va livrer à sa famille. Il est ainsi entré en opposition violente avec les autres dieux reptiliens et les terribles Annunakis qui étaient leurs clones. Ce très long conflit armé, fut émaillé de violentes batailles régulières entre les partisans des deux camps et fut aussi la cause de gigantesques catastrophes sismiques et climatiques. Ce Prince ENKI-EA très puissant et respectueux des lois de la Source galactique, est devenu, dans les textes, le fameux Serpent mythique, instructeur des hommes et protecteur des Déesses, le fameux LUCIFER. Il a pris différents autres noms dans l’histoire ultérieure, tels Osiris, Horus, Ram, Vishnou, Shiva, Krishna et même Jésus. Après chacune de ses interventions éducatrices au bénéfice des foules, sa famille a dû habilement récupérer tout son enseignement subversif en annihilant son effet libérateur par la création d’un mouvement religieux correctif qui a subtilement ‘‘ rectifié ‘‘ l’histoire en la déformant. C’est ainsi qu’il y a quelques milliers d'années, dans l'après dernier déluge, la Bible a donc été « arrangée » par les prêtres Hébreux de Babylone. Il s’agissait des prêtres Yaouds, ancêtres des Juifs. Grâce à la Bible, la grande administration reptilienne de Babylone a pu retrouver le calme après la tempête et partir sur de bonnes bases stables, garantissant la docilité du bétail. Ce dernier ne devait absolument rien savoir de ses origines, ni de la vraie nature reptilienne de leur soit disant Dieu protecteur. Tous les courants spirituels officiels furent tous noyautés au fil des temps et même obligés de renforcer le statu quo, originel et carcéral, parce que des sectes locales menaçaient souvent de faire connaître la vérité, tels des surgeons autour de la souche d’un arbre abattu. Ayant fondé les civilisations Atlantes et Egyptiennes, le Grand Serpent, devenu alors Osiris fut assassiné par le Prince Seth, sous le plateau de Gizeh, quelques millénaires avant notre ère. Réincarné dans son fils Horus, premier Pharaon, il passera dans la clandestinité des mondes parallèles, avec Isis son épouse, pour préparer l’humanité à la fin du cycle des planètes, appelé aussi fin des temps. Ce grand rendez-vous final est prévu à notre époque au début du 21e siècle.  Il y a aujourd’hui une coalition qui s’organise entre les forces de la Source, celles de la Terre creuse, celles des Déesses, celles du Christ et enfin les nôtres. L’allié le plus incertain, mais aussi le plus important est le groupe humain appelé ‘‘ ouvriers de la Lumière».  Ces derniers sont les plus infiltrés au sein de cette fameuse pyramide du pouvoir reptilien et ils doivent attendre que leur nombre soit suffisant, selon un phénomène appelé ‘‘ masse critique».  Voici donc hyper résumée, dans les très grandes lignes, l’histoire réelle de notre planète dont les plaquettes sumériennes est le début. C'est ainsi que depuis des centaines de milliers d’années, nous sommes soumis au mal, à la guerre, aux famines, à la maladie et à des cycles de vie très courts. Ce moteur de souffrance volontaire, une fois dévoilé, peut rapidement stopper car il est alimenté, comme nous le verrons plus loin, par l’énergie inconsciente de tous les hommes. C'est ainsi que par solidarité raciale avec le bétail humain séquestré, nous éprouvons un besoin puissant de nous réincarner constamment pour stopper ce processus et sortir l’humanité du ghetto reptilien. Le pêché originel n'est donc pas du tout celui de l'homme mais bien celui de son créateur lui-même qui a usurpé la place de Dieu. La désinformation a fonctionné parfaitement.

L’effort de libération consiste donc en une formidable inversion à 360° de toutes nos valeurs ancestrales, jusqu’à nos préceptes moraux.

Voilà enfin révélé le vrai sens de l’Apocalypse. La désinformation est l'une des constantes les plus efficaces de l’administration reptilienne depuis son origine. Selon moi, après avoir consacré des années d’étude sur le sujet, je pense que la divulgation officielle de la vérité constitue la plus grande brèche que la caste reptilienne dominante ait jamais eu à craindre au sein de sa formidable organisation planétaire. Voici donc maintenant, ici, à la suite de ce paragraphe, un bel exemple de déstabilisation que vont de plus en plus subir les grandes institutions qui soutenaient jusqu’à maintenant les bases œuvres de ce régime ténébreux. Ces grandes institutions ont été mises en place avec succès depuis des millénaires afin d’interdire aux hommes l’accès à la vérité et aux bénéfices de leur héritage.




Les explosives découvertes théologiques de Pierre Jovanovic concernant la bible
[Note du copieur-colleur: Anton Parks l'a précédé et il semblerait qu'il n'ait pas cité cette source].

Pour connaître l’œuvre importante de Pierre Jovanovic, je vous conseille de visiter son site Web, en particulier : << www.jovanovic.com/mensonge/htm ». Nous allons développer ici des extraits de son livre « Le mensonge universel ». Si j’ai choisi d’en citer ici des extraits, c’est qu’il dit, encore mieux que moi-même, quelle a été la falsification biblique. Je le cite : « Il est donc de notoriété publique que le Livre de la Genèse, a été fabriqué par des scribes à la demandes des autorités babyloniennes, il n’y a de cela que quelques millénaires, afin de masquer l’inavouable vérité sur nos vraies origines. Selon ce texte soi disant sacré, Adam et Ève ont été expulsés du paradis parce qu'ils avaient mangé une pomme. Et depuis ce terrible jour, nous devons pousser ce « péché » tout au long de notre vie sans jamais pouvoir racheter la faute originelle et encore moins ouvrir la porte du paradis sauf après un éventuel rachat. Ce « péché originel » a permis par exemple à saint Paul, le théologien favori du Vatican, d'écrire que « la femme est un corps sans tête », et à saint Jérôme de dire que « la volupté avec une femme est un crime à classer juste après l'homicide ». Seul problème, cette apologie du « péché originel » imposée par la Bible et tous ses prêtres ne repose que sur une fraude et les mots sont très faibles !

Depuis presque trois mille ans, des millions d'hommes et de femmes ont été nourris, guidés et conditionnés, à partir d’évènements historiques, par un texte qui a été entièrement maquillé, truqué et transformé par des scribes hébreux, en plusieurs étapes, dont la dernière retouche entre 1250 et 800 av. JC. Il n'y a donc jamais eu de péché de la femme.

En revanche, il y a bien eu un mensonge phénoménal grâce à un savant « mélange » de passages ôtés et d'autres réécrits. Les scribes qui ont rédigé le Livre de la Genèse ont simplement pris un texte sumérien intitulé Enki et Ninhursag, antérieur d'au moins 1500 ans à la naissance de l'écriture hébraïque, et en ont modifié toute la structure pour l'adapter aux besoins de la cause babylonienne au service de leurs Maîtres, les Princes sumériens, descendants des dieux reptiliens, qui continuaient à les surveiller de très près. Je ne pense pas honnêtement qu’ils avaient d’autre choix que celui-là. En conséquence, au cours de l'histoire, ce mensonge a été plus meurtrier pour la psyché des hommes que le principe de l'esclavage et plus neutralisant que toutes les bombes atomiques réunies. Car c’était bien là le but recherché : le contrôle musclé du bétail humain. Lorsque j'avais six ans et que je suivais les cours de catéchisme, je fus étonné par l’obsession à nous parler du serpent, le « Prince du Mensonge ». Dans mon innocente logique, je commençais à deviner l’arnaque. Ève n'a jamais mangé de pomme. Si elle l’a fait, cela n’a pu être que pour son plus grand bien. Celui qui nous a menti, et gravement culpabilisés, est bien le rédacteur du jardin d’Éden, ce scribe-traducteur que les spécialistes nomment « J » et qui a saccagé le texte original sumérien pour l'arranger à sa façon, en enlevant les passages qui le gênaient. L’intention de l’époque était simplement la fraude pour raison d’état.

La question qu'on pourrait alors se poser est la suivante : « Comment se fait-il que personne n'ait encore jamais parlé de cette arnaque intellectuelle et spirituelle, puisque le texte sumérien du jardin d’Eden existe ? ».

Première réponse : parce que la première traduction de la tablette originale sumérienne n’a été faite qu’en.1915, c'est-à-dire en pleine Première Guerre mondiale, autant dire que c'est tombé à plat. Deuxiéme réponse : parce que cela oblige à remettre en question tout ce qui nous a été enseigné sur le sujet depuis des millénaires. Vous imaginez un prêtre annoncer à la fin de sa messe : « Mes chers fidèles, J’ai une mise au point importante à faire : il n'y a jamais eu de péché originel. C'est ennuyeux, parce que j'ai fait sept années d'études sur le sujet au séminaire » ou un imam dire aux musulmanes « Ève n'a pas péché. Vous n'avez pas à vous voiler, ni à être mariées de force.»  Comment les religions monothéistes vont gérer cela dans l’avenir, nul ne le sait ? Les spécialistes du sumérien, quant à eux, connaissent très bien ce texte puisqu'ils l'ont traduit dès le début du XXe siècle. Et c'est d'ailleurs leur vilain petit secret ! Mieux placés que tous les autres universitaires, ils savent depuis longtemps la vérité de leur côté professionnel. A savoir qu’il y a un obligatoire manque de communication entre les spécialistes des plaquettes sumériennes et le grand public. Si vous connaissez l’un de ces spécialistes, vous avez dû remarquer son hermétisme. La pression de la vie académique contemporaine rend ce rôle de communication encore plus difficile. En conséquence, la plupart des informations phénoménales de l'une des plus grandes civilisations fondatrices de l’humanité reste confinée au monde fermé des sumérologues. Notons en même temps cette étrange coïncidence avec la réalité, puisque le gouvernement central de Sumer couvrait à l’époque les actuels pays d’Iran et d’Irak. En 1945, le grand sumérologue Samuel Noah Kramer l'a pourtant souligné avec infiniment de délicatesse, de peur que les fondamentalistes bibliques américains se servent de son origine juive pour l'attaquer, et aussi que les rabbins ultra-orthodoxes viennent à lui reprocher de remettre en cause leurs saints textes (dictés soi-disant par Dieu en personne à Moïse). Il n’était pas évident, pour ce scientifique, de se retrouver coincé entre deux forces antagonistes aussi puissantes.

Alors, comme cette vérité est impossible à dire sous peine de représailles funestes, la famille des sumérologues reste muette et en discutent de temps à autre, entre gens de bonne compagnie, et sans évoquer l’inavouable vérité sur nos origines réelles et la fraude dont elles sont l’objet.

Au début du XXe siècle, pour les universités anglo-saxonnes c'était l'argument choc pour obtenir les financements. Il suffisait de faire chanter de riches familles très pieuses ou quelques prélats. N'importe quel département d'assyriologie digne de ce nom aurait vu ses dons privés disparaître s'il s'était amusé à montrer que le texte hébreu du jardin d'Éden était une fraude. Remettre en cause le texte mythique de la Bible, celui du Jardin d'Éden, c'était avant tout aller au casse-pipe académique, social, religieux, bref c’était l’assurance pour le chercheur d’un enterrement universitaire de première classe. Personne ne s’y est risqué et n’a jamais une seule fois fait une seule vague. Voilà la vraie raison du silence qui paraîtrait d’autre part bien étrange. C'est pour cela qu'on voit apparaître aujourd'hui dans certains ouvrages d’enseignement cette phrase bien énigmatique : « Les textes bibliques ont des parallèles plus anciens ». Ces grandes religions, véritables rails spirituels de l’humanité, se sont construites sur la notion transgressive du péché d’Eve, mis à par le bouddhisme. Cela veut dire que les Paul, Augustin, Mahomet et Thomas d’Aquin, ont bâti toute leur démarche et construction intellectuelle à partir d’un faux. Aujourd’hui encore, les prédicateurs des églises évangéliques, de même que tout le clergé catholique, vous disent d'une seule voix que pour vous racheter de la faute d'Adam et Ève, vous devez remettre votre vie entre les mains de Jésus, afin d'être « lavé » de leur péché. Je ne parlerai même pas des chrétiens fondamentalistes qui en sont encore au monde créé en sept jours et à Ève sortant de la côte d'Adam. Ces fondamentalistes viennent même d'ouvrir un parc d'attractions biblique sur ce thème aux USA !>> Fin de citation




Pourquoi le vrai jardin sumérien est-il toujours aussi peu connu ?

Je cite encore Pierre Jovanovic : << Songez qu'il n'existe même pas un livre grand public dédié exclusivement au texte sumérien du jardin d'Éden ! Pour qu’un tel oubli ait lieu, il faut que la recherche historique mondiale soit muselée. Certes, on trouve une trentaine d'analyses publiées, en 90 ans, dans des revues ultra-spécialisées du type Journal of Near Eastern Studies, des communiqués savants comme le très vieux Cuneiform Parallels to the Old Testament du professeur Rogers, ou des doctorats contemporains du genre « Le rôle mythologique d'Enki et de Ninhursag dans la perception du monde antédiluvien » ou « Enki-Ea, analyse diachronicale des textes et images issus des toutes premières sources sumériennes ». Dans ces documents, le sujet qui nous préoccupe reste toujours mineur et discret. On sent que les chercheurs n’ont pu que surfer sur cette vague qui pourrait tout dévaster. Voici pour exemple cette dernière thèse de doctorat soutenue par Peter Espak, le jardin d'Éden est expédié sans jamais insister sur l'extraordinaire détournement littéraire biblique dont l'auteur est pourtant le témoin. Il donne comme l’impression de tenir dans ses mains du métal en fusion. Il est vrai que sa thèse a été soutenue dans une faculté de théologie. Et qui dit théologie, dit terrain glissant pour un étudiant qui veut obtenir sa thèse. Les universitaires sont certes connus pour travailler les détails, et en assyriologie plus qu'ailleurs, mais cela explique-t-il qu'ils finissent toujours par être confus et incertains quand ce sujet est évoqué ? Et dans le cadre du texte Enki et Ninhursag, on peut même se demander quelle est la part très probable de l'autocensure. Alors peut-on franchement dire que les grandes « Religions du Livre » ne reposent sur rien à partir du moment où le texte précis du Livre de la Genèse est un faux ? La réponse est : « Oui, absolument ». Encore faut-il avoir le courage d'oser l'écrire. >> Fin de citation


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Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale  et  falsification Empty Re: Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale et falsification

Message  la baleine Mer 23 Déc - 21:36

Pourquoi une telle phobie du féminin ?

Evoquons enfin et surtout le véritable mobile central qui a motivé cette fraude. Supprimez le principe du péché et de la culpabilité, et vous n'avez plus aucune prise véritable, coercitive pourrait-on dire, sur la masse en général et sur les femmes en particulier ! Mais ce ne pouvait pas être de simples femelles qui représentaient un si grand danger pour les Seigneurs reptiliens.

Les textes sumériens nous montrent dans le détail combien les Princes régnants avaient peur, non pas des femelles, mais surtout de l’immense pouvoir des Grandes Déesses Généticiennes, qui leur étaient toutes supérieures sur tous les plans. Derrière Eve, la première femme au pouvoir réduit, il y avait eu Lilith, Déesse elle-même, et c’est de cette formidable puissance féminine dont ils avaient la phobie. Ils étaient eux-mêmes nés par clonage selon le génie de ces Grands Etres.

