3.1 Les Monstres intérieurs

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D'ici que tu attaques le plat de consistance...

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Que Mirza morde à fond dans l'jambonneau, tu peux le dire...

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...je voudrais te faire un retour qui est aussi un questionnement...

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Voui je t'ecouuuuu te !

"LE SYNDROME DU TOUT OU RIEN" ?

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Je remarque que, suite à ce malaise, donc - dont tu sembles n'avoir plus priorité pour parler maintenant -, après avoir tout refermé, tu ré ouvres le tout.
Alors que si je me souviens bien, tu avais mis le demi-forum en privé. 

On pourrait appeler ça le syndrome du tout ou rien ?

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C'est tout d'meme étrange ces polices qui s'agrandissent toutes seules !

Oui. Ou je pourrais dire "le syndrome du jambonneau".

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Veux-tu développer un petit peu ?

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Y a qq ch de pas clair. Autour du besoin d'intégrité qui se confondrait pour moi avec besoin d'intégralité.

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Tu veux dire comme dans les procès : "... rien que le vérité, toute la vérité" ?

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D'une certaine manière, oui. Je suis les différentes facettes, et si enquête à mener sur une globalité dans une perspective également citoyenne, tout un chacun doit avoir accès aux différentes pièces du dossier.

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Ce que tu me dis m'occasionne deux remarques personnelles - tu m'excuseras et tu feras la part des choses pour ce qui concerne ma position d écoutant:

1. Intégrité n'exige pas intégralité: un tri qualitatif peut et doit être fait qui pourrait mieux te mettre en valeur (l'écriture) ; ou du moins, tout peut être dit mais importe la manière de le dire autant que le contenu, et qui est effectivement ce que tu veux défendre comme projet, sur ce forum, tout en faisant le contraire;

2. Tu parles de "justice" mais ton constat est qu'elle n'existe pas en ce monde actuel / en ce contexte que tu décris par ailleurs sur ce site. Ton histoire semble t'avoir laissé des traces (blessures) qui se creusent, s'approfondissent, s'infectent sans cesse au lieu de t'aider à aller vers un allègement et une expression, simplement, d'une histoire parmi d'autres. Ce faisant, tu continues à donner des armes à tes adversaires qui retournent contre toi les simplets.

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Les simplets ?

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Réfléchis...