Annexe 1: "Autour du 11 septembre 2015; extraits d'un journal privé"

Je vous demandais précédemment de préciser vos sources et la teneur des "nombreuses plaintes" que vous avanciez, en ce qui me concerne, je continue de complémenter en respect de cette nécessité méthodologique.

Avant d'en venir, en ce qui me concerne, mis-à-part le voisin du dessous, à au moins deux témoins - l'un témoin indirect et l'autre témoin direct - pouvant recouper et attester mes dires qui suivront, quelques précisions.

Mis en regard de la date d'entrée signalée sur le bail dont vous m'avez fourni copie, avez-vous remarqué le déménagement très "tardif" de mon piano acoustique ?

Ce voisin avait entretenu avec moi une relation amicale et de confiance - possédant y compris, avec un tiers qui était son "ami" également, une adresse internet où j'ai délivré des informations.  Cet "ami" pourrait attester - mis-à-part, pour d'autres faits qui suivront, les deux autres témoins précités -, que non seulement le manque de place avait motivé cette suspension de mon déménagement "complet", mais également conscience de la "mauvaise" insonorisation concernant les appartements composant votre immeuble.

Ainsi, je lui avais dit, je cite de mémoire: "Je ne veux pas déménager ce piano qui fait "trop de bruit" et ne pourra que déranger fortement... ce voisin"... Je précise, ces mots après / en dépit d'un conflit majeur qui nous avait opposé.

Je me contenterai de complémenter ici avec deux autres faits:

1) Durant une première occurrence de mon jeu dans votre immeuble sur ce piano acoustique - et où, par plaisir de mes retrouvailles avec mon instrument, j'ai rejoué d'affilée plusieurs morceaux qui me restaient en mémoire, ce qui selon mon souvenir n'avait pas dépassé plus d'une heure d'affilée et où, j'insiste, je jouais DU CLASSIQUE, FORT ET AVEC PÉDALE -, je n'ai eu aucune visite ni remarque de ce voisin direct.

Lors de la ? seconde occurrence, par contre, alors que je m'essayais à un autre genre, ce monsieur est venu m'interrompre dans mon jeu et toquer à ma porte. Et je lui ai ouvert en l'ayant bien identifié au préalable via "oeil" inséré dans votre porte... Je continue de souligner: ceci en dépit de l'inimitié qui nous avait finalement opposé - sur le site internet que j'évoquais, en contexte non présentable ici, le mot "haine" était même plutôt utilisé, ce qui n'est tout de même pas léger.

Je cite notre "premier dialogue", si l'on peut dire, de mémoire:

- Ta musique de merde tu arrêtes, SINON J'APPELLE LA POLICE

- Tout ce que tu veux (je souligne) DU MOMENT QUE TU DEMANDES GENTIMENT

Les majuscules, ici, ne signalent pas élèvement de ton de l'un ou de l'autre - en dépit de la "violence" de contenu portant sur 1) l'autre genre de musique que je pratiquais; 2) un ordre (et non une demande) que ce monsieur se permettait de me donner sous menace ??? de quoi ? protection spéciale de "la police" ?; 3) disproportion évidente, concernant cette menace, entre cette première manifestation d'inconfort de sa part et l'invocation, en "appui" assuré et automatique, de "la police"; je précise: je suis resté très calme / les mots prononcés par moi étaient dits à une intensité égale - je parle en termes de volume et non, comme vous pouvez le "constater", de teneur / contenu...

2) Votre locataire ajoutera à cette première - ou à la seconde "explication", en mon chef, beaucoup plus musclée - "J'ai arrêté de jouer de la guitare "pour toi" (??????), DONC...".

Ce qui nous rappelle - je vous signale, Madame -, que ce monsieur est également musicien, qu'avant ce cas de figure, je vous avais signalé que non seulement il répétait en dessous de chez moi mais dans le couloir; et j'ajoute: un temps au moins égal d'affilée (et précédemment pour le locataire m'ayant précédé dans l'appartement que j'occupe même de la trompette, ce qui avait valu une autre "explication" musclée, également, de mon prédécesseur - ce que je tiens de ce dernier et de ce voisin).

En conséquence, ne devons-nous pas inférer que, vu l'information que ce voisin tenait de son "ami" - il s' agit de (à compléter) habitant à (à compléter) - et vu ma plainte adressée à vous, le concernant, sachant que ce piano n'arrivait pas, avec une autre vraie raison que je soupçonne, ce voisin aurait ? quoi ? "sacrifié" ses études académiques de guitare classique "pour moi"... qui ne lui ai jamais demandé cela... ou pour une autre raison ? Et que donc, "réciproquement", après l'avoir entendu répéter durant des mois alors que je ne produisais pas de musique, je lui devrais, à mon tour, pour l'usage de mon instrument, un silence exemplaire ?

Cette "demande" - en réalité: une exigence assortie d'une menace totalement disproportionnée - n'était donc ni correcte dans la forme, ni légitime pour le fond, puisque, vu ce qui vient d'être mis en évidence, non équitable.

Ces précisions rapidement posées - une contextualisation très insuffisante, vous pouvez m'en croire -, j'en viens aux deux autres témoins que j'ai évoqué. Il s'agit de... (à compléter).