Cette caste féminine redoutable et royale, présente sur la planète bien avant les Princes reptiliens, représentaient un grand danger pour ces derniers. Ce qui s’est vérifié ensuite jusqu’à aujourd’hui. Si ces Princes voulaient rester Maîtres sur la terre, ils n’avaient, face au grand pouvoir de ces Reines, qu’un seul et unique recours : la force brutale. C’est ce qu’ils ont fait autrefois, sans cesse et continuent à faire encore aujourd’hui, même si le vent commence à tourner pour eux. Il y a plus de 150 000 ans, les hommes, créatures des dieux sumériens, construisaient déjà des temples dans lesquels ils rendaient hommage à leurs seigneurs tout puissants. Ces derniers ont créé l’homme pour être leur esclave et même pour être une « bête de somme », qui est le vrai sens sumérien de « adam ». Il était donc de l’intérêt de ces hommes habitants de Sumer, d’être dans les meilleurs termes possibles avec l’arrogante caste des Maîtres reptiliens descendants des dieux. Les habitants de Sumer étaient conscients de la force très supérieure de leurs seigneurs et du fait qu'ils n'étaient finalement que des fétus de paille entre les mains de ces familles royales reptiliennes et surtout face à leurs clones armés, les redoutables guerriers Annunakis, vainqueurs de la grande guerre galactique. Le très distingué W. G. Lambert, grand assyriologue, a ainsi traduit un texte intitulé « Ludlul Bel Némequi» que Samuel Noah Kramer a transposé en « Un homme et son Dieu » Mais,ô surprise, on retrouvera les deux textes plusieurs siècles plus tard dans la traduction du ‘‘ Livre de Job ‘‘ bien connu de tous les prêtres actuels car très pratique pour expliquer aux ouailles victimes du chômage et de la précarité, pourquoi Dieu les a abandonnés, selon le proverbe : ‘‘Qui aime bien, châtie bien ‘‘.




Oui, et alors ? Qu'est-ce que ça va changer ?

Alors une question s’impose : « Oui, et alors ? Qu'est-ce que ça va changer ? ». Réponse : tout ! Je continue à citer Pierre Jovanovic : << Tout notre monde occidental a été construit sur l’unique pilier du respect de l’autorité fondatrice. Nous sommes censés vivre dans une humanité honorable et à y faire des efforts pour honorer nos ancêtres. En lisant le vrai texte du jardin d'Éden, on se rend compte à quel point, de siècle en siècle, l’élite en place nous a bien menti afin de nous maintenir dociles et productifs. La conséquence de cette dénonciation de la fraude est une prise de conscience. D’ici quelques mois la masse va réaliser à quel point les élites soi disant honorables nous mentent, comme ils ont menti à nos parents, grand parents, aïeux, sur 200 générations depuis la fraude biblique. Cela fait beaucoup d'êtres humains dont la vie a été brisée à cause de cette monstrueuse notion du péché originel. Pendant des générations, les filles-mères, les femmes divorcées et même les jeunes mariées ont payé un lourd tribut psychologique à cette fausse morale par une vie malheureuse ou par des suicides. La nudité et la sexualité jugées démoniaques et honteuses par l'Église, ont fait le bonheur des confessionnaux pendant des siècles et des siècles, et le malheur de tous ceux qui étaient obligés de s'y soumettre. N’oublions pas que notre Code Civil, issu du Code Napoléon, a été étendu à toute l’Europe et qu’il avait comme pilier logique central la morale opposée au péché. Napoléon, dans sa grande intelligence, avait bien compris l’avantage politique qu’il pouvait tirer de la morale chrétienne. Alors qu'est-ce que cela change de savoir que le texte fondateur du jardin d'Éden ne vaut plus un shekel parce qu'il est l'œuvre d'un faussaire ?

En plus de la stricte vérité littéraire, religieuse et théologique, cela montre à quel point l’invention géniale du péché originel a servi de levier pour soumettre des populations entières, soit disant pécheresses, en maintenant simplement sur elles le joug légitimé des institutions.

La chape de plomb du monothéisme fabriqué était tombée pour 3000 ans avec succès. On comprend alors encore mieux l'importance de savoir que le péché du jardin d'Eden n'a jamais existé. C’est comme un filet qui se lève sur l’humanité. Le péché a simplement servi à divers clergés pervertis à empêcher leurs semblables de vivre pleinement une vie épanouie. Malheur au bébé qui mourait non baptisé. « Son âme partait directement en enfer » disaient-ils, persuadant les parents qu'ils étaient bons, eux aussi, pour l'enfer éternel. Sous Henri IV, ils risquaient même le bûcher. Au XIXe siècle, les prêtres et les médecins ont refusé de diffuser les nouvelles méthodes d'accouchement parce que le Livre de la Genèse disait que la femme « doit accoucher dans la douleur ». C’est très dur d’accepter une telle arnaque commanditée par des êtres immortels, très supérieurs aux hommes et reptiliens. Ces derniers, hyper-intelligents, ont ainsi trouvé le moyen génial de faire garder le territoire terrestre par les humains eux-mêmes.

Eh oui, en se culpabilisant lui-même, l’homme s’est auto-victimisé, persuadé qu’il était un grand salopard potentiel. Mais, ô suprême compassion, il pouvait être sanctifié et guéri s’il était très obéissant au Seigneur, son sauveur. La vérité c’est qu’il était en réalité son ‘‘ Saigneur ‘‘ d’énergie.

L’homme docile gagnait le privilège de s’asseoir à ses côtés, après sa mort bien sûr. N’oublions pas qu’au milieu du XXe, le Vatican s'était opposé à la diffusion de la pilule, parce qu'elle permettait de « pécher ». Combien de bébés ont-ils été tués ou abandonnés parce que la maman ne voulait pas devenir une mère célibataire, signifiant « je suis une prostituée, j'ai couché sans être mariée », et ce jusqu'aux années 1970 ? Combien de mariages malheureux à cause de ce dogme criminel ? Le père d'un écrivain français du XIXe avait toujours imaginé « vivre dans le péché », parce que, marié, il était tombé amoureux d'une femme de condition inférieure, sa servante. Sa vie n'a été qu'une longue et douloureuse suite de culpabilisations sociales, l'empêchant de vivre pleinement son bonheur. >> Fin des citations du livre de Pierre Jovanovic.

J’ajouterai un dernier commentaire. Selon moi, ce n’est que le tout début du temps des révélations. La touche personnelle que je voudrais apporter est celle-ci. Développer une arnaque aussi massive et séculaire, qui peut être considérée comme un immense crime contre l’humanité, est en même temps une chance extraordinaire car c’est la fin d’un long temps d’humiliation et de souffrance. Mais il y a aussi un grand danger qui nous guette, en conséquence, et qu’il nous faut à tout prix, éviter. Je veux parler des inévitables règlements de comptes dont risquent d’être injustement victimes les grands fonctionnaires et serviteurs du système. Ceux qui se livreront à la vengeance ne feront qu’inutilement maintenir encore plus longtemps la souffrance. Nos bourreaux seront un jour placés face au Gérant galactique et à leur vrai Créateur. Il ne nous appartient donc pas de juger nos bourreaux, ni de les punir, ni de nous venger, sous peine alors de périr avec eux. Nous avons tous été leurs agents zélés durant de nombreuses vies. Il nous faudra donc apprendre à savoir tourner la page sur cette partie de notre formidable saga terrestre. Dans cet autre exploit, nous aurons certes besoin d’aide et de conseils. C’est aussi ce que peut vous apporter, je l’espère, ce livre, à savoir la sérénité et la confiance après le choc inévitable de la révélation. En fin de compte, nous sortons vivants de cette aventure, riches et anoblis de cette riche expérience planétaire. Le temps n’est-il pas venu de penser à notre présent et à notre avenir tout en faisant sagesse de notre passé aujourd’hui révélé.




La vraie histoire cachée de Jésus


J’attire l’attention du lecteur sur le fait que ces chapitres constituent une véritable psychothérapie non pas individuelle mais surtout du groupe racial qu’est l’humanité. Je sais que certains pensent que ce livre remue beaucoup trop d’excréments, j’en conviens. Mais la tentative faite par cet ouvrage est celle de nommer un ensemble de non-dits qui concernent la race humaine. Ils créent des blocages très handicapants dans notre compréhension de la vie au quotidien. Or tout handicap appelle une énergie compensatoire qui vient le lever. Je souhaite donc que le lecteur de bonne volonté attribue ce type de qualité aux lignes que vous êtes en train de lire. Il ne s’agit pas d’accabler qui que ce soit, ni les religieux, ni les prêtres. La tentative est celle de redresser notre passé en énonçant la vérité même si elle est crue et douloureuse. La douleur n’est pas de mon fait, mais des autorités malfaisantes voulant maintenir l’humanité la tête baissée. Dans ce nouveau paragraphe consacré à Jésus, je m’excuse d’avance auprès des Chrétiens pratiquants. Veuillez bien m’excuser, amis Chrétiens, mais ce n’est pas l’image noble et divine de Jésus qui est critiquée, mais bien la réalité historique. Une tradition malfaisante a travesti la vie de Jésus. Veuillez donc considérer que ce paragraphe est là pour redonner une vraie noblesse à sa vie et à celle de son entourage. Voilà pourquoi, parmi de très nombreux textes, j’ai choisi de citer une partie de l’enseignement de l’Américain Gary Smith. Il me semble en effet qu’il a une vision très claire et inspirée de ce qu’a été la réalité. Par Gary Smith, enseignant américain, selon le site «  www.merkaba.org », il dit : « Qui était le vrai Jésus ? Pourquoi y a-t-il tant de similitude des mots dans les récits officiels de la vie de Jésus bien que ceux-ci aient été rédigés par différents auteurs des dizaines d’années après ? Ce sont les Empereurs Romains eux-mêmes qui déterminèrent ce qui serait inclus dans les écritures chrétiennes. On doit comprendre que les Forces Obscures Dominantes et en coulisses s'emparèrent du Christianisme quand les Empereurs Romains décidèrent qu'ils pourraient faire marcher le monde beaucoup plus facilement et plus profitablement avec une solide Religion Romaine qu'ils ne pourraient le faire avec leurs légions. Comme toute fraude doit se bâtir sur un socle de vérité, le cas Jésus tombait à point nommé. Ainsi donc, la version de la vie de Jésus le Christ fut écrite officiellement quand les Empereurs Romains créèrent l'Eglise Romaine Universelle. Le mot catholique voulant dire "extension universelle", cette Eglise devait prendre le relais après la chute de l’Empire. L’emprise religieuse succédait ainsi logiquement à l’Empire militaire. Le message de Jésus n’a été qu’un prétexte publicitaire, un vecteur. Le nombre de gens, à l'intérieur de l'Empire Romain, qui suivaient les enseignements de Jésus continuait à augmenter, malgré les persécutions qui leur étaient infligées. Le message christique non déformé invitait à la libération et à une résurrection éternelle. Il était donc très attractif. Il suffisait de le déformer un peu. Les Romains continuaient, en parallèle aussi, à suivre spirituellement leurs dieux locaux ancestraux, véritables guides accompagnateurs des hommes et qui avaient fait déjà leur Ascension vers la 4e Dimension. Alors qu'ils ne voulaient pas diminuer la ferveur envers leurs Maîtres Ascensionnés locaux, ils constataient pourtant la puissance des techniques et enseignements de Jésus. Ils voyaient que beaucoup de ses disciples devenaient comme leurs "dieux", dotés de nouveaux pouvoirs.

Les Empereurs Romains conclurent très vite qu'ils pourraient ainsi continuer à être les Maîtres du monde pour toujours, s'ils utilisaient habilement aussi ces techniques spirituelles plutôt que leurs moyens militaires grossiers.

Ils firent donc main basse sur la nouvelle religion chrétienne naissante. Ils établirent des contrats protecteurs avec le nouveau clergé qui ne manquait pas ni d’ambitions, ni d’ennemis. Ainsi donc, les Empereurs Romains se firent chrétiens eux-mêmes et placèrent rapidement les membres de leur famille à la tête administrative de cette Nouvelle Eglise Universelle. Ils obtinrent rapidement des positions de papes, de cardinaux et d’Evêques. Les Empereurs Romains adoptèrent l’appellation triomphante d’Eglise Catholique et Romaine dont le but sera, durant des siècles, d’asseoir leur autorité sur les consciences de toute l’Europe en construction. C’est toujours le cas d’une façon très discrète. Les stratégies exigées par les Empereur, papes et cardinaux de l'Empire Romain, étaient simples. Alors que la faillite les menaçait avec la fin de l’esclavage, il leur fallait augmenter rapidement la richesse de Rome par la même terreur et le même contrôle que ceux utilisés par les légions romaines auparavant. De militaire, la domination devenait plus subtile, c'est-à-dire mentale et morale. Nous dirions de nos jours, un harcèlement moral et religieux. Ce délit n’existe pas encore. En conséquence et en tout premier lieu, tous les Maîtres Ascensionnés suiveurs du Christ, tous les témoins de la vérité christique, et donc tous les chrétiens primitifs, devaient tous être exterminés, afin qu’ils ne puissent pas venir <> dangereusement l’enseignement officiel, habilement déformé, et en particulier sur deux points fondamentaux : La culpabilité obligatoire du péché et la paranoïa du danger féminin. Ce seront les deux piliers qui érigeront solidement la nouvelle idéologie romaine avec comme clé de voûte le péché mortel ainsi  très solidement installé pour justifier la répression permanente du nouveau régime totalitaire, dans la droite ligne de l’esprit des dieux reptiliens dominants et toujours là en coulisses. Cette épuration des premiers témoins christiques du message originel de Jésus permettaient d'écrire en toute sérénité et sagesse politique les Saintes Ecritures Officielles du Nouvel Empire Romain Catholique. Les chrétiens qui s’intéressaient à d’autres textes parallèles plus proches de la vérité furent exterminés.

De même que la bible avait été un détournement d’anciens textes sumériens sur la genèse au bénéfice d’une Nouvelle Politique Mondiale, le Nouveau Testament est venu relooker et relancer cette même emprise sur les consciences de la nouvelle Europe en construction. Jésus devenait ainsi le nouveau héros-VRP, promoteur malgré lui d’un nouvel empire tyrannique qui, en fait, n’est que la stricte continuité du précédent, adapté à l’évolution humaine dans le temps.

C’est ainsi par conséquence obligatoire, que ceux qui pratiquaient les techniques originales christiques en Afrique furent déclarés hérétiques et déviants. Les Empereurs envoyèrent des légions pour assassiner tout homme, femme ou enfant qui pourraient être hérétiques par rapport à la ligne officielle. Rome, fille de Sumer, garantissait ainsi avec succès pour les siècles suivants, et au bénéfice des dieux reptiliens devenus occultes, le statu quo archaïque d’une société soumise et à domination exclusivement mâle. Par conséquent, de même qu’il n’y a jamais eu d’impératrice romaine, il ne pouvait y avoir aucun élément féminin dans la hiérarchie de l'Eglise Catholique et Romaine. De la même façon, il fut décrété que tous les noms, et en fait toute mention d'une femme disciple ou apôtre, devaient être ôtés de toute la littérature chrétienne. Marie-Madeleine ne devait être que la pécheresse repentie aux yeux des gogos catholiques, soumis et dévots. Comprenez bien que la plupart des gens de cette époque ne savaient ni lire ni écrire. Cette fraude fut un jeu d’enfants et ne rencontra aucune opposition. >> Fin de citation.




