3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
Dire ce que l'on vit, vivre ce que l'on dit :: II. Histoire collective, travail d'idée et plateforme d'échanges inter-obédiences / interdisciplinaires :: 3. Je pense
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Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
ALBERTINE DISPARUE
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Je trouve:
https://resonances.forumactif.com/t174-journal-approximatif-autour-du-1111-ou-a-la-recherche-d-une-langue-federatrice#4799
C'est pas encore "À la recherche du temps perdu"...
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Je trouve:
https://resonances.forumactif.com/t174-journal-approximatif-autour-du-1111-ou-a-la-recherche-d-une-langue-federatrice#4799
C'est pas encore "À la recherche du temps perdu"...
Dernière édition par la baleine le Mar 2 Fév - 12:23, édité 1 fois
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
>
La mangue n'est pas mûre (Albertine, où es-tu ?).
La mangue n'est pas mûre (Albertine, où es-tu ?).
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire, c'est l'histoire
La façon dont on l'raconte pour se faire valoir.
L'important, dans la bataille, c'est l'histoire, c'est l'histoire
Qu'on découpe ou qu'on détaille, selon l'auditoire.
Face aux Sarrazins d'Espagne, en voyant son olifant
Les soldats de Charlemagne disaient à Roland
"Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est notoire, c'est notoire
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire."
La glorieuse histoire de France est truffée d'assassinats
De massacres et de violences et autres Coups d'État.
Après tout, quand on y pense, Bonaparte et Attila
Ont plus d'morts sur la conscience que Landru et Borgia.
C'est quand même un peu étrange, quand on repense au passé
On dirait que les temps changent et qu'à la vérité...
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire, c'est l'histoire
La façon dont on l'raconte pour se faire bien voir.
L'important dans la bataille, c'est l'histoire, c'est l'histoire
Qu'on découpe ou qu'on détaille, selon l'auditoire.
On inverse un peu les rôles, on rajoute un petit morceau.
Ça rend les récits plus drôles, et pour être un héros
À l'heure où l'on fait les comptes pour la gloire, pour la gloire
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire.
L'aventure est éphémère, mais si la vie n'a qu'un temps
Le récit qu'on peut en faire dure indéfiniment
Et pour peu qu'on soit habile à savoir où va le vent
On peut être indélébile jusqu'à la fin des temps.
Comme le nez de Cléopâtre, Dagobert son pantalon
La poule au pot d'Henri Quatre ou le vase de Soissons...
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire, c'est l'histoire
La façon dont on l'raconte pour se faire bien voir.
L'important dans la bataille, c'est l'histoire, c'est l'histoire
Qu'on découpe ou qu'on détaille, selon l'auditoire.
Dans les débats politiques, juste avant les élections
Aux moments les plus critiques à la télévision
À l'heure où l'on fait les comptes, c'est notoire, c'est notoire
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire.
Lorsque par inadvertance, si on a vraiment besoin
Dans des cas d'extrême urgence, on assomme un crétin.
On n'a pas toujours la chance d'avoir les témoins pour soi
Quand on est dans l'existence un peu maladroit.
Dans les grands procès d'assises, on assiste quelquefois
À de drôles de vocalises et suivant l'avocat...
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire, c'est l'histoire
La façon dont on l'raconte pour le faire savoir.
L'important dans la bataille, c'est l'histoire, c'est l'histoire
Qu'on découpe ou qu'on détaille, selon l'auditoire.
Combien de têtes victimes, d'un bon mot du procureur
Juste pour gagner l'estime de ses supérieurs ?
À l'heure où l'on fait les comptes pour la gloire, pour la gloire
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est notoire
Ça n'est pas c'qu'on fait qui compte, c'est l'histoire.
http://artists.letssingit.com/yves-duteil-lyrics-ca-nest-pas-cquon-fait-qui-compte-9p41rfk#axzz3yjmjfyI6
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
la surface EST signe, prétendre séparer les deux est la voie du fascisme.
https://resonances.forumactif.com/t168p1008-3-les-monstres-interieurs
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
>
Cette nuit une chanson. Je l'entendais s'étirer à mon étonnement avec une rythmique intéressante en me disant que, dans la mouvance habituelle des standards anglo-américains, et en même temps de ce côté des Atlantes qui Tiquent, elle pourrait faire l'objet d'un traitement improvisé:
Cette nuit une chanson. Je l'entendais s'étirer à mon étonnement avec une rythmique intéressante en me disant que, dans la mouvance habituelle des standards anglo-américains, et en même temps de ce côté des Atlantes qui Tiquent, elle pourrait faire l'objet d'un traitement improvisé:
Dernière édition par la baleine le Mer 8 Juin - 2:34, édité 1 fois
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
Verte campagne
Où je suis né
Verte campagne
De mes jeunes années
La ville pleure
Et ses larmes de pluie
Dansent et meurent
Sur mon cœur qui s'ennuie
Et moi, je rêve de toi, oh mon amie
Verte campagne
Que tu es loin
Douce campagne
De mon premier chagrin
Le temps s'efface
Pour moi, rien n'a changé
Deux bras m'enlacent
Parmi les champs de blé
Et moi, je rêve de toi, oh mon amie
Là, dans la ville toutes ces mains tendues
M'offrent des fleurs et des fruits inconnus
Et moi, je vais le long des rues perdues
Un air de guitare me parle de toi
Verte campagne
Où je suis né
Douce campagne
De mes jeunes années
La ville chante
Eparpille sa joie
La ville chante
Mais je ne l'entends pas
Et moi, je rêve de toi, oh mon amie
Et moi, je rêve de toi, oh mon amie
Dernière édition par la baleine le Mar 2 Fév - 12:24, édité 1 fois
Re: 3.2 Que le sens était dans la "langue fédératrice" ?
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Une résonance physique sur les mots: "...et moi je rêve de toi, mon amie".
Une résonance physique sur les mots: "...et moi je rêve de toi, mon amie".
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