Esprit mal tourné ? C'est cela oui !

Commençons par la dame qui servait au bar et est venue s'asseoir à côté de moi. Y repensant après la suite de l'histoire, rien ne m'aurait troublé sans, une fois encore, le contexte, suite.

Mes dépôts à psychologies.com dans "Pénétrer un château retranché par les douves" avaient comme débouché sur l'attentat du 7 janvier. J'y avais déjà manifesté pointes "paranoïaques" fondées ou non, notamment en mettant un lien vers antahkarana.forumzen.com qui était un fil créé par Douceur.

Je postais alors dans un cyber de mon quartier tenu par un musulman. Je me souviens très bien, après avoir appris la nouvelle, m'y être rendu pour poster ma réaction dans ce "journal de rêves" de l'époque. J'entre et, derrière moi, un occidental - grand, bien bâti - m'emboîte le pas pour prendre un pc juste à côté du mien.

Et là la réponse non-publiée dans "mon fil" mais capturée, si l'on peut dire.

J'ai cru reconnaître cet homme par suite collé à mes basques à deux autres reprises.

Une des deux autres - trois donc, en tout, si mes souvenirs sont bons - c'était par suite de l'incident qui s' était produit dans un autre café avec une autre serveuse - cf. mon fil rendu privé - où j'avais décidé de ne plus retourner.

Reprenons la contextualisation à ce point: j'avais rédigé un assez long "Journal-journal de rêves (07.01.15)" qui avait parlé de cet incident - en lien direct avec interactions sur psychologies (section Actualité) autour de mon travail en cours sur ce site "resonances" (Valentine et la communication consciente).

Dans l'esprit du personnage de cette micro-nouvelle très réaliste, quand s'ensuit au bar le "deuxième larron" faisant de gros appels du pied pour vanter les charmes de cette dame - dans la foulée du reste de ses étranges allégations -, je me sens...

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En quoi; et fondé sur quelles suppositions, donc ?

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J'ai trouvé cette dame très gentille et, dans mes premiers échanges avec elle, il n'y avait aucune arrière pensée - en ce qui me concerne, du moins. Comme je l'ai dit de façon primaire, arrivant avec ses gros sabots - après l'autre qui m'avait paru aussi bizarroïde voire carrément disjoncté -, ce type m'avait mis "mal à l'aise". C'est-à-dire que ce qu'il me disait était à la fois faux et vrai, mais de l'avoir entendu poser son allusion, c'est comme s'il m'avait aspergé d'eau sale.

Il était vrai que, étant dans cette situation de ne plus vouloir fréquenter la "brasserie" précédente où je m'y étais un peu "installé" - c'était devenu mon lieu régulier -, me rendant dans ce nouveau lieu où je ne connaissais ni les serveurs, ni les clients, mon désir n'était pas de rester calé à ma table avec mon smrtph (smartphone) pour me balader sur la toile.

Ce que la micro-nouvelle ne précisait pas - je complète, elle concentre plusieurs visites successives, en réalité. 

Il me semble que j'avais déjà été accueilli en me sentant très bien - un vendredi ? - de constater le genre de clientèle, le style général des clients. Et je me souviens qu'après sans doute cette interaction - où je me revois assis à sa gauche et contemplant son smrtph, que faisions-nous tous deux rapprochés par son initiative, elle si serviable, nous deux observés par les clients ? -, par suite, elle m'a paru elle prendre ses distances. C'est constatant cela - qui ressemblait à un mini double message - de par son initiative: "très proches" puis "très loin" - que, intrigué, j'ai souhaité donner suite, me rapprochant du bar pour poursuivre connaissance avec elle et avec les clients.

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Tu disais dans la nouvelle que ce soir là il y avait peu de monde. En revenant aux deux listes - sentiments et besoins / valeurs -, peux-tu attraper un petit poisson dans ton épuisette - ou plusieurs ?

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estime de soi acceptation amour appartenance communautaire appréciation chaleur humaine confiance délicatesse tact honnêteté sincérité proximité respect amusement rire harmonie toucher contact physique

"DEVENIR INDEPENDANT"

Dans les mots "amour" et "proximité", il n'est pas question ici, bien évidemment, d'autre chose que d'entendre ces termes dans un sens large - j'ai besoin de "contacts sociaux", comme on dit banalement, mais il est clair - pour moi comme pour tout le monde -, que derrière les signaux même minimes que des personnes même inconnues nous envoient, ce qui frétille derrière les apparences pour un enfant intérieur / un petit Jonas prisonnier d'une grosse baleine, c'est le besoin (la "carence") d'amour. 

Je n'ignore pas qu'un cachalot / cache à l'eau en cache un autre, de poisson, derrière celui-là.