Judas fut-t-il l’ignoble traite que l’on croit ?

Je cite toujours Gary Smith : « Cette censure Romaine permit d'éliminer tous les écrits qui n’étaient pas dans la ligne des deux exigences nouvelles : le péché coupable et la mise en quarantaine du féminin. Et voilà pourquoi une grande personnalité spirituelle, la plus proche du Christ, fut déclaré : << traître >>. Judas fut accusé d’être celui qui avait trahi le Christ et il symbolise encore aujourd’hui le mal absolu. Pourquoi autant de précaution et de désinformation ? Très simple à comprendre : << tous les écrits produits par Judas et même ceux parlant de lui devaient tous être absolument détruits. >> Leur contenu ne devait absolument pas être connu de la masse. Les lambeaux récupérés récemment des Evangiles de Judas en indiquent suffisamment le pourquoi ?

Ces évangiles provenant de ce grand Maître, Judas, évoquent en effet nos vraies origines et soulignent l’arnaque des Archontes dont elles furent l’objet. Ces textes retrouvés et traduits confirment que c’était bien ce crime des reptiliens qui avait été la vraie motivation de la venue du Christ au sein de la race humaine. Judas comme Jésus en savait beaucoup trop !

Nous avons donc historiquement assisté, durant les siècles suivants, à une méthode délibérée pour détruire tous les manuels des Antiques Ecoles du Mystère Chrétien et toute la connaissance ésotérique des enseignements secrets du Christ, ceux là mêmes qui avaient été écrits par quelques Maîtres accompagnateurs de Jésus. Nous mentionnons là, en particulier, un groupe de Femmes qui, bien plus que Saintes, étaient de la caste des Royales Mères Divines, génitrices et protectrices de notre race. Au temps des premiers Chrétiens, dans les premières années de notre ère, ceux qui faisaient leur Ascension de conscience vers la 4e dimension étaient connus comme << Jumeaux du Christ >>. Ces hommes étaient reconnus dans leur milieu fermé par le mot hébreu qui signifie << jumeau >> et qui se dit <>. Le terme <> ou <> signifiait pour les femmes quelles étaient de même un << Jumeau de la Déesse, une Maru>>. Chaque femme chrétienne portant un tel nom était pour son groupe un Maître Ascensionné en Conscience, qui demeurait sur la Terre Mère dans un corps physique afin d’être dépositaire de l’énergie de la résurrection christique, en opposition à l’infirmité volontaire de la mortalité congénitale voulue par le créateur reptilien archaïque.

Ceux qui recevaient le titre de Thomas ou Marie-Myriam, étaient donc appelés  ''jumeaux'' parce que, comme le Christ et la Déesse, eux aussi avaient réalisé leur Ascension en restant incarnés dans un corps physique .Comme beaucoup de ressuscités aujourd’hui, ils étaient doubles parce que présents dans deux dimensions à la fois.

Tous les écrits ésotériques et les manuels des Ecoles du Mystère Chrétien furent brûlés. Quelques exemplaires se trouvent archivés dans les voûtes souterraines de la Cité du Vatican, dont nous comprenons, bien sûr, pourquoi l’accès en est aussi bien gardé que les coffres d’une banque centrale. Ces textes de l’enseignement secret de Jésus ne sont pas sans valeur pour le Grand Gouvernement Occulte Planétaire. Ils servent à enseigner les cadres de l’Ordre dans le maintien de leur immortalité et de leurs connaissances des plans solaires et cosmiques. C’est justement parce qu’ils sont en guerre depuis toujours avec les gouvernements galactique et solaire qu’ils doivent connaître parfaitement le plus de secrets possibles sur ces mondes auxquels ils s’opposent. L’ouverture au public des caves du Vatican serait le signe certain que le gouvernement occulte planétaire a rendu les armes .Si vous interrogez un Jésuite sur ce sujet, il vous répondra que c’est pour conserver intacte la sainte innocence du peuple chrétien que ces secrets sont ainsi tenus secrets. Que ne feraient-ils pas pour protéger leur bon peuple composé de fidèles innocents. Devrions-nous les remercier pour tant de bienveillance ? » Fin de citation.




Shiva et Krishna - L'Ascension collective de la Race Bleue


Bien évidemment, toute l’histoire planétaire ne se résume pas qu’au seul continent européen, ni même au Moyen-Orient. Le continent asiatique, et l’Inde en particulier, ont connu une activité très importante. Afin de montrer au lecteur une fois encore comment notre préhistoire est très mal connue, je reprends ici les commentaires de Gary Smith concernant les deux indiens Shiva et Krishna. Je cite encore Gary Smith :
« Il y a plusieurs centaines de milliers d'années, dans la Vallée du Raja Pura en Inde, vivait une "Race Bleue" appartenant au groupe de l'humanité. C’était une race d’hommes à la teinte bleue, juste comme d'autres aujourd'hui sont bruns, jaunes, rouges ou noirs. Il n’en reste plus aujourd'hui que des légendes. Shiva et Krishna faisaient tous deux partie de cette race. Krishna était l’élève de Shiva. Ce dernier apporta un savoir-faire complet en matière de génie génétique et de communication multidimensionnelle, y compris par l'activation des niveaux supérieurs des champs de la conscience spirituelle. Comme les enseignements de Shiva commençaient à se propager en donnant de l’émancipation au peuple, les fondamentalistes religieux cherchèrent comment éliminer Shiva et ses adeptes. Ils demandèrent que Shiva et Krishna fussent jugés et exécutés pour avoir donné au peuple des enseignements secrets. Ainsi, les armées de nombreux gouvernements régionaux se dirigèrent vers la Vallée du Raja Pura dans l'intention d'éliminer ces "hérétiques" sortis de la ligne coutumière. C'est à cette époque que Shiva reçut du Dieu-Père-Mère-Créateur, appelé Source Cosmique, de très grands pouvoirs magiques : la lévitation, l'invisibilité, l’ubiquité et d’autres pouvoirs lui donnant une force supérieure. Shiva évita ces attaques et c’est ainsi que commencèrent les années de l’âge d’Or de la Vallée du Raja Pura. Avec les millénaires, la croissance spirituelle de Shiva lui permit de recevoir en son esprit le récit complet de la Création Cosmique. Krishna étant l'étudiant de Shiva, il en reçut le récit complet. Il écrivit en sanscrit l'histoire complète de la Création Cosmique. C'est ainsi que naquirent les très grands livres appelés : les Védas. Mais suite à une guerre cosmique gigantesque, les ondes électromagnétiques provoquèrent un holocauste nucléaire et ont considérablement réduit les champs d'énergie de la conscience spirituelle des habitants de la Terre. Ce cataclysme affecta toute la planète, sauf ceux qui avaient appris à activer leur champ d'énergie protectrice. C’était le cas des membres de la race bleue qui avaient tous activé leur champ protecteur. Ils constatèrent la dévastation dans le monde entier et décidèrent de faire leur Ascension collective en tant que race. Ils émigrèrent massivement sur une autre sphère. Toutefois, quelques-uns furent volontaires pour rester sur la planète et créer l'Ancienne Ecole Secrète de Shiva. De nombreuses années après, quand ce qui restait de compréhensible sur l'histoire de la Création Cosmique fut mis par écrit pour le grand public, il ne restait plus de point de référence connu dans le langage pour une grande partie des mots employés. Toute la compréhension de l'histoire de la Création Cosmique en fut très réduite, malgré la longue description mentale du processus complet de la Naissance des Univers et de la circulation prânique du Souffle de Vie.

Dominée par une horrible dictature conquérante, une nouvelle humanité soumise se développa sur terre durant plusieurs millénaires, mais dans l’ignorance complète de la réalité extérieure et intérieure de la planète. La Terre et ses habitants furent ainsi très longtemps comme des sauvages, en quarantaine, par rapport au cosmos.

Mais récemment, il n’y a que 2000 ans, l'homme connu comme Jésus est devenu, durant quelques années, l’élève appliqué de l'Ecole Secrète de Shiva en Inde. Là, il apprit le secret de la Création Cosmique, de l'activation des énergies spatio-temporelles, ainsi que l'activation des champs d'énergie spirituelle appelés Merkaba. Il avait déjà commencé, avant de venir en Inde, ses premières études dans les Temples d’Egypte, au sein de l'Ecole Egyptienne des Mystères. En rentrant des Indes Jésus était prêt à recevoir l’Esprit Christique. >> Fin de citation




Les cités antiques dont les origines se drapent dans un voile de discrétion  

La communauté scientifique reste bien passive sur le sujet, comme si elle avait à craindre quelques découvertes non désirées.

La formidable cité péruvienne du Machu Picchu : La cité perdue des Incas appelée Machu Picchu n’a jamais été découverte par les conquistadors ni les missionnaires espagnols. Elle a ainsi pu échapper aux pillages. C’est en 1911 que Hiram Bingham, jeune explorateur américain, découvrit cette cité. De tous les grands sites archéologiques qui témoignent de la puissance de l’empire Inca, elle est la plus surprenante. Cette cité se dresse à un endroit presque inaccessible. Elle demeure une énigme et on ne sait toujours pas à quand remonte sa construction. Les ruines se situent à 2 800 m d’altitude, entre deux pics andins appelés Huayna Picchu (jeune pic) et Machu Picchu (vieux pic). C’est un lieu d’une beauté inouïe et unique dans le monde. Quand a été bâti Machu Picchu ? Voilà la vraie question qui dérange. Les archéologues traditionalistes s’accordent à dire que la construction ne peut remonter avant le début du 15e siècle. Mais d’autres archéologues très expérimentés contestent vivement cette hypothèse. Rolf Müller, professeur d’astronomie, qui a étudié le site, a affirmé dans les années 30 que les vestiges comportaient des alignements astronomiques très significatifs. Il en arriva à la conclusion que la cité avait été construite entre 4 et 2 000 ans avant notre ère. Bien évidemment, cette théorie est considérée comme une hérésie par les orthodoxes officiels. En effet, cela voudrait dire que Machu Picchu est plus ancienne que la pyramide de Kheops. Cependant il paraît invraisemblable, en visitant cette gigantesque cité, qu’elle soit spontanément sortie de terre voici 600 ans seulement. Les autorités officielles de l’archéologie mondiale ne peuvent et ne veulent pas accréditer la possibilité d’une civilisation aussi ancienne, ce qui remettrait en question l’histoire officielle du monde telle qu’elle est établie, aujourd’hui et une bonne fois pour toute. ‘‘ Merde alors ! ‘‘ (Expression française populaire très usitée dans l’ère moderne). Comme m’a dit un agrégé :

<< L’enseignement ne peut se permettre de réécrire l’histoire tous les quatre matins. Il faut bien une base commune incontestée. Sinon c’est la chienlit. >>

La très méconnue cité marocaine de Lixus – En Méditerranée la mention la plus ancienne dans les textes fait de « Lixus » une ville phénicienne. Des indications un peu plus détaillées sont fournies par d’autres textes antiques, en particulier celui de Pline qui place l'un des exploits d'Hercule à Lixus et présente cette cité comme la plus ancienne colonie phénicienne de l'occident méditerranéen (XIÈme av J.-C). La théorie archéologique officielle par contre ne permet absolument pas de remonter au-delà du VIIÈme av. JC. Les recherches récentes entreprises ont permis de repérer, pour la première fois, des structures d’époque phénicienne antérieures au VIIÈme s. av. JC. La diversité et la richesse du matériel exhumé à Lixus dénote l’importance du rôle qu’a du jouer la ville en tant que métropole et port ouvert aux circuits commerciaux de Méditerranée. Il est surprenant de constater qu’une cité d’une telle importance ne figure pas dans l’enseignement historique ? A mon avis la présence atlante y serait vite détectée si les archéologues y mettaient les moyens. Ce qui ne manquera pas de se passer tôt ou tard.

Le temple libanais de Baalbek
constitué à sa base de très mystérieuses pierres colossales – La ville antique, située au Liban, dans le nord de la plaine de la Bekaa, est composée de ruines de l’époque gréco-romaine avec des traces plus anciennes de l’époque sémitique. L’histoire de Baalbek remonte officiellement à la fin du IIIe millénaire av. JC. C’était une ville phénicienne florissante où était célébré le culte de Baal, le dieu du Soleil chez les Syro-Phéniciens, ensuite identifié au dieu cananéen Hadad. Dans une carrière située près de la cité, on peut découvrir la plus grande pierre taillée au monde : 21 m de long, 4,5 m en hauteur et largeur pour une masse d’environ 1 200 tonnes. Comment ces blocs étaient élevés ou même simplement transportés ? Il semble impossible que les civilisations romaines ou helléniques aient possédée la technologie pour utiliser ces blocs. Qui donc avait pu manipuler ce bloc et comment ? L’archéologie officielle ne s’intéresse pas au sujet.

Le plateau de Gizeh interdits de fouille par le ministère de la culture égyptienne
Je cite pour cet exemple l’excellent article de la revue Nexus n° 33 de juillet 2004 pages 50 à 55. Le titre est le suivant : « une cité enfouie sous le plateau de Gizeh ». Cette cité secrète constitue le témoin très embarrassant d’une civilisation très avancée et antérieure au début même de la civilisation égyptienne. << Le Sphinx et les Pyramides, visités par les touristes, ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. De nombreux témoignages historiques ou commentaires permettent d’être convaincu de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, lacs et d’une grande cité souterraine renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité bien supérieur à ce qui est convenu. L’information relayée par les media jusqu’en 1935 est depuis lors soustraite au public par les autorités archéologiques. Pourquoi ? Il serait cependant très important pour notre culture de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle de l’équipement des salles qui en dépendent sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements des Ecoles de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a plusieurs milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuelle, même si ces 80 dernières années de recherches secrète le confirment. Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes et l’évidence de leur existence jettent un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée officiellement. Un Syrien du 4esiècle de notre ère, très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières philosophique et mystique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée dans la Grande Pyramide par le corps du Sphinx : « cette entrée obturée aujourd’hui par les sables et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une énorme grille de bronze ». Les antiques cylindres scellés des Sumériens, ainsi que de nombreuses tablettes, racontent que la demeure secrète des Anunnakis était un lieu souterrain où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par la statue d’un gardien, ‘‘ Huwana ‘‘ dont les dents sont semblables à celles d’un dragon et la face à celle d’un lion »… « L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de cent ans, élaborés par des initiés francs-maçons et rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les pyramides par des passages souterrains en étoile. Il en était le gardien du seuil. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une énorme cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993. La nouvelle fut alors annoncée publiquement dans un documentaire intitulé « le mystère du Sphinx ». Cette émission a été vue par 30 millions de téléspectateurs américains sur NBC, fin 2003. Déjà en 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages, dirigés par l’archéologue Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par le journaliste Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh. Il déclarait : « nous avons découvert un passage souterrain immense, utilisé il y a cinq mille ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxiéme pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, à de petites pièces et salles latérales ». Un rapport complet du Dr Selim Hassan fut publié en 1944 par la presse gouvernementale, au Caire, sous le titre « Fouilles à Gizeh ». Il constitue dix volumes. Grâce à ces fouilles et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes Ecoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance. Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterraines de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires mondiales. Sur ces sujets donc, qui échappaient à la politique officielle, il devînt évident pour tous qu’un très haut niveau de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques, tant occidentales qu’orientales. >> Fin de citation. Le prince de non modification possible de l’histoire s’applique encore là aussi. Heureusement que des chercheurs de nouvelle génération comme Anton Park peuvent arriver à détourner cette censure générale que la vérité n’intéresse pas.

