Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Dire ce que l'on vit, vivre ce que l'on dit :: II. Histoire collective, travail d'idée et plateforme d'échanges inter-obédiences / interdisciplinaires :: 3. Je pense
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Contexte d'un rêve; une belle écriture...
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LA VERITE VIVANTE
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INTRODUCTION.
Pour transmettre ses enseignements, l'ordre enseignant Lyricus emploie les contes plus que les livres, les discours ou les conférences.
Les histoires sont des outils très puissants dans les recherches spirituelles puisqu’elles possèdent des possibilités d’interprétation et une créativité flexible qui font d’elles des outils merveilleux pour interagir au sein d’un groupe.
Dans le cas des histoires de l’ordre enseignant Lyricus, elles sont aussi holographiques, pouvant être comprises simultanément sur plusieurs niveaux. Cette histoire est transcrite par James.
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LA VERITE VIVANTE.
Dans un endroit lointain d’un monde tout à fait semblable à la Terre, un étudiant vivait dans une université et il étudiait la musique. Il était solitaire, possédait un bon caractère et cherchait toujours à accomplir ce qui était juste. Il s’appelait Alija et son but, qui lui a été transmit par son père, était de composer des chansons inspirées. Le rêve d’Alija était de composer une chanson qui serait si belle et si entraînante – uniquement par ses tonalités musicales – qu’elle attirerait un maître spirituel auprès de quiconque l’interprèterait.
Durant de nombreuses années, il travailla dans sa chambre sur cette chanson, tard dans la nuit tandis que les autres dormaient, seulement après avoir fini ses cours et rempli ses responsabilités.
Une nuit, alors que les vents s’apaisaient, il trouva par hasard un air de musique qui lui avait échappé jusque là, et il fut alors certain que sa chanson était terminée. Il fit un essai en la jouant pour lui-même une première fois. Rien ne se produisit. Alors il la rejoua une deuxième et une troisième fois, en tentant des changements subtils dans son doigté. Toujours rien. A la septième tentative, il finit par s’absorber entièrement dans la chanson et alors, se mit à tourbillonner dans sa chambre un nuage silencieux de particules d'or, d’où émergea lentement une figure humaine translucide.
Alija fut surpris par cette apparition, et il cessa de jouer sa chanson pendant quelques instants. Mais il remarqua que lorsqu’il se taisait, cette forme commençait à disparaître dans la douce lueur de la bougie qui éclairait sa chambre. Il se reprit vite et poursuivit son jeu. Bientôt, pour sa plus grande joie, Alija se trouva en présence matérielle du Maître qu’il avait souhaité rencontrer, suffisamment réelle pour qu’il puisse le reconnaître et pour que le Maître lui demande : « Dans quel but m’avez-vous appelé par cette musique ? »
Alija répondit aussitôt, tout en jouant sa chanson : « J'ai des questions à vous poser, de nombreuses questions sur le travail céleste et sur la manière dont je peux parvenir à une meilleure connaissance de l'univers et de l'âme. »
Le Maître sourit, et répondit sur un ton solennel : « Je ne peux seulement vous dire que ce que vous cherchez est lié à la manière dont vous trouverez la vérité vivante à l'intérieur de vous. »
En entendant ces paroles, Alija fut étonné, car la sagesse et la connaissance de ce Maître étaient grandes, et il avait la réputation de posséder une compréhension large et profonde de la vraie nature de l'âme. Par respect pour ce Maître, Alija prit en considération ses paroles et, tout en jouant toujours sa chanson, demanda : « Comment puis-je trouver cette vérité vivante ?»
Le maître tendit un de ses bras menus et il ordonna d’une voix forte et surprenante : « Arrête de jouer cette chanson ! »
Alija avait peur de s’arrêter car il savait que cela aurait pour conséquence la disparition de ce Maître et qu’ainsi l’accès à toutes les connaissances partirait en fumée. Il continua donc de jouer, en ignorant la demande du Maître.
« Pourquoi voulez-vous que j’arrête de jouer quelque chose que j'ai créé pour vous ? »
« Cessez cette chanson ! » répéta encore une fois le Maître, mais cette fois de manière détachée.
