4.3 Une naissance difficile, et pourtant...

Pour "Abductions etc." j'ajoute cette adresse:

https://resonances.forumactif.com/t151-archeologie-prehistoire-anthropologie-censure-generale-et-falsification

C
Je suis dehors avec une mini-jupe et ? un polo pour fille couleur rose-bonbon. Je vois maintenant la jeune fille du genre blondes platinées feuilletons américains de série B qui défile en majorette en faisant des moulinets avec un baton chromé. Sa jupe est en matière synthétique avec des plis verticaux rapprochés sur tout le pourtour.

Je reviens chez moi, me dis que ces vêtements ne me vont pas et me prépare à me changer.

Ce rêve entre postages précédents 8h20 et 11h24. Alors que peu enclin à me lever.

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"Sachant que, sans préparation aucune, une majorité ne pourra que s'esclaffer et fermera les yeux sur leurs futures pratiques liberticides en voie de progression avérée."

Transeparence quand tu nous tiens.

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Cette "majorette" représente mon égo tel qu'en sa frustration continue de s'être exposée sur les forums non pour faire le jeu de "la blonde platinée" mais pour ELABORER (!!!) l'opération essentielle d'un "retourner chez (le) soi", il s'est probablement vu dénigré voire ridiculisé / décrédibilisé par une foule dont la motivation essentielle, dans la rue bariolée et les flon-flons, est la distraction d'un spectacle ne les engageant en rien.

Le rêve précédent où il mange pieds nus (exposant ce manque / ce dénuement) et, s'excusant du fait (conscient de ce travail à faire qui est raccordement et ancrage complémentaire dans la polarité terre... où lui manque moins, pour ce faire, que les "habillés", finalement...), qui se voit apostrophé et critiqué ailleurs qu'en SA recherche personnelle "d'alimentation" essentielle, où il crie "DÉGAGE !" à plusieurs reprises, rappelle les nombreuses occurrences d'envahissement de son "territoire" par un imbécile de service qui ne jouit que trop manifestement de bénéficier ailleurs de la publicité que je lui ai fait - sa médiocrité en mérite le moins possible.

Quant au rêve avec "Aurobindo qui va descendre", j'y retrouve encore allusion à cette même recherche essentielle d'un tenir ensemble deux polarités, mais où, différence notable avec une psychanalyse mal orientée et spécifique de sa conception telle que j'expose par suite de l'avoir entrevu dans La vie divine.

Il dit et redit: on ne peut "descendre" sans d'abord ancrer "en haut" - beauté, bonté, vérité. Ces qualités ne sont ni morales, ni existentielles, mais leur essentialité se décante dans l'existant pour autant qu'il ne perde jamais de vue ces lumières qui l'attirent, le séduisent, l'illuminent en dépit du pire en lequel sans cesse, nécessairement, il choît - c'est la particularité de son yoga.

L'éternelle opposition entre philosophie "existentialiste" et "essentialiste" (rs) n'a donc pas cours ici. Mais non plus un dualisme posant une ÉQUIVALENCE TOTALE entre bas et haut / obscurité et lumière / mal et bien. Pour lui, le mal n'est pas le pendant inévitable et juste équivalent et relatif d'un bien moral et conventionnel mais fruit d'une ignorance (Inconscience). Laquelle ? Que l'unique et vraie Réalité serait ce Beau-Bon-Vrai surplombant l'ensemble comme unique Source - sa représentation du Réel est hiérarchique.

Notre culture hérite néanmoins des soubresauts entre le tout l'un d'en haut remplacé réactionnellement par le tout l'un d'en bas - spiritualisme ayant fait le lit du matérialisme. D'où cette bataille telle qu'elle s'est rejouée sur eveil-fr.com entre moi et agni-lotus du coeur-aravindah.

Dans ce même rêve, j'ouvre la porte pour "rencontrer Aurobindo qui va descendre" et je me trouve nez à nez avec "deux malfrats". Est encore redit: la "foule" ne peut que vouloir "tuer" (rabaisser, projeter l'obscurité sur) la lumière, une recherche essentielle telle qu'il l'avait pensé et conçu lui-même avec Mère en fondant Auroville est l'édification d'une matrice évolutive de conscience - ET élaborant les Je, ET élaborant le Nous. Ce qui exige (par définition, comme toute "matrice") des frontières, une limite départageant un "en dedans" et un "en dehors".

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Tu dis: "Ces qualités ne sont ni morales, ni existentielles, mais leur essentialité se décante dans l'existant pour autant qu'il ne perde jamais de vue ces lumières qui l'attirent, le séduisent, l'illuminent en dépit du pire en lequel sans cesse, nécessairement, il choît - c'est la particularité de son yoga." La foule d'aujourd'hui n'aime rien tant mieux que d'affirmer avec la psychanalyse de Freud la préeminence du sexuel. Les disciples de ce maître - qui n'a jamais été le tien, du reste - auraient-ils fait exception ?

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Bien que je parle sur mes vidéos à visage découvert, concernant ce sujet "tabou" qui est tout de même un secret de Polichinelle, j'ai trouvé ce document étonnant - appréciez la quantité de lettres échangées avec ses disciples qui, en toute discrétion, témoigne qu'il s'agit en effet - pour eux comme pour tous - d'une difficulté majeure:

http://www.aurobindo.ru/workings/sa/24/0009_f.htm