La cité turque de Göbekli Tepe

Je veux citer ici l’excellent article de la revue Nexus n° 64 de septembre 2004 page 98.
<> Fin de citation

Yonaguini en Mer de chine une autre Atlantide ou la pyramide des abîmes

Je veux citer l’article de la revue Stargate n° 5 de septembre 2004 page 14 :
« Yonaguini est une construction gigantesque, cachée sous les eaux de l’Océan Pacifique. Elle semble être la preuve bouleversante de l’existence d’une Atlantide de l’Orient, au large de l’île d’Okinawa dans la Mer de Chine. Elle est restée cachée dans le fond de l’océan pendant plus de dix mille ans. Les archéologues soutiennent qu’il pourrait s’agir de la construction la plus ancienne jamais réalisée par l’homme. Les ruines couvrent une très grande surface sur les fonds marins, dont cette pyramide, l’élément qui montre plus que tout autre l’intervention de l’homme dans cette construction. Elle occupe environ 15.000 m². La pyramide de Yonaguini semble être le vestige de la terre mythique de MU, frappée par un terrible cataclysme et engloutie par les eaux de l’Océan Pacifique il y a environ 35.000 ans. Selon de très anciennes tablettes, découvertes dans un monastère, nous savons que Mû était un continent situé au milieu du Pacifique et dont les origines remontent à 50 millions d’années. Bien avant l’homo sapiens, c’est la race humaine de Mû qui colonisa le monde, élisant dans chaque pays un roi fils du ciel, l’étoile qu’il considérait comme leur dieu. Il s’agit peut-être d’une simple coïncidence, mais la religion nippone, le shinto, fait remonter les origines de la descendance impériale à la déesse solaire Amaterasu. Notons que les tablettes sumériennes récemment déchiffrées disent que les Déesses créatrices de l‘homo sapiens étaient de la caste des Amasutum. Selon ces tablettes anciennes, il n’y a jamais eu de brutalité parmi ce peuple de Mû. Ils étaient de grands navigateurs et exerçaient en vrais maîtres l’art de l’architecture. Ils construisaient des temples imposants et des palais en pierre. Les rues étaient pavées avec une telle perfection que l’herbe ne parvenait pas à croître entre les fissures. Ce continent de Mû était découpé en sept régions, comportant chacune une capitale. Sur une période de plusieurs millénaires, ce continent fut victime de troubles si importants qu’il fut frappé par de nombreux tremblements de terre et sombra petit à petit dans les flammes des volcans. Sa destinée fut donc identique à cette de la Lémurie et de l’Atlantide. Des vagues monstrueuses s’abattirent sur les côtes pénétrant jusque dans les terres. La pyramide à gradins de Yonaguini fut découverte en 1985 par le Professeur Kikachiro Aratake. Ce géologue de l’université de Ryukyu, après de nombreuses immersions, a déclaré qu’il est, selon lui, absolument certain qu’il s’agit d’une réalisation humaine. Il en veut pour preuve la découverte d’un mégalithe en forme de visage humain de 7 mètres de haut, semblable aux fameuses sculptures de l’Ile de Pâques, les Moaïs. >> Fin de citation

Mohenjo-Daro au Pakistan
Pour terminer cette série de lieux mystérieux, citons Mohenjo-Daro, au Pakistan, où se trouvent les vestiges d’une explosion atomique militaire il y a 2000 ans avant JC. Je veux citer pour cela l’article de la revue Stargate n° 2 de février 2004 page 21. La journaliste Valentina Ivana Chiarappa nous dit ceci : «Des recherches récentes dans la vallée de l’Indus prouvent les thèses soutenues par l’archéologue David Davenport, relatives à une explosion nucléaire qui a anéanti les constructions et les êtres vivants dans un rayon du plusieurs kilomètres sur le site de Mohenjo-Daro. Les textes antiques de la tradition indienne évoquent ces évènements depuis toujours. Connaissant plusieurs langues dès son jeune âge, David Davenport, originaire de l’état indien du Bihâr, mais né de parents anglais, développa une grande compétence dans le domaine de l’archéologie ainsi que dans celui des traditions populaires de l’Inde. Cela le conduisit à l’approfondissement des textes sanscrits antiques et hindous qu’il traduisit en anglais. Les poèmes épiques appartenant à notre culture scolaire, comme l’Iliade et l’Odyssée, avec leur contenu mythologique sont, d’après les études de Davenport, ceux-là même qui ont été transmis dans les textes Ramayana, qui raconte les gestes de Rama ou aussi les textes du Mahabharata, aventures historiques des anciennes traditions indiennes. Ces épisodes, qu’un Occidental normal qualifierait d’absurde et sans fondement, tel que les épisodes qui décrivent les vimana (vaisseaux volants grâce auxquels les dieux de l’antique culture orientale arrivèrent sur la terre) sont considérés en Inde comme une réalité documentée et non pas comme une création de la fantaisie poétique.

Grâce à l’analyse des textes védiques, ce chercheur tira des conclusions incroyables ayant trait à l’existence, dans un passé très lointain, de vaisseaux spatiaux et d’armes nucléaires sophistiquées. A Mohenjo-Daro, il y a toutes les preuves nécessaires pour démontrer qu’une explosion de type atomique militaire a réellement eu lieu, analogue à celle d’Hiroshima.

L’historien Kisari Mohan Ganguli affirme que les Ecritures sacrées indiennes sont pleines de descriptions de ce genre qui rappellent ainsi l’expérience de l’explosion atomique d’Hiroshima et Nagasaki. Il fait mention de missiles et d’armes mortelles fort bien décrites. Dans la Droma Parva (une section du Mahabharata), il est décrit une bataille antique. On parle d’un combat où une arme explosive puissante détruisit des armées entières, causant des amas informes de guerriers, d’éléphants et d’armes, tous emportés comme des feuilles mortes. Au lieu du champignon atomique classique, le récit décrit une explosion perpendiculaire montant très haut dans le ciel avec des nuages de fumée qui s’ouvrent, l’un après l’autre, formant un gigantesque parapluie. >>
Fin de citation


Dernière édition par la baleine le Dim 17 Jan - 23:27, édité 4 fois
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Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale  et  falsification Empty Re: Archéologie, préhistoire, anthropologie: censure générale et falsification

Message  la baleine Mer 23 Déc - 21:37

La vraie- fausse crédulité complice de millions d’enseignants dans le monde

La communauté scientifique internationale méprise l’héritage des textes anciens classés occultistes qui cependant témoignent de civilisations antédiluviennes. Ce sont ces continents et civilisations qualifiées à tort de ‘‘ mythiques ‘‘ : Mu, L’hyperborée, La Lémurie et l’Atlantide. Bien que je ne sois ni savant, ni très cultivé, je trouve insultant de faire ‘‘ avaler ‘‘ aux étudiants que la préhistoire, peuplée d’êtres primitifs, se serait étendue jusqu’à 6 000 ans avant J.C. C’est un crime culturel dont j’ai personnellement cherché à connaître le mobile. Toute censure a son mobile. Selon l’histoire officielle enseignée, les hommes auraient été tous jusque là des peuplades éparses et sans culture. Puis soudainement, miracle, des civilisations très développées sont sorties de terre comme des champignons. C’est-à-dire Sumer, sujet sur lequel les ouvrages sont rares alors que la matière est gigantesque. Ce fut ensuite plus tard l’Egypte qui serait aussi le fruit d’une génération spontanée étalée sur quelques millénaires. L’humanité serait passée subitement de l’âge de pierre à une civilisation très sophistiquée. Pourquoi ? En conséquence de cette théorie officielle, le continent appelé MU, de même que la Lémurie et l’Atlantide, ne seraient que des mythes imaginaires au cœur de textes allégoriques anciens.

Nos lointains ancêtres écrivains et poètes avaient une imagination vraiment débordante et même mystérieuse puisqu’ils n’avaient aucune réalité matérielle pour l’alimenter.

Comment des générations de professeurs, au demeurant sincères, mais apparemment naïfs, ont pu croire cela et le faire avaler à des esprits malléables ? Je ne veux pas croire non plus qu’ils ne travaillaient que pour un salaire. Je pense qu’ils savaient tous qu’ils ne pouvaient jamais sortir des versions officielles admises car ce c’était leur carrière qui était en jeu.

Soyons justes, pouvaient-ils contester cette pensée unique et de plus universelle ?

Ce déni organisé est aussi choquant et pathologique pour moi que si, par exemple, une école enseignait, pour d’obscures raisons politiques, que l’Australie, le Japon, ou la Chine n’existaient pas, mais seraient des mythes. Nous connaissons tous la désinformation des Russes concernant l’Occident avant le mur de Berlin. J’ai un tout petit exemple au sujet du déni et il se situe dans mon petit cadre familial personnel. Il résume bien le mobile caché d’un déni. Ma mère ayant une sainte horreur du divorce avait interdit que soit connue l’existence de la nouvelle famille recomposée de son frère, notre oncle. Elle était arrivée à faire en sorte que les prénoms, les noms, les villes et l’histoire même de cette nouvelle branche ne soient jamais évoqués. Les punitions étaient si terribles pour nous tous que, petit à petit, cette réalité d’une nouvelle branche familiale a simplement disparue de nos cerveaux. Cet interdit fonctionna parfaitement une bonne quinzaine d’années et un jour une fissure apparut alors que personne ne s’y attendait. Quelqu’un de cette descendance interdite sonnait à la porte pour nous connaître .Ce fut la fin du monde établi par Maman.

Voilà comment depuis des millénaires, nos éducastrateurs institutionnels nous ont lavé le cerveau collectivement avec de grands moyens. Fallait-il que l’organisation occulte qui pouvait maintenir une telle illusion planétaire soit puissante et bien organisée. Connaître la vérité sur notre vrai passé représentait un danger tellement grand qu’une fois encore, là aussi, la fin a justifié les grands moyens.

Mais que pouvait donc bien être ce si grand danger concernant l’humanité ? Dans le cas de ma maman, il ne fallait absolument pas que soit connue cette abomination du divorce de son frère. Ce dernier avait selon elle perdu son âme. Il était devenu comme un fantôme qui, à sa mort, brûlerait éternellement en enfer. Son nom ne devait même plus être prononcé. L’horrible danger menaçant était pour notre mère que nous soyons un jour atteint par l’horrible tentation du divorce, cet outil pernicieux de Satan. La femme et l’homme ne pouvaient être aussi libres. Concernant le passé de l’humanité, heureusement que l’accès à la connaissance se développe de façon importante et constante depuis quelques décennies sous l’effet de pressions diverses dont nous parlerons plus loin. Mais comme cette dictature culturelle est si vaste et ancienne, les découvertes partielles et ponctuelles engendrent toujours beaucoup de confusion. Il nous faudra du temps et de la patience pour recomposer le puzzle complet de la vérité sur nos origines. C’est bien là aussi une histoire de famille et de race. Nos difficultés à comprendre ce qui se passe actuellement est simple à expliquer si nous prenons une image. Imaginez devoir découvrir pour la première fois un éléphant, alors que vous seriez aveugle. Il vous faudrait vous munir d’une échelle et de patience. Au début, vous seriez complètement perdu entre le flasque des oreilles, la dureté des défenses et la flexibilité de la queue. Selon moi voilà où nous en sommes tous réduits à recevoir des clichés prêts à l’emploi. Ils ont été donnés aux professeurs pour enseigner la vérité et ceux-ci vous les transmettent. Est-ce qu’eux-mêmes ont vraiment le choix ? Voilà comment nous sommes dupés dès l’enfance par des professeurs devenus des perroquets. Comprendre la vérité globale exige donc de la volonté, des recherches, du temps et de pouvoir prendre beaucoup de recul. Résumer en quelques lignes les 400 000 ans de notre vraie histoire n’est donc pas si simple. D’autant plus que cette période a connu divers cataclysmes puissants qui ont détruit à chaque fois une très grande majorité de la population et tous les documents témoins. Il avait cependant été conservé des traces consignées dans des ouvrages bien protégés.

D’immenses bibliothèques avaient été créées par les clergés chargés d’enseignement pour les cadres initiés, que ce soit à Babylone à l’époque de Sumer et plus tard à Alexandrie en Egypte. Dans ces deux derniers cas, la crainte que cette immense connaissance puisse être répandue publiquement, et par erreur à la masse du peuple, a entraîné la destruction complète et volontaire par le feu de ces banques de connaissance du passé de l’humanité.

Donc pour notre époque, l’histoire officielle des civilisations débute il y a 6000 ans, soit cependant plus de 340.000 ans après notre vraie création. Comprendre cela et surtout l’accepter m’a demandé beaucoup d’heures de lecture. Mais par compilation, une réalité relativement assez simple m’est apparue. Pour vous l’exposer, je prendrai par exemple la synthèse faite par Claude Traks dans son livre ‘‘ La recherche du Message des Dauphins ‘‘ (Edition Communicare). Claude est dans la même mouvance spirituelle que moi. C’est un homme courageux et engagé de la catégorie dite <>. Il présente l’avantage selon moi de ne pas faire partie du monde des chercheurs conditionnés par l’Elite. Il est un grand amoureux des cétacés dont il connaît bien l’histoire secrète. Vous trouverez cette hypothèse de notre préhistoire dans le chapitre ‘‘ Histoire de la terre, le chaînon manquant »’.Vous pouvez aussi voir développer ce sujet, beaucoup plus en détail, dans l’extraordinaire série de l’auteur et conférencier Anton Park : ‘‘ Les chroniques du GIRKU».  Voici donc ma vision simplifiée de ce qu’a probablement été l’évolution de l’actuelle humanité depuis 400.000 ans.





Notre Genèse revue et corrigée au XXe siècle selon Claude Traks et Anton Park

Cette histoire révisée n’a donc plus rien à voir avec l’enseignement orthodoxe. Je vous en laisse juge. Il était donc une fois, il y a quelques 400.000 ans, des êtres puissants comme des dieux. Ils étaient de race reptilienne. Leur nom était les Néphilims. Ils venaient de gagner une longue et cruelle guerre cosmique hors du système solaire. Les dégâts furent tellement titanesques que des planètes entières disparurent. L’armée résiduelle des Néphilims était réduite à 4000 soldats clonés : les terribles ‘‘ Anunnakis ‘. Ils étaient devenus comme des rebelles galactiques qui avaient affronté les représentants du gouvernement de la Source. (Cette version ésotérique de notre histoire a servi de base à des séries de films à succès, telle la Guerre des Etoiles. A la grande différence dans cette série que les héros sont des rebelles et que les ‘‘ mauvais constituent la Confédération régnante.) Ces guerriers reptiliens donc n’avaient plus de base arrière solide car leur planète avait de sérieux problèmes avec son atmosphère. De plus, ils en avaient épuisé les richesses vitales.

Cette noble race était en voie de dégénérescence et sa fréquence vibratoire corporelle était devenue trop basse. Comme leur planète malade se refroidissait, ils avaient besoin de pulvériser dans son atmosphère de la poussière d’or afin d’en amplifier les rayons solaires.

