Annexe 1: "Autour du 11 septembre 2015; extraits d'un journal privé"

la baleine a écrit:15h45 / 19 09 2015

Étonné de votre courrier "recommandé" réceptionné hier dans ma boîte, vous répondrai en temps utile.

Effectivement, plusieurs jours après, j ai trouvé avis d un dépôt de "courrier recommandé" dans ma boîte déposé en mon absence - je présume qu il s agirait du double du manuscrit que je viens de retranscrire en segments ci-dessus.

Projet de retour, réciproquement, par lettre recommandée.

Madame

Dans l appel téléphonique mentionné dans mon envoi sms, je cite: "SUITE À MON PRÉCÉDENT APPEL, avez vous précision concernant horaire de la présence du voisin du dessous dans votre immeuble (celui-ci refusant toute communication saine et toute négociation) ?" où je sollicitais oralement et en confiance votre intervention sur deux points particuliers, je constate que là où je vous demande des précisions sur les sources et la teneur de vos informations, je cite: "Vous me dites hier avoir reçu "beaucoup de plaintes". De qui parlez vous et de quelles plaintes s agit il exactement - la teneur exacte. Merci de préciser également quel matériel aurait été "abîmé" - ce que vous auriez constaté. Ceci afin que je sois en mesure, le cas échéant, de compléter voire de rectifier certaines informations. Merci.", tant pour votre lettre recommandée que pour votre bail suivant notre "constat" (à l entrée et en suite des travaux que vous évoquez), je me trouve face à des généralités voire à des généralisations abusives.

Or, jusqu'à cette lettre, disais-je "qui m étonne", nos relations m avaient parues très bonnes car vous même et le monsieur qui vous avait accompagné lors de la signature du bail et le "constat" fait à l entrée, m'aviez paru extrêmement corrects et, ai-je peut-être conclu un peu imprudemment, dignes de confiance.

Je vous avoue qu'à ce temps de notre relation propriétaire-locataire, cette confiance est donc ébranlée, ce qui justifiera ce qui va suivre le développement ci-dessous (partie I), concernant ce que je nomme "généralités voire généralisations abusives". Ce que je ne puis laisser dire dans le cas d une lettre recommandée sans réagir.

Votre lettre, malheureusement, foisonne de cela - que je nomme, jusqu'à précisions et donc possibles confrontations voire contestations, des "bruits". Dans tout procès - que vous me faites d emblée sans m avoir donné la parole -, aux constats de faits correctement délimités, attestés et contextualisés s'ajoute, à un chef d'accusation, un avocat de la défense - lequel ne peut objecter sur des "bruits" relayés par vous-même émanant de "x".

Quelques exemples, donc, sans épuiser votre lettre, ce qui serait fastidieux.

I. Concernant votre lettre.

Vous me dites, je cite "Sachez que je n apprécie pas recevoir un message téléphonique à une heure indue. Apprenez, Monsieur, à RESPECTER AUTRUI." A quoi vous enchaînez: "A CE PROPOS, j ai déjà pu constater à différentes reprises le bruit tonitruant venant de votre appartement via votre piano." Qu' entendez-vous par "à différentes reprises" et "bruit tonitruant" ? Au-delà de la lettre de la loi - qui, du reste, établit des normes pour le constat de "tapage diurne" et nocturne, en mon chef, le manque de "respect", ici en l'occurrence, eût été si je ne m'étais soucié du confort d'aucun des proches de cet appartement - et ce, donc, en me retranchant derrière les normes officielles / la lettre de la loi.
Jusqu'à nouvel ordre, vous engagez du moins votre parole sur un fait attestable: l'heure d'envoi de mon premier sms... ce qui devrait automatiquement vous créditer du reste... à moins que vous insinuiez autre chose ? Je n'apprécie pas d'avantage, de mon côté, mis-à-part les généralisations, les insinuations.

Excusez-moi mais, dans une certaine mesure, je ne suis d'accord qu'avec votre première proposition. Encore que je ne vous ai pas appelé, et que, pour reception de sms comme de mails, à l'heure du tout électronique, est loisible à chacun de rendre inaudible sa boîte de réception afin de n'être dérangé en temps réel. Bien entendu, compte tenu de votre correction habituelle, aucune raison n'existe m'engageant, le cas échéant, à vous déranger outre mesure. Mais sachez, pour ma défense,  qu ici en l occurrence, vous n êtes pas seule concernée - je développe ci-dessous.

Seriez-vous surprise d'apprendre, Madame, jusqu'où je suis allé dans mes démarches relativement au dérangement que pouvaient occasionner mon piano électronique et, plus récemment, mon piano acoustique ? Je parle, bien entendu, pour mes voisins qui résident dans et à côté de votre immeuble et non lors de vos passages occasionnels. Demandez par exemple à ... (à compléter).

En ce qui précède et concernant mes instruments, apprenez donc que je ne me suis pas contenté de la lettre de la loi (en deçà de dépassement d'une norme autorisée de "bruit" et de tranches horaire diurnes / nocturne), et non plus de faire enquête uniquement dans votre immeuble mais dans les immeubles situés immédiatement à droite et à gauche du votre... Ajoutant pour ce qui concerne mon voisin du dessous, je cite:

"... avez vous précision concernant horaire de la présence du voisin du dessous dans votre immeuble (celui-ci refusant toute communication saine et toute négociation) ?"

Ce qui précède étant donc constituant de la "requête", disais-je, que je vous avais fait oralement et par écrit via sms, je cite:

"...où je sollicitais oralement et en confiance votre intervention sur deux points particuliers"

A propos de cette conversation téléphonique précédant mes envois sms - si vous pouvez interroger votre mémoire, je reviendrai juste après sur la question du "bruit musical" pour insister ici, au passage, sur le second point soulevé par votre lettre. En plus de ce que j ai cru que vous pouviez faire très pratiquement - obtenir le renseignement que je vous demandais -, je me souviens très précisément vous avoir dit: "Les insinuations de ce monsieur me mettent hors de mes gonds". C' était vraiment le moins que je pouvais dire..., et vu ma personne que vous stigmatisez dans votre lettre... recommandée..., vous m'excuserez de ne pas permettre un énorme"mensonge par omission".