Pour toutes ces raisons, ils choisirent la Terre comme planète refuge à cause de sa luxuriance, sa richesse minérale et sa très faible défense militaire aussi. La biologie de ces êtres était beaucoup plus développée que la nôtre aujourd’hui. Ces reptiliens avaient un pouvoir physique et intellectuel très supérieur, ils pouvaient se régénérer par mue et ne connaissaient donc pas la mort. A cette époque, une caste de Déesses généticiennes appelées Mères-Divines administraient à merveille notre planète-laboratoire où elles avaient mis au point des milliers d’espèces .Nos ancêtres, fils de ces Déesses, constituaient une humanité supérieure à une époque où aucun adam n’avait encore était créé. Ces lointains ancêtres appartenaient à une race disparue. Ils étaient beaux, géants, très évolués et avec des structures corporelles multidimensionnelles, souples et moins denses. Ils ne connaissaient pas la mort car ils savaient se régénérer, eux aussi. Ils étaient les Namlu’u, originaires d’un continent appelé Lémurie et situé au milieu du Pacifique. Cette terre et son humanité succédaient à une autre civilisation plus ancienne sur un autre territoire planétaire immense appelé MU. Ce dernier continent était composé d’êtres très spirituels. Ils avaient un corps humanoïde gélatineux. Comme les Namlu’u étaient pacifistes, ils furent brutalement chassés par les envahisseurs reptiliens contre lesquels ils ne voulaient pas mener de guerre suicidaire. Les Néphilims et leurs soldats clonés Anunnakis édifièrent leur première capitale à l’emplacement de l’actuelle Irak pour pouvoir utiliser le pétrole très abondant. Ils colonisèrent ensuite l’Afrique pour l’extraction minérale. Après quelques millénaires, les soldats clonés Anunnakis se révoltèrent à cause du labeur trop dur. Nous en arrivons enfin à l’épisode la plus tragique et secrète de notre planète : les Déesses génitrices et gérantes de Gaïa, la Terre, furent capturées et forcées à créer un animal de service.

Par clonage, les Déesses créèrent de force un premier prototype d’adam, une sorte de singe robuste relativement docile.

Une bonne partie de ces singes s’échappa dans toute l’Afrique. Il est donc absolument faux de dire que l’homme descend du singe, c’est en réalité l’inverse. Les singes ne sont que les descendants de ces premiers prototypes d’Adam. Enfin apparut, en fin de chaîne, l’Homo Erectus qui marchait à quatre pattes et broutait la végétation. Il donna de grandes satisfactions aux Néphilims. Après quelques millénaires, un deuxiéme adam plus évolué fut exigé par les occupants reptiliens auprès des Déesses toujours maintenues en captivité. Elles restèrent en place parce qu’elles se sentaient solidaires des créatures monstrueuses qu’elles étaient obligées de créer. Ce deuxiéme adam devait être plus docile grâce à plus de sensibilité émotive car il devait pouvoir réagir à la peur et être aussi plus intelligent pour assumer la gestion de son travail. Il y avait tellement d’adams du type précédent que les Nephilims voulaient maintenant des bêtes capables d’encadrer le bétail comme une sorte de chien-berger.
Ce fut la race de Néandertal. Tous ces prototypes arrivaient à s’échapper dans les grands espaces planétaires couverts de forêts denses et constituèrent les tribus primitives dont nous trouvons les traces dans tous les sites troglodytes. Ils avaient d’excellentes raisons d’avoir peur. La mise au point par clonage du brave Néanderthal dura ainsi quelques 2000 ans.
Puis l’Homo Sapiens vit enfin le jour comme le modèle vraiment perfectionné. Le dernier modèle final, très haut de gamme, avec toutes les options a été le Sapiens-Sapiens, plus intelligent, docile et performant encore, tel que nous le sommes aujourd’hui. Mais il fallu l’entraver génétiquement pour qu’il soit gouvernable par un petit nombre de surveillants. Fiers de leur création, les Princes dominants nous ont précieusement parqués, dans un premier temps, sur une île au large de la côte sud-ouest de l’Afrique. Nous y avons séjourné quelques 50 000 ans.

Ces premiers adams étaient androgynes et leur reproduction se faisait par clonage en laboratoire. Afin de réduire notre pouvoir, notre horloge biologique a été génétiquement limitée à un maximum de 120 ans.

Ce cheptel sophistiqué a ainsi été mis au point d’une façon très satisfaisante au service des Princes reptiliens. Ce dernier adam une fois ‘‘ bridé ‘‘ était très facile à dominer par un très petit nombre d’Anunnakis. Plusieurs groupes de travailleurs ont été ensuite installés sur divers sites miniers. Le plus important était dans les plateaux et vallées de l’actuelle Irak. C’est à cette époque, il y a quelques 300 000 ans, que nous situons donc la fable du légendaire récit déformé << Le jardin d’Eden et le péché originel >>.C’est là que ce produisit un événement qui a déséquilibré tout le programme parfait des Nephilims, le rendant dramatique pour eux. Ce problème perdure encore aujourd’hui, pour eux, comme pour nous. Il constitue, pour les occupants reptiliens, une sorte d’accident irréversible aux conséquences terribles et qui a justifié depuis l’institution terrestre d’un Secret Absolu. Ce fut aussi et par conséquence la grande opportunité miraculeuse qui permit à l’adam d’envisager un jour de pouvoir sortir de son esclavage .et de son infirmité volontaire. Cet événement grandiose pour nous et dramatique pour nos Maîtres historiques est la fameuse histoire du Serpent et d’Eve. Cette histoire a été complètement, obligatoirement et logiquement inversée à grand renfort de fausses écritures et de lavage de cerveau, depuis cette lointaine époque. Vous allez ici enfin comprendre pourquoi. Voici l’histoire vraie de cet incident :

La vraie Genèse selon moi et tous les autres nouveaux chercheurs honnêtes
L’un des grands Seigneurs reptiliens nommé ENKI-EA a pris des décisions lourdes de conséquences. Sa biologie particulière lui donnait les mêmes pouvoirs planificateurs que les Maîtres de Sirius, gérants de la Source. Il s’opposa par grandeur d’esprit à ses congénères reptiliens et à son propre père le Grand Yahvé-Jéhovah, appelé ZEUS chez les Grecs. Il était le vainqueur de la guerre cosmique. Le Prince ENKI-EA, nommé aussi le Serpent car il avait hérité de la Terre creuse, condamna les abus faits sur les Déesses et aussi sur la nouvelle race humaine dont il se sentait moralement responsable comme co-créateur. De par son pouvoir et en association avec les Déesses, il modifia en secret la biologie des Adams androgynes de trois façons irréversibles.

Action n°1  Grâce au génie des Mères et en cachette de sa famille, le Prince ENKI-EA créa l’adam hétérosexuel. Il permit l’autoreproduction par acte sexuel. Les femelles reproductrices avaient une sensibilité très différente des mâles et directement dupliquée de la biologie subtile des Déesses. Ces femelles étaient tellement réussies et agréables à voir, que la hiérarchie reptilienne eut l’idée plus tard de s’unir à elles pour créer une race intermédiaire de ‘‘ chefs».  C’est cette dernière race, plus riche génétiquement, qui perdure encore sur terre de nos jours sous le label de la "Noblesse".  L’autoreproduction libérait l’adam de la contrainte des laboratoires de clonage. Sa race pourrait ainsi mieux se libérer.

Action n°2  Grâce au génie des Mères et en cachette de sa famille, le Prince ENKI-EA a caché dans l’ADN du nouvel adam hétérosexuel un programme potentiel d’évolution à effet retardé. Ce programme biologique secret prévoyait que lors de l’ouverture à une fenêtre solaire et galactique, ce programme attribuerait au nouvel adam les mêmes pouvoirs multidimensionnels et quantiques que ceux dont bénéficiaient les Princes reptiliens et les Mères-Divines.

Action n°3  Grâce au génie des Mères et en cachette de sa famille, le Prince ENKI-EA créa un réseau occulte de formation sur les pouvoirs secrets de sa race. L’objectif de ce Comploteur Héroïque, trahissant sa propre famille, était de libérer l’adam atrophié, sans avoir à prendre les armes contre sa redoutable famille. Il se fit ainsi parmi les hommes et sur toutes les générations suivantes, une réputation de Sauveur et de Héros. Toutes les mythologies depuis cette époque en attestent. Comme il était insaisissable et que sa demeure était principalement dans la Terre creuse, il fut nommé par tous et par sa famille : << le grand Serpent, le porteur de Lumière qui éclairait la Terre creuse. >> Ces élèves se multiplièrent et constituèrent les premières Ecoles de Mystères et les premiers lauréats composèrent la Grande Confrérie occulte du Serpent. Sa famille projeta alors de le détruire car il devenait trop dangereux pour eux en risquant de retourner l’adam instruit contre eux.





Origine de l’ésotérisme planétaire

Cette organisation d’enseignement secret existe toujours aujourd’hui sur toute la planète. Elle fait toujours l’objet d’attaques féroces et d’infiltrations sournoises de la part du Gouvernement Occulte Planétaire. La hiérarchie des Néphilims s’en trouva très perturbée et divisée entre pro et anti Enki-Ea. Après des millénaires d’embarras, un compromis fut trouvé avec la division de la planète en deux zones d’influence :

D’un côté le Seigneur Enki-Ea régnait sur la terre creuse, la Lémurie dans le Pacifique et enfin les Iles Atlantiques qui devinrent le fameux Atlantide.
De l’autre l’Empire de Seth et des dieux fondateurs dont la base restait en Mésopotamie pour devenir ensuite Sumer et sa grande métropole Babylone.
La caste des Déesses en profita pour s’évader avec Enki-Ea vers les territoires qu’il contrôlait.

C’est ainsi que se développèrent sur terre deux civilisations bien distinctes. L’une était dirigée par le Prince Sauveur des hommes et les Déesses, l’autre par la famille régnante soumise au Grand Yahvé-Jéhovah, devenu ensuite Zeus.

Durant des dizaines de milliers d’années, le groupe d’Enki-Ea, appellé Poséidon, dieu de la mer, développa sur tous ses territoires une civilisation très raffinée et évoluée qui provoqua une vive jalousie insupportable de la part de la famille régnante. Cette dernière échafauda alors un projet à long terme pour en finir avec le Prince félon, le Grand Serpent qui devenait le corrupteur de l’innocence du bétail humain. C’est ainsi que 70.000 ans avant notre ère l’Atlantide est devenu une civilisation supérieure à toutes les autres sur terre. Elle a atteint un niveau très élevé de qualité de vie dont nous sommes encore loin aujourd’hui, même dans le plus évolué de nos pays. Sous l’action féroce des opposants à Poséidon, la Terre a connu alors une longue période de conflits militaires dramatiques entre les deux clans.

La lutte s’étendit aussi à l’intérieur des Iles de l'Atlantide par infiltration et corruption. L'Ile de Poséidia entra longuement en guerre avec celle d'Aryana.

Rien n’a changé depuis, dans cette dualité. Compte tenu de la puissance des armes électromagnétiques utilisées, le désastre fut énorme. C’est à cette guerre que nous devons les différents déluges et cataclysmes qu’évoquent les textes anciens. L’évolution du bétail humain, grâce à la biologie détournée de ses femelles, constituait un grand danger pour l’avenir des Nephilims sur la Terre. La stratégie de la famille hostile à Enki-Ea consistait à entretenir une ébullition mondiale permanente pour affaiblir le plus possible les structures mises en place par le Serpent associé aux humains. Oserions-nous donc dire aussi qu’à ce sujet rien n’a changé encore aujourd’hui, parce que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Cette guerre titanesque s’étendit jusqu’aux planètes du système solaire. Nous savons que Mars et la Lune furent l’objet de batailles terrifiantes. Mulge, la planète des Déesses, dans le système solaire fut complètement détruite en représailles de leur non alignement à la politique des reptiliens dominants. Son satellite Vénus erra dangereusement dans le ciel, durant de nombreux millénaires, avant de se stabiliser, il n’y a que quelques 5.500 ans, là où elle est actuellement. Il n’y aurait que 12.000 ans avant notre ère que l’équilibre planétaire bascula complètement alors que Enki-Ea terminait son installation sous le plateau de Gizeh en Egypte, comme alternative possible à Undal, la capitale atlante dangereusement affaiblie par la guerre. Le centre névralgique de commandement du Prince Enki-Ea avait été secrètement déplacé dans les immenses galeries, sous le plateau de Gizeh. Entre temps, Enki-Ea y était devenu Osiris, Premier Roi et dieu d’Egypte. Cette dernière manifestation à Gizeh du pouvoir d’Enki-Osiris précipita sa propre fin. Au passage notons bien que la Grande Pyramide serait bien antérieure au dernier déluge daté de quelques 3500 ans avant notre ère, alors que pour les égyptologues orthodoxes, elle fut construite quelques 2 000 ans avant notre ère. La famille hostile à Enki-Ea devenu Osiris mis alors en œuvre la fin des œuvres de ce dernier. Elle organisa avec soin l’assassinat de celui qui était devenu Osiris, dieu d’Egypte, aux pouvoirs très impressionnants. Ce dernier était devenu très affaibli par les attentats terroristes alternant avec des combats ouverts sur tous ses territoires.





Le monde après Osiris. Création d’une Noblesse planétaire et d’une caste dirigeante

Il fut assassiné par une partie de sa garde personnelle, dans son propre palais égyptien. Ayant alors perdu son fondateur, l’Atlantide sombra rapidement suite à la disparition d’Osiris, après quelques centaines d’années de résistance et à l’issue d’attaques militaires puissantes qui firent vibrer les plaques tectoniques de toute la planète. L’Atlantide disparaissait comme la Lémurie des dizaines de milliers d’années avant, après une longue série de combats destructeurs. Cette très longue guerre de pouvoir fragilisant l’équilibre sismique planétaire a provoqué un dernier déluge qui permit aux vainqueurs de tirer enfin un grand trait sur tout le passé et de se refaire une nouvelle virginité. L’évolution anarchique du bétail allait enfin pouvoir être maîtrisée. C’est donc à partir de là que commence l’histoire officielle du monde. Elle ne bougera plus jusqu’à aujourd’hui. La capitale de l’empire planétaire des Maîtres reptiliens devint Babylone. L’Egypte bénéficia quelques temps d’une certaine tolérance parce que la Déesse Isis, femme et veuve d’Osiris, s’était enfermée avec ses suivantes dans l’immense sous-sol du plateau de Gizeh. Ce lieu était une porte d’accès principal à la terre creuse. Hormis cet accès, toutes les autres portes menant au monde d’en bas furent complètement fermées et le sont encore aujourd’hui. La Veuve était puissante, elle avait le pouvoir divin des Mères Créatrices. Avec sa sœur, devenue plus tard Marie Madeleine, elle entreprit alors patiemment de recréer en cachette tout ce qui avait été détruit. Par un processus génétique secret, au sein de la Grande Pyramide, elle a d’abord réincarné l’esprit d’Osiris dans le corps jeune de leur fils Horus.

Cette Sainte Trinité, ‘‘ Horus-Isis-Osiris ‘‘ , représenta par la suite, en secret le pouvoir de la Source sur terre, depuis lors et jusqu’à aujourd’hui encore.

La Déesse mettra alors en œuvre son projet de reconquête pacifique de son propre bien, puisque, de droit cosmique, cette planète appartient à la caste des Mères Divines Créatrices. C’est de ce temps là que les Ecoles de Mystères passèrent dans la clandestinité sans pouvoir empêcher une mortelle infiltration des agents de Babylone.

La Trinité, ‘‘ Jésus-Marie-Joseph ‘‘ qui réactivera la flamme osirienne à Jérusalem au début de notre ère, sera la réactivation des esprits de ‘‘ Horus-Isis-Osiris ‘‘ assortis de celui du Christ.

Rien d’anormal donc si Rome a fait très vite disparaître Joseph des évangiles. C’est à partir de cette époque aussi que des cités osiriennes furent bâties dans la terre creuse pour attendre des temps meilleurs, c'est-à-dire aujourd’hui. Par contre, ne voulant prendre aucun risque avec un éventuel retour des ambitions osiriennes, les Maîtres reptiliens organisèrent de leur côté et avec génie les bases très fermes et surveillées d’une civilisation complètement nouvelle.

L’adam détourné par Enki-Ea,allias Poséidon, alias Osiris, alias Lucifer, alias plus tard Jésus-Christ était devenu grand en pouvoir et même en intelligence. Il fallait l’affaiblir et le culpabiliser. Ils lui inventèrent un passé crédible. Notre bible en est le plus parfait outil et plus tard le Nouveau Testament.

Il leur fallait effacer toute trace des enseignements du Serpent, le grand Félon, le Grand Corrupteur de l’innocence originelle du bétail humain. Afin de surveiller, encadrer et désinformer la multitude, les Princes reptiliens dominants s’appuyèrent sur la race des sang-mêlé, issue du croisement entre les mâles reptiliens de sang pur avec les belles femelles humaines. Ils créèrent la caste des autorités Nobles qui les remplaceraient dans l’encadrement du bétail devenu délicat. Comme ‘‘ diviser pour mieux régner ‘‘ faisait partie de leur outil favori, les gérants redoutables et belliqueux créèrent alors une grande quantité de pays, de religions, de philosophies, de partis, de clans et d’écoles, le tout en prenant bien soin de les mettre toujours en opposition systématique.

Ainsi, le nouveau bétail humain devenu intelligent et ambitieux se surveillait tout seul en se neutralisant. Le grand principe général encore en vigueur pour la gestion planétaire est celui-ci : <>

Pour contrôler le tout, une sorte de filet invisible, électromagnétique, fut jeté sur toute la planète grâce à une Pyramide Administrative structurée en réseaux composés de millions d’agents, eux-mêmes regroupés en loges. Les réseaux ne communiquaient pas entre eux, ce qui est toujours le cas aujourd’hui. Au fil des millénaires et selon les circonstances, ces réseaux changent de noms et se reconstituent afin de ne jamais être découverts. Les reptiliens dominants ont appris avec les millénaires comment maîtriser avec fermeté l’adam devenu intelligent, même si ses pouvoirs inconscients le rendait beaucoup plus sournois que prévu à l’origine. Un bon adam productif est un adam toujours très affairé. Par contre, en parallèle et en opposition, sous l’inspiration serpentine de la Trinité Secrète, quelques adams éduqués continuèrent à résister sournoisement à la domination despotique.

Heureusement pour les Dominants, les plus intelligents et ambitieux des adams arrivèrent facilement à être corrompus. Il leur fut habilement confié des responsabilités importantes dans l’administration, ce qui les transforma en cadres acceptables au service rémunéré de la Pyramide Administrative, jusque dans les étages élevés. La partie haute de celle-ci est réservée aux hybrides issus du croisement entre des adams méritant et des Anunnakis. Ils seront appelés les nobles de la race humaine, c’est-à-dire ceux qui font partie de la noblesse. Autrement dit ceux qui portent ‘‘ l’anneau qui blesse''.  Ce sont les Rois, les Chefs de guerre, les Papes, les grands Princes au sang bleu. Si la terre est considérée comme un camp de rétention, ils en sont les ‘‘ Kapos ‘‘ anoblis.

L’Elite pure des Néphilims, quant à elle, a, soit quitté la planète pour la surveiller de loin, soit y demeure encore de façon visible ou invisible mais en bénéficiant toujours de l’immortalité par le processus de mue. Les grandes autorités de la politique mondiale actuelle sont fortement soupçonnées d’être secrètement dans l’une de ces catégories. Toute inquiétude n’a pas disparue dans le camp hostile à Osiris-Isis-Horus, bien au contraire, car cette Trinité non seulement n’a pas disparue, ils le savent très bien, mais reste très active. La Trinité opère sereinement et patiemment dans sa clandestinité multidimensionnelle. Certes l’Egypte a été complètement infiltrée par un clergé corrompu, puis fut livrée à Rome, et aujourd’hui à Washington mais les serviteurs de la Trinité clandestine bénéficient d’un redoutable avantage génétique. Ils supportent parfaitement l’élévation naturelle de la fréquence vibratoire planétaire. Bien qu’interdits d’accès à la surface terrestre, il suffit aux suivants d’Isis d’élever leur taux vibratoire pour accéder aux Annales Akashiques et parcourir en esprit toute la planète pour y enseigner les ouvriers de la Lumière. C’est grâce à ce processus que vous êtes en train de lire ces lignes. Afin de blinder l’esprit des adams et les rendre impénétrables aux esprits instructeurs de la Trinité, les gérants de la Pyramide Administrative ont utilisé simplement le lavage de cerveaux permanent. C’est ainsi qu’ils implantent en permanence dans les esprits des humains des slogans de fausses vérités. Par exemple, Lucifer l’allié cosmique de la Trinité, jumeau d’Osiris, se trouve spirituellement qualifié en permanence par les églises chrétiennes d’Archange déchu. Les cadres de la Pyramide Administrative en vinrent à détourner à leur profit le terme « Confrérie du Serpent » pour désigner leurs propres loges secrètes, répandant ainsi la confusion avec la vraie Confrérie des suivants d’Osiris. Le domaine où la Trinité osirienne s’est montré historiquement la plus efficace pour libérer l’humanité de sa captivité, c’est par l’infiltration lors des naissances quotidiennes à cette planète.




Les mondes d’après vie

Comme l’Adam est mortel, il faut bien qu’il renaisse aussi, car les Gérants reptiliens dominants de la Pyramide Administrative ont un grand besoin en permanence d’une main-d’œuvre jeune. Dans les mondes d’après vie, les deux camps aspirent, chacun de leur côté, le plus d’âmes possibles, soit vers les fréquences lentes et basses ou enfer, soit vers les fréquences plus élevées appelées communément ciel. Selon la loi universelle immuable du libre arbitre chaque âme choisit ainsi son parcours de retour, ce qui représente un entraînement et un test très favorable pour elle. Lors de la réincarnation, les suiveurs de la Trinité osirienne se montrent très habiles et viennent massivement déranger la belle technologie planifiée des descendants des Nephilims. Ils préparent les âmes à des plans d’incarnation plus élevée qui perturberont les schémas des Princes reptiliens. C’est ainsi que de génération en génération les enfants sont de plus en plus difficiles à ‘‘ dompter ‘‘ , surtout à notre époque. Avec l’élévation naturelle du taux vibratoire de toute la planète, associée au réveil programmé des pouvoirs insérés dans l’ADN de l’adam, les forces dominantes et reptiliennes se trouvent dans une situation très critique. Ce qui caractérise donc nos glorieuses années actuelles, c’est que l’homme récupère les mêmes pouvoirs que ses créateurs pour se libérer lui-même. De plus en plus d’êtres venus d’autres univers viennent nous guider dans cette étape cruciale où le bétail humain, après 400.000 ans, arrivera peut-être à se libérer de son terrifiant créateur. Les observateurs solaires et cosmiques qui nous regardaient jusqu’à maintenant sur leurs écrans, veulent dorénavant nous « sentir » de plus près. Ils se tiennent bien sûr dans une autre dimension proche pour ne pas créer de remous. Notre époque planétaire est comme un spectacle cosmique rempli de spectateurs. Contrairement à nous qui demeurons encore incultes, ils connaissent l’enjeu universel de cette grande révolution planétaire. Les exploits de la race humaine dans sa mutation n’ont pas d’équivalent dans tout l’univers.

Aucune race n’a jusqu’alors réussi à se libérer des griffes des reptiliens de type « Kingu Albinos».  Alors qu’ils possèdent des pouvoirs gigantesques leur dégénérescence les rend terriblement cruels et dangereux. Que l’adam puisse bientôt leur échapper constitue pour eux un échec révélateur de leur déchéance. Beaucoup parmi nos voisins cosmiques voudraient nous aider encore plus, mais ils en sont empêchés par la fameuse et noble loi du libre arbitre.





La capitale de Sumer était Babylone au sud de Bagdad

Etrange coïncidence que celle de constater combien ce pays, l’Irak, fait l’objet de tant de convoitise de la part des nations du monde. Il y a l’appât du pétrole, bien sûr, mais aussi l’attrait des sol et sous-sol correspondant à la mémoire de la grande civilisation des dieux reptiliens. C’est à Babylone que vécurent les premiers dieux reptiliens et leurs gardes Annunakis, avant de confier la destinée de la Terre à leurs successeurs hybrides, les premiers grands Rois, mi-dieu, mi homme. Pour évoquer cela, je citerai un article de la revue Nexus n° 32 page 63. Le journaliste Frédéric Morin nous dit ceci : « D’un point de vue académique, la Grèce antique est présentée dans nos écoles comme le berceau de notre civilisation occidentale. Elle est considérée comme un summum culturel. Il ne nous vient pas à l’idée que cette époque n’est en réalité qu’une période de régression scientifique, véhiculant des bribes éparses d’une civilisation antérieure bien supérieure. Nos astronomes redécouvrent aujourd’hui des connaissances que les Sumériens possédaient déjà il y a des dizaines de milliers d’années avant notre ère, et notamment l’existence d’une planète supplémentaire. Celle-ci pourrait avoir porté une civilisation bien plus avancée que la nôtre et qui aurait pu intervenir sur l’humanité peuplant alors la Terre. Dans le journal Newsweek du 13.07.1987, un article mentionne : « la semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une dixème planète pourrait être en orbite autour du Soleil ». Le 7 avril 2001, dans Science News, on pouvait lire : « L’orbite singulière d’une comète suggère une planète cachée bien au-delà des neuf planètes connues. Un objet de la taille de Mars pourrait avoir fait partie de notre système solaire. La date de 2012 avancée par un grand nombre pourrait bien être l’évènement majeur du passage de cette planète, jusqu’alors inconnue, dans la ceinture d’astéroïdes, entre Mars et Jupiter. >> Fin de citation.  Afin d’avoir plus d’information sur cette théorie qui semble plus crédible aujourd’hui, je vous conseille l’excellent livre de Zecharia Sitchin aux éditions Carnot. En substance, ce livre dit ceci : << Les Sumériens, il y a 10.000 ans environ, ont transcris sur tablettes d’argile des récits extraordinaires. Ils comptent en particulier la survenue cyclique d’une planète lointaine dont l’orbite est elliptique et non circulaire. Aujourd’hui les astronomes sont convaincus de l’existence d’une planète supplémentaire au-delà de Pluton. Un astronome français de l’Observatoire Nice-Côte d’Azur a même établi en 2003 son orbite plausible, sur une période de plusieurs milliers d’années. C’est exactement ce que révèlent les épopées déchiffrées des tablettes sumériennes. >> Fin de citation. Zecharia Sitchin, qui a mis en évidence la véracité des récits sumériens, va jusqu’au bout de leur révélation : l’annonce ultime des tablettes est que cette planète porte une civilisation reptilienne très avancée, dont il est écrit qu’elle fut, voici quelques centaines de milliers d’années, à l’origine de la dernière humanité sur terre. Lorsque cette planète annoncée par les astronomes paraîtra dans le ciel, mieux vaudrait savoir ce qu’en disaient les Anciens.




Les Livres Jaunes des Editions Félix

La théorie développée ici dans ce livre est reprise aussi par de nombreux auteurs. Je voudrais citer par exemple la série des fameux Livres Jaunes des Editions Felix. Dans le tome n°6, chapitre 13 ‘‘ Les Anunnakis ‘‘ les auteurs, qui se veulent anonymes, exposent une théorie proche de la mienne, mais ne possédant pas les dernières découvertes archéologiques, puisque leur livre a été édité en 2000. A la page 176 de ce chapitre 13, vous avez une explication identique de la Genèse falsifiée. Les auteurs relient la théorie de notre création par les dieux sumériens avec tous les autres peuples indigènes de la planète dont nous conservons encore la mythologie. Il s’agit des peuples hawaïens, des mayas, des hopis d’Amérique du Nord, des aborigènes d’Australie et des Dogons du Mali. Ces derniers, de même que les Aztèques, possèdent des informations sur la création des diverses humanités planétaires ainsi que du système solaire et galactique qui laissent les spécialistes d’aujourd’hui stupéfaits. Toujours selon ce chapitre 13 du tome n°6 des Livres Jaunes, nous connaissons donc très bien la brillante civilisation sumérienne par les plaquettes d’argiles présentes en quantité importante dans toute la Mésopotamie, car ce fut la région qui fut choisie comme capitale planétaire par la puissante race des reptiliens Gina’Abul. Ce sont les Nephilims de notre Bible. Cette race comprenait diverses branches de biologie différente. Dans des temps antédiluviens, ils sortirent vainqueurs mais très affaiblis d’une longue guerre cosmique et élurent domicile sur la terre. C’était il y a quelques 450.000 ans. Notre terre était luxuriante et habitée par une race de géants pacifiques et puissants : les fameux Namlu’u. Les guerriers vainqueurs de ce groupe reptilien étaient des clones très brutaux appelés Annunas. Leur chef était un groupe de dieux rebelles s’opposant à la hiérarchie universelle. La terre est devenue une excellente base arrière pour eux. Comme Ils avaient un grave problème de dégénérescence génétique, pour se reproduire ils utilisaient les services de grandes Déesses spécialisées issues des Pléiades. Ces Mères divines ou Vierges maîtrisaient parfaitement la création d’êtres par clonages in vitro. Elles étaient de grandes Déesses cosmiques ayant de grands pouvoirs. Elles avaient les mêmes puissants pouvoirs que les émissaires de la Source, planificateurs cosmiques et créateurs de races .Pour leur impératif besoin, les rebelles et réfugiés planétaires obligèrent ces Déesses à créer un bétail de service nommé adam pour extraire les grandes quantités de matière première dont ils avaient besoin pour survivre. La Mésopotamie, fut leur première colonie avant de découvrir tous les continents sur une période d’une centaine de milliers d’années jusqu’à nos jours. Les Princes reptiliens responsables de cette opération étaient Enki-Ea et son frère Enlil. Ce qui va nous sauver d’un cruel esclavage, c’est qu’Enki-Ea devenu ensuite plus tard Osiris s’est opposé à son frère qu’il jugeait brutal et sans conscience. S’alliant avec les Créatrices Amasutum, Enki a défendu les droits des hommes devant tous les autres Princes reptiliens jusqu’à créer un conflit chronique qui perdure encore secrètement aujourd’hui. Ce Grand Prince fut aussi l’instructeur des hommes. Il a élu domicile avec les Déesses Créatrices dans son refuge, le monde d’en bas ou terre creuse ou Agartha. Son esprit fut appelé Lucifer et aussi le Grand Serpent. Il fut le fondateur des civilisations lémurienne, atlante et égyptienne. Après avoir livré des combats aussi sanglants que destructeurs, ce Grand Prince fut assassiné à Gizeh et l’Atlantide complètement détruite. Son frère Enlil, appelé ensuite Seth, cache aujourd’hui encore son existence aux hommes par tous les moyens possibles. Isis, la Grande Déesse Créatrice, l’épouse d’Osiris, se réfugia en Egypte où elle utilisa la Grande Pyramide pour créer une nouvelle dynastie. Elle fit revenir Osiris dans le corps de son fils Horus. Depuis cette époque, il y a des milliers d’années, l’humanité subit le joug des successeurs de Seth, mais bénéficie aussi de l’assistance secrète de son lumineux frère Osiris, associé à Isis. Depuis cette lointaine époque, il existe bien deux réalités terrestres permanentes : le monde fermé des reptiliens Anunnas et l’autre monde cosmique de la Trinité Isis-Osiris-Horus. La série des Livres Jaunes bien que vieillissante contient beaucoup d’autres informations très intéressantes sur la face cachée de notre monde.


Dernière édition par la baleine le Dim 17 Jan - 23:39, édité 6 fois
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Message  la baleine Mer 23 Déc - 21:40

L’Atlantide

De même que d’autres nombreuses civilisations très anciennes et non reconnues, le mythe de l’Atlantide semble bien avoir été une réalité. Selon la revue Lune-Soleil n° 21 du 4ème trimestre 1993, les écrivains et conférenciers Anne et Daniel Meurois-Givaudan exposent en page 6 leur expérience de la civilisation atlante à travers les Annales Akashiques. Concernant l’utilisation des Annales Akashiques, ils disent ceci : « C’est une plaque extrêmement sensible que l’on peut comparer à un film magnétoscopique qui va engranger tous les évènements qui se sont passés à un moment ou l’autre sur la planète Terre ». Concernant leur découverte de l’Atlantide ils disent ceci : « Nous ne pouvons pas parler ici de toutes les époques de toute l’humanité. Aussi nous avons choisi la fin de l’Atlantide, quelques 12 à 13.000 ans de cela. L’Atlantide n’est ni mythique, ni symbolique, mais un continent bien concret. C’était un empire extrêmement puissant qui avait colonisé une partie de la planète. Cette terre n’a jamais connu la paix ; il y avait des rivalités permanentes entre elle et les peuples de l’empire sumérien. Le peuple noir avait vécu l’effondrement de la Lémurie, située dans l’Océan Pacifique et l’océan Indien. La race jaune était déjà où elle se trouve encore actuellement. Les Atlantes étaient eux de race majoritairement rouges, de même que certains habitants du continent nord-américain. Des blancs vivaient aussi à l’emplacement actuel du Canada, en Islande et dans tout le Nord de l’Europe. Lorsque le cataclysme a eu lieu, l’Atlantide fonctionnait en confédération d’états, comme les USA, mais sans réelle unité de culture, ni de race. Il y avait un état dominant de race rouge au centre de l’Océan Atlantique. Il existait de vives rivalités entre cet état-mère et les états confédérés qui étaient sous sa dépendance financière, culturelle et politique. »Fin de citation. Concernant aussi l’hypothèse de l’Atlantide, nous nous reportons à la revue Stargate n° 5 de septembre 2004, en page 6. Le journaliste Armando Aprea nous fait un brillant exposé très documenté prouvant que la civilisation atlante devrait être perçue comme bien réelle. Il nous dit ceci : « Pour combien de temps encore, l’Atlantide restera t’elle une légende, un mythe, malgré les découvertes archéologiques et sous-marines qui font la joie des savants, des chercheurs et des penseurs ? Il y a des traces précises et éloquentes qui témoignent de l’existence d’une civilisation, sinon plusieurs empilées, qui sont nées, se sont développées et ont prospéré sur la surface de la terre, pour disparaître ensuite inexorablement et même très brutalement. Pourquoi continuer à croire avec acharnement et dirions-nous sectarisme que le progrès rapide scientifico-technique et industriel n’a jamais eu de précédents, disons d’une façon cyclique et toujours possible. Sur une planète qui est née depuis 4,5 milliards d’années, est-il possible que notre race soit la seule et unique ayant réussi à s’y développer ?Concernant l’Atlantide, des témoignages historiques probants existent. 600 ans avant J.C., le prophète Ezechiel, cité dans la bible, affirme qu’il a vu voler une machine très étrange, munie de quatre « pattes de bœuf », qui lui permettaient de se poser au sol. Ce prophète avait été invité à bord après l’atterrissage de l’engin, qui fut, dit-il, accompagné de sifflements stridents et de nombreuses flammes. Il semble évident qu’Ezechiel, comme de nombreux auteurs de cette époque, a vraiment vu un vaisseau spatial et a volé à bord de ce dernier. Trop de questions sont soulevées aujourd’hui par l’existence possible d’une Atlantide fantastique, disparue il y a au moins 12 à 13.000 ans. Il s’agit d’une époque très lointaine durant laquelle, aussi, en Sibérie, en Amérique et dans le terrible triangle des Bermudes, des faits étranges ont eu lieu. Les traces qu’ils ont laissées ainsi que les pièces archéologiques, et les écrits les rendent visibles sur la surface de la Terre. L’Atlantide est aussi présente dans les œuvres des grands penseurs historiques. Homère, Hésiode, Platon et Diodore de Sicile, Virgile et Mantouan, tous excellents représentants du savoir universel avant l’ère chrétienne, présentent clairement dans leurs œuvres un « fil conducteur » qui ne serait être sous-estimé, ni négligé, car il paraît fondamental. Ces grands penseurs du passé parlent tous d’une unique population atlante disparue et de ses ramifications ou filiations dans la Mer Méditerranée et dans tout le continent américain d’aujourd’hui. » Fin de citation





Le très mystérieux désert de Gobi

Pour clore ce chapitre concernant la censure générale des autorités par rapport aux découvertes archéologiques, nous voulons bien souligner que les civilisations censurées par les académies de sciences sont nombreuses. Nous citerons un article de la revue Sacrée Planète n° 15, d’avril 2006, intitulé « La civilisation du désert de Gobi ». Le journaliste Philippe Alice nous dit ceci : « Si de très nombreux vestiges de la civilisation égyptienne sont encore ensevelis sous les sables du désert, c’est toute une civilisation entière qui reste à découvrir sous le désert de Gobi. Deux sources totalement indépendantes, les Tibétains d’un côté, le medium américain Edgar Cayce de l’autre, décrivent une même société très civilisée et idyllique qui aurait existé il y a plus de 200.000 ans. Dans son ouvrage porté à l’écran « Rencontre avec des hommes remarquables », Gurdjieff relate son voyage en Asie Centrale, peu avant la seconde guerre mondiale. Concernant Gobi, il écrit : « Après avoir quitté Tachkent, nous arrivâmes à la limite des sables de Gobi. Nous nous mîmes à fréquenter les habitants de cette localité, et ils nous dévoilèrent toutes sortes de croyances relatives à l’histoire de ce désert. La plupart des récits affirment que des villages, et même des villes entières, étaient ensevelis sous les sables du désert actuel, avec d’innombrables trésors et richesses ayant appartenu aux peuples qui avaient habité cette région, jadis prospère. Ces mêmes habitants semblaient connaître les lieux précis où de tels vestiges peuvent être retrouvés, mais ils se gardaient bien de le révéler à un quelconque étranger. L’existence d’une civilisation très ancienne dans une région qui aujourd’hui est un désert, n’a rien d’étonnant en matière d’archéologie. Mais, contrairement à la Mésopotamie ou à l’Egypte, si une telle civilisation a pu exister dans ce qui est aujourd’hui le désert de Gobi, ces vestiges assurément doivent être profondément enfouis sous les sables. Les archéologues occidentaux n’ont apparemment jamais eu accès à ces secrets mongols. Pourtant, c’est un Américain qui relate dans un des ses ouvrages les fouilles qu’il a entrepris jusqu’à trente mètres de profondeur sous les sables de Gobi. En 1983, un autre Américain du nom de Baird Spalding entreprend un voyage à travers l’Inde, le Tibet et l’Himalaya dans le but de confronter les réalités spirituelles de ces pays. C’est de ce voyage initiatique que naîtra le fameux livre universellement connu « La vie des Maîtres ». Spalding aura accès à certaines archives des temples tibétains les plus secrets. Dans son récit, nous pouvons lire : << A notre arrivée, une grande surprise nous attendait. Il y avait des milliers de tablettes d’argile et de documents gravés sur cuivre et sur bronze, ainsi que de minces tablettes de marbre blanc magnifiquement ciselées ». Les lamas lui ont révélé alors ce qu’ils savent de l’origine de ces tablettes : « On prétend que certaines de ces tablettes datent de la venue sur terre des hommes civilisés et proviennent en ligne droite de la Terre Maternelle. Ce seraient celles des Naacals, appelés Frères Saints, qui apparurent en Birmanie et enseignèrent les Nagas. Elles semblent prouver que les ancêtres de ces peuples étaient les auteurs de la Surya Siddhârta (plus ancien livre d’astronomie connu), et des Védas primitives. Les lamas donnent alors une datation de 45.000 ans pour ces Védas primitives, datation qui se révèlera conforme à une chronologie globale concernant les civilisations très anciennes et prédiluviennes. La terre Maternelle évoquée ici va s’avérer être située au milieu de l’Atlantique et s’appeler l’Atlantide. Ces documents semblaient être des copies provenant des archives babyloniennes et apportées au Tibet en vue de leur conservation. Les documents primitifs seraient les originaux datant d’Osiris et de l’Atlantide. Après avoir consulté ces tablettes, Spalding porte la conclusion suivante : « le type de tablettes et la méthode employée pour les dater sembleraient indiquer qu’elle ont été ouvrées au début de l’Atlantide ». Quant au constat des lamas, ils nous mènent en présence directe avec cette civilisation mystérieuse de Gobi : « nous avons examiné diverses tablettes de notre monastère et constaté qu’elles se référaient toutes à l’antique civilisation de Gobi. Nous avons la conviction que toutes les civilisations et croyances religieuses proviennent d’une source commune unique. Nous ne connaissons ni l’origine, ni la date d’établissement de ces tablettes, mais nous avons la conviction qu’elles reproduisent les pensées d’un peuple qui a vécu ici il y a bien des millénaires ». Les moines poursuivent en parlant ainsi du peuple de Gobi : « Ces hommes ayant vécu ici sont les vestiges d’un peuple qui fut grand et prospère. Leurs ancêtres habitaient ce pays au temps où celui-ci était un empire industriel florissant et magnifique. Ils pratiquaient les sciences et les arts, ils connaissaient leur propre origine et leur puissance ». Puis les lamas parlent d’une ère de décadence, suite à un grand cataclysme brutal qui ravagea le pays, et n’épargna que les montagnards isolés. En conclusion, il semblerait donc bien que concernant la période antédiluvienne, de graves incidents aient affecté l’ensemble de la planète et des civilisations la composant. Mais de cela, notre histoire ne veut garder aucune trace, ni aucun souvenir. >> Fin de citation.

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Tags Tags : archéologie, glozel, christophe colomb, rudolf steiner, plaquettes sumériennes, p; jovanovic, pêché originel, atlantide, genése, poséidon, osiris


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Message  la baleine Dim 8 Mai - 12:59



Un homme, à le voir et à l'entendre, qui dispose d'une intelligence équilibrée avec bienveillance et compassion.

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Mes journaux sur ce site étant "morts" - et je le vis très mal car la réalité d'un monde confus, manipulateur et mensonger s'impose plus que jamais -, je ne sais où consigner ce qui suit, donc je dépose ci-dessous:


Dernière édition par la baleine le Dim 8 Mai - 13:13, édité 1 fois
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Message  la baleine Dim 8 Mai - 13:11

Résonance sonore forte à 46.11 (au mot souligné):

"... que des entités qui étaient en observation ont reçu l'autorisation de pénétrer l'espace terrestre et de contacter les âmes qui voudraient [préparer une mutation planétaire]..."
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Message  la baleine Ven 27 Mai - 9:23

Paraissant reprendre cette même idée, résonance il y a peu, lisant ces mots:

Seule la Terre est restée une planète de classe-M, capable de soutenir des formes de vies humanoïdes, comme nous le sommes présentement. 

à cette adresse

http://novusordoseclorum.discutforum.com/t4044p45-topic-joel-labruyere
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Message  la baleine Sam 5 Nov - 17:03

la baleine a écrit:
Source:

http://www.la-grande-revelation.com/archeologie-et-prehistoire-censure-et-falsification-a1784888

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Par VESONE dans Bienvenue sur le blog de "La Grande Révélation" ! le 13 Octobre 2010 à 16:39

CHAPITRE 10-12                  

ARCHEOLOGIE, PREHISTOIRE, ANTHROPOLOGIE : CENSURE GENERALE  ET  FALSIFICATION

Dans ce domaine, aussi, la pensée unique conforme au consensus sur l’ordre établi exclut toute exploration hors dogme. Les chercheurs qui s’y hasarderaient sont immédiatement privés de tribune et de budget. Nos origines lointaines ne doivent absolument pas être connues et en aucun cas l'inavouable identité de nos créateurs. Ils font tout pour que nous les considérions comme les émanations du seul Dieu Unique et Source de tout. Mais nous sommes aujourd’hui entrés dans le temps de la grande révélation, tel est le sens du mot Apocalypse. Ce n’est donc pas la fin du monde matériel, mais la fin de l’arnaque et de l’usurpation. Des textes très anciens récemment décryptés disent ceci : « Nous les fils d’Adam sommes historiquement les descendants génétiques des Déesses Mères Cosmiques qui ont été capturées et contraintes de nous créer sous la domination agressive de puissants prédateurs reptiliens et de leurs clones appelés Annunakis. Après avoir gagné une longue guerre céleste, ils étaient en cavale dans l’univers et à la recherche d'une planque agréable. Comme ils sont immortels et multidimensionnels, il leur était facile de nous leurrer par l’intermédiaire de leurs sbires humains et semi-humains. Voilà ce que devrait savoir demain Monsieur tout-le-monde pour tourner la page et élargir sa conscience au-delà de la culpabilité qui lui a été mise sur le dos grâce à l’invention d’une faute originelle. Pour que cette méga imposture ne soit pas connue de la masse grouillante des fils d’Adam, depuis les temps les plus reculés, notre culture historique, archéologique, préhistorique et anthropologique est soumise à un régime de censure générale concernant toute découverte sur la période antédiluvienne de notre Genèse. Que s'est-il passé sur notre planète avant le déluge? Réponse enseignée, rien ou presque selon les académiciens. Même quand j’étais enfant et sans culture, mon instinct me disait que cette longue préhistoire ne pouvait correspondre à la réalité, car j’avais en moi d’autres souvenirs qui surgissaient dans mes rêves. Aujourd’hui des chercheurs inspirés comme Anton Parks, égyptologue et traducteur des plaquettes sumériennes, souligne sans plus se cacher la censure mondiale des autorités officielles pour effacer toute trace des civilisations antédiluviennes. Voilà pourquoi il a bien fallu que ces mêmes autorités créent de toutes pièces des textes fondateurs crédibles afin de répondre à la curiosité du public et pouvoir affirmer que notre histoire ne commençait qu’après le dernier déluge avec Noé. Avant, il n’y avait donc rien eu, si ce n’est quelques peuples primitifs et nomades sans civilisation organisée. Circulez, s’il vous plait, il n’y a rien à voir. Telle était cette fameuse préhistoire, immensément longue puisqu’elle aurait duré 300.000 ans et plus. Le monothéisme forcé devenait un impératif stratégique. C’est-à-dire bien laver le cerveau de tous en forgeant l’idée de Qui était le vrai et unique Patron et pourquoi ? Sans la crainte de cette autorité menaçante, le peuple aurait été ingouvernable, dirons ceux qui commencent à douter cependant de l’honnêteté de nos académiciens et à leur chercher des excuses. Ce grand mensonge était donc un mal pour un bien diront les Jésuites. Notre histoire officielle ne serait donc que des fables pour faire tenir les enfants humains tranquilles, une sorte de mensonge bienveillant. Tant de sollicitude n’est-elle pas attendrissante ? Aujourd’hui, certes, l’effondrement radical des connaissances acquises risquerait d’entraîner des changements brutaux de conscience et donc de comportement. Les psychothérapeutes appellent cet accident : décompensation psychique. Les sociologues disent que cet effondrement culturel serait un ethnocide, c'est-à-dire un suicide de notre identité collective. Mais la validation actuelle de découvertes révolutionnaires récentes annule déjà, pour notre jeune génération, la valeur fondamentale des enseignements traditionnels. Les dés sont jetés comme vous allez le découvrir et le point de non retour a été atteint.




Nous étions déjà là il y a 600 millions d’années

Afin que le lecteur puisse ici prendre conscience de l’étendue de la manipulation dont il est question, je prendrais pour exemple un article de la revue NEXUS de juillet 2008. C’est le n° 57 page 34. Vous y découvrirez l’interview par Laura Lee du chercheur, hélas marginalisé, Michael Crémo. Le titre de l’article est celui-ci : « Nous étions là il y a 600 millions d’années ». Après la publication en 2002 de son livre « histoire secrète de l’espèce humaine » coécrit avec le docteur Richard Thomson, le chercheur Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie, même si ces découvertes ne bénéficièrent jamais d’aucune publicité officielle. Il faut oser ! Lors de cette interview accordée en 1995 à la journaliste Laura Lee, il explique comment il en est arrivé à la certitude prouvée que le modèle de la préhistoire humaine sur lequel nous nous reposons depuis 200 ans est volontairement erroné. Il en veut pour preuve d’avoir trouvé la trace humaine la plus ancienne qui est une empreinte de chaussure. Elle fut découverte à Antelope Spring, dans l’Utah, aux USA en 1968. Cette empreinte remonte au cambrien soit environ 500 millions d’années. Cet auteur cite aussi ce magnifique vase métallique qui a été retrouvé dans des roches du précambrien à Dorchester (UK). Il a reçu une datation officielle au-delà de 600 millions d’années. Il nous signale aussi que des empreintes trouvées en Afrique et datant de 3,6 millions d’années ne sont pas du tout celles d’un pied d’australopithèque comme l’archéologie officielle a voulu le faire croire, mais bien celles d’un homme moderne. Il énumère de même le plus ancien objet connu à ce jour, une sphère métallique cannelée, découverte en Afrique du Sud. On en a trouvé beaucoup d’autres, parfaitement sphériques et métalliques en alliage inconnu, quelques unes avec des cannelures au niveau de leur équateur. Toutes ces sphères datent de 2 à 3 millions d’années. Enfin pour faire un jeu de mot, citons le clou de cette énumération. Il s’agit d’un clou en acier et d’un marteau qui ont été découverts en 1845 à Mylnfield en Ecosse, insérés dans une roche stratifiée datant de 460 millions d’années. En avez-vous-même entendu parler ? Vous n’êtes pas hélas le seul. Toutes ces découvertes se passent à l’étranger, direz-vous, alors passons à notre territoire bien français.



Glozel

Glozel est le nom d'un lieu-dit de la commune de Ferrière-sur-Sichon dans l’Allier et à une trentaine de kilomètres de Vichy. En avez-vous jamais entendu parler ? Il est devenu célèbre à partir de 1924, quand fut mis à jour un ensemble d'objets artistiques, attribués dans un premier temps à une époque préhistorique, mais dont la datation et parfois l’authenticité furent étrangement contestées. Ces objets sont des pierres taillées, des poteries, des fragments de verre et des tablettes gravées portant des inscriptions évoquant une écriture dans un alphabet inconnu proche des alphabets phéniciens. Ces vestiges furent à l’origine d’une vive controverse qui divisa une partie de la communauté scientifique, puis le grand public, en « glozéliens » et « anti-glozéliens ». L'« affaire Glozel » connut de nombreux épisodes judiciaires. Après de nouvelles analyses et datations, le Ministère de la Culture a rendu public en 1995 un rapport qui estime que le site est principalement médiéval, tout en contenant de nombreux artefacts de l’Âge du fer. Le rapport conclut également que le site a été enrichi à une époque indéterminée de contrefaçons modernes dont l’auteur demeure inconnu. Voilà un bel exemple de scandale culturel qui évite aux autorités de réformer la pensée unique en vigueur. En réalité, pour les découvreurs, il ne fait aucun doute que les auteurs des objets découverts à Glozel avaient développé un système d'écriture très nettement antérieur à celui des Phéniciens.
Ses découvertes remettent donc en cause l’apparition de l'écriture au Moyen-Orient et en font une invention européenne ou plutôt atlante.
Il est assez étonnant que l’archéologie officielle continue à garder des zones d’ombre suspectes alors qu’il serait aisé de faire avancer le débat. Pendant 50 ans, on a traité le découvreur Emile Fradin de faussaire, jusqu’en 1972 date à laquelle les techniques de thermoluminescence ont démontré qu’il n’était pas un escroc. Le champ où les découvertes ont été faites avait été laissé à moitié fouillé dans les années 40 pour que les archéologues puissent éventuellement revenir faire des expériences. Ceci a été fait dans les années 95, et « l’innocence » de Fradin a enfin été reconnue .Qu’en est-il aujourd’hui de la situation ? Voilà bien ce qu’est l’actuelle archéologie dite scientifique ! Parce qu’il existe, à Glozel, de nombreuses tablettes dénuées de sens, on pense tout de suite à des faussaires. On ne s’interroge même pas sur ce que pouvait être un lieu mystique antique où les scribes attitrés se faisaient rétribuer pour écrire les dédicaces et supplications demandées par des pèlerins illettrés. Dans la passion du siècle dernier, pourquoi n’y aurait-il pas eu aussi des contrefaçons volontaires pour dénigrer le site ? C’est presque sûr. Voilà bien ce qu’est l’actuelle archéologie dite scientifique ! Elle est incapable de concevoir la permanence dans le temps d’un site hors du commun. Contredire les thèses officielles présentent trop de risque de découverte d’une autre grande vérité cachée que seuls des mandarins peuvent connaître. Selon moi la règle de base et fondamentale est celle-ci : Le bétail humain n’a que faire d’une vérité compliquée qui ne lui servirait à rien. Les autorités pensent qu’elles doivent lui en fabriquer une très officielle et que le bétail doit la respecter. Ceux qui contestent doivent être punis parce qu’ils sont dangereux par leur innocence. Ne croyez pas que ces propos soient excessifs. A l’origine de la punition bien cruelle du pauvre Emile Fradin, découvreur de Glozel, il y a trois hommes, trois français, trois sommités internationales, trois scientifiques reconnus. On connaît parfaitement dans la société savante cette redoutable trinité des Capitan, Breuil et Peyroni (ce dernier étant le grand conservateur en chef du musée des Eyzies). Ce triumvirat constituait une firme exclusive en préhistoire. Or, la découverte de Glozel avait pris les trois hommes à l'improviste, en bouleversant leurs thèses et sans leur laisser le temps de concerter entre eux une réponse cohérente. Glozel fut pour eux un attentat et Fradin un dangereux terroriste. Si encore ces trouvailles avaient été faites par un spécialiste patenté, chevronné, portant l'estampille académique, à la bonne heure. Mais l'inventeur était un simple profane, un rustre, qui s'affirmait chercheur indépendant. Il avait refusé le patronage, de ce triumvirat prétendant faire cavalier seul. Il a haussé les épaules quand on lui a offert que son nom figurât modestement derrière les illustres signatures du grand et distingué triumvirat. Cette histoire, parce qu’elle s’est passée en France et qu’elle est simple à comprendre, me semble un bon petit exemple pour que le lecteur comprenne que la culture du monde n’est pas aussi auréolée de lauriers que nous le pensons. Les autorités culturelles ne disent pas la vérité vraie, car elle ne les intéresse pas. Ils disent uniquement celle que leur commandent de dire les Grands Maître de loge. Mais les temps changent et l’espoir nous est permis, à nous les petits, de connaître enfin la vérité. Pour perdre Fradin et déshonorer de braves gens sincères, tout fût mis en oeuvre avec tant de hargne, de cruauté et de malhonnêteté que le conseil municipal voisin du lieu, c’est-à-dire la Mairie de Ferrières, puis la Ligue des Droits de l'homme, durent intervenir, tellement ils avaient honte. Par ailleurs, la justice ne suivit pas heureusement les conseils des officiels. Ceux-ci avaient traîné Fradin pour fraude en correctionnelle, puis en appel et enfin en cassation. Or, la justice a anéantit tous les chefs d'accusation et donna gain de cause à Fradin. Ce petit paysan de France avait gagné sur les puissants pontifes de l’archéologie. Par contre ses découvertes furent oubliées. Fallait-il pourtant qu'il ait vraiment raison ! Voilà de même le camp que vous propose aussi ce livre, celui des hommes honnêtes face à la vérité, même s’ils sont confrontés à une énorme machine qui manipule et désinforme .Dans son livre "Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans"- Éditions Robert Laffont - 1971, le grand Robert Charroux évoque Glozel à plusieurs reprises. Cet homme aimait l’aventure. Il était plongeur sous-marin, chercheur de trésors, globe-trotter, journaliste et archéologue. Robert Charroux a été porté par sa curiosité à explorer les domaines les plus divers de l'histoire, de la préhistoire et de l'activité des hommes, loin des sentiers battus et de la science officielle imposée. Il suggère que les artisans Glozéliens auraient pu être des descendants de la civilisation du continent Mu englouti dans le Pacifique. Il consacre plusieurs pages à Glozel dans le chapitre 2 intitulé "Les ancêtres supérieurs". Je le cite :
<< Voilà donc aujourd’hui Glozel réhabilité. La découverte est prodigieuse : une bibliothèque néolithique de plus de 100 tablettes à caractères alphabétiques, le premier alphabet connu au monde, des outils en pierre éclatée, de merveilleux galets gravés et dessinés, des poteries absolument uniques. C'est à Glozel que la science et le monde entier trouvent la filière incontestable reliant notre civilisation à celle de nos lointains aïeux. A cette époque ancienne de 10 000 à 15 000 ans environ, le Magdalénien, si l'on en croit les expertises, des hommes façonnèrent des idoles et des vases en terre cuite, représentant des êtres insolites.
Il ne fait aucun doute que nos aïeux préhistoriques possédaient une culture beaucoup plus avancée qu'on ne l'imagine.
L'utilisation du silex n'était que le lot des classes inférieures. La science et les techniques de fabrication se transmettaient sans doute entre initiés qui accaparaient le pouvoir. Ce qui demeure écrit en écriture hiératique sur les briques de Glozel était absolument impénétrable au vulgaire. Les connaissances supérieures étaient-elles un legs de civilisations terrestres très anciennes ou avaient-elles une origine extra-terrestre? Deux quasi certitudes nous guident :
Une civilisation très avancée a précédé notre époque préhistorique et l'aventure cosmique que nous commençons à vivre a été vécue par d'autres humains.
La tradition et le bon sens militent en faveur d'ancêtres supérieurs ayant accompli une chaîne complète d'évolution avant de sombrer, par la faute d'un cataclysme atomique. Cette vérité est bien sûr répudiée par la science muselée, elle est cependant omniprésente dans les textes sacrés et les traditions du monde entier .>>Fin de citation. Pour clore ce paragraphe sur Glozel, je vous indique, pour simple information, encore, un article paru dans la revue scientifique Stargate n° 6 d’octobre 2004 en page 44. Vous trouverez un article de la journaliste Anna-Maria Mandelli « Le trésor soit disant inexistant de Glozel ». Elle rapporte sur quelques pages l’histoire extraordinaire de la découverte archéologique de Glozel et de ses rebondissements. Elle dit ceci : « Au cœur de la France, un site révèle dans les années 20 des traces de vie quotidienne, des écritures, des tablettes, des objets d’origine parfaitement inconnue. Ils remontent à plus de 100.000 ans. Ils ont provoqué l’une des polémiques scientifiques les plus enflammées de toute l’histoire de l’archéologie mondiale». Cette journaliste spécialiste en archéologie termine son article ainsi : « Certains chercheurs méconnus ont prouvé que des civilisations du passé ont atteint un niveau de technologie extrêmement élevé, supérieur au nôtre. Or, cela continue d’être nié par nos textes d’histoire officielle et même par les autorités dites compétentes en matière d’archéologie ».Fin de l'article.



Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique

Bel autre exemple de désinformation historique : Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique, bien au contraire, il y est arrivé le dernier. Selon l’excellent article de la revue Nexus n°65 Nov-Déc 2009, le célèbre géologue et paléontologue Hans-Joachin Zillmer a rassemblé pendant dix ans sur le sol américain les vestiges de visiteurs européens bien plus anciens que l’explorateur génois Christophe Colomb. Le village viking, dont les ruines subsistent dans l’Anse aux Meadows, au Canada, est considéré officiellement comme la preuve des contacts transocéaniques bien avant Christophe Colomb. Beaucoup de ces découvertes confortent la théorie d’un continent atlantique disparu qui aurait grandement facilité les échanges entre l’Europe et l’Amérique. Par exemple, lors d’une fouille scientifique organisée par la Smithsonian Institution en 1989, fut découverte dans le Tennessee sous la tête d’un squelette, une inscription en Hébreu ancien datant de quelques millénaires avant notre ère. Beaucoup d’autres textes lapidaires furent découverts et identifiés comme étant du Libyen ancien. Des amphores carthaginoises du début de notre ère furent repêchées en 1972 au large des côtes du Honduras. Les autorités interdirent de continuer les recherches afin de ne pas écorner le mythe planétaire de Christophe Colomb. Le docteur Zillmer traite dans son livre des liens étroits entre les différentes langues anciennes qu’il a rencontrées dans ses recherches.
A sa grande surprise, au centre de ces langues est le basque ancien, sorte de langue universelle et vestige vivant, selon lui, d’un continent atlantique disparu.
Le basque ancien présente beaucoup de caractères communs avec beaucoup de langues anciennes telles l’étrusque, le berbère, le tamajaq (langue des Touareg), le vieux gallois, et les divers dialectes amérindiens. Le basque ancien présente de nombreux points de comparaison avec la langue administrative des Incas. Pourquoi alors Christophe Colomb est-il toujours présenté comme le grand découvreur de l’Amérique, malgré les preuves contraires ? Selon le docteur Hans-Joachin Zillmer, une telle remise en cause est officiellement impossible, sous peine de réformer toute notre histoire jusqu’à notre Genèse. Comme tous les vieux dogmes fondateurs de nos civilisations, celui-là ne serait révisé qu’à condition de complètement réécrire notre histoire. Selon cet auteur, si un tel bouleversement se produisait officiellement un jour prochain, nous assisterions à la réforme de tout notre système de croyances. Selon ZILLMER, cette éventualité serait très lourde de conséquences pour la logique de nos institutions. Peut-être que cette levée du voile sur la vérité historique de notre monde et sur son origine est le point focal vers lequel nous tendons et qui constitue l’Apocalypse, c'est-à-dire le temps de la révélation ?
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