Alija, se rendit compte qu’il n’obtiendrait aucune autre réponse et il obéit à l’ordre de son Maître. Alors qu’il s’exécutait, il vit l’image du Maître se dissiper en douceur dans un tourbillon de lumière dorée. Soudain, il se trouva seul dans sa petite chambre. Avec pour seul son, celui de sa propre respiration et pour seule lumière celle de ses bougies.
Alija se sentit rejeté et désemparé. Il avait finalement réussi à atteindre ce qu’il croyait être son but, mais le Maître vénéré lui avait seulement dit d’arrêter. Alija avait passé des milliers d’heures pour réaliser son projet, et il décida de continuer à jouer avec son instrument, pensant que tout cela était destiné à éprouver sa détermination.
De nouveau le Maître apparut à la septième répétition de la chanson, mais cette fois sans masquer sa déception de manière aussi subtile.
Alija s’empressa de prendre la parole : « Vous avez suggéré….tout à l’heure, Maître, que vous ne pouviez m’enseigner seulement sur des questions concernant la manière de trouver la vérité vivante. Il est possible que ce soit ainsi que je l’ai trouvée. J’ai travaillé durant de nombreuses années pour composer une chanson parfaite qui puisse vous attirer, afin d’apprendre votre enseignement. Je n’ai pas trouvé les réponses en moi comme vous me l’avez indiqué. Je suis un compositeur, incapable de voltiger dans les hautes sphères de la recherche philosophique. Mon esprit travaille autrement… ».
Et puis, dans un élan de son âme, il ajouta, « J’entends la musique, et non la connaissance et les paroles de la sagesse. La musique… juste la musique. »
L’expression du Maître s’adoucit, comme si elle pouvait signifier que l’étudiant était sincère, et que cette sincérité obligeait le Maître à répondre.
« Vous vous réduisez dans la compréhension de votre esprit éternel. C’est le tout, et en même temps c’est en tout. C’est une condition inhérente à celui qui a l’honneur de revêtir une forme humaine dans le champ de l’espace-temps. Pourquoi seriez-vous différent ? »
Alija écouta en pensant que l’épreuve se passait bien puisqu’il avait reçu une réponse. « Je ne me vante pas d'être meilleur que les autres, » répondit-il, « C’est juste que je ressens plus fortement ma soif pour la connaissance de l’âme. Est-ce mal, Maître ? ».
Alija continuait de jouer sa chanson en pensant que finalement, il impressionnait le Maître. Peutêtre que la porte de la connaissance lui serait bientôt ouverte.
« Votre dimension est à la fois biologique et spirituelle, » répondit le Maître. « N’abandonnez pas votre biologie à la poursuite du spirituel parce que c’est par la biologie que vous avancez vers le spirituel – créez la vérité vivante dans votre forme humaine. Et cette vérité vivante se manifestera sous une forme musicale, ou comme un talent en horticulture, ou comme une capacité à inspirer les personnes, ou par le rêve de comprendre certains aspects de la science rendus inaccessibles aux regards humains. Quelle que soit la forme qu’elle prenne pour vous, ne reniez pas la vérité vivante en en faisant quelque chose qui limite votre étreinte des mondes spirituels à l’intérieur de vous-mêmes. Elle est tout au contraire votre étreinte même des mondes de l’esprit ».
Alija, frappé par les paroles de son Maître, cessa de jouer juste pendant la durée d’un battement de cœur. L’espace de ce court instant, il commença à reconsidérer son approche. Alors que ses doigts se déplaçaient instinctivement sur l’instrument qu’il jouait, il remarqua que l’image du Maître – toujours très ténue –devenait encore plus faible. Le son de la chanson magique était le seul à rompre le silence de la pièce.
Alija rassembla son courage. Il avait entendu des récits sur la manière dont les Maîtres éprouvaient la détermination de leurs étudiants, et maintenant plus que jamais, la situation exigeait de lui qu'il parle avec autant de vigueur que son éducation le permettait.
« Je n’ai pas d’autre choix que de protéger mon droit de connaître la vérité. La vérité LA PLUS HAUTE », commença-t-il avec une faiblesse dans sa voix qui trahissait sa nervosité. « Je ne me contente pas de connaître en partie quand je sais que je peux connaître en totalité. » «
Toute ma vie, » poursuivit-il, « j’ai lu des œuvres spirituelles et je les ai étudiées consciencieusement. Mais plus je lisais, plus je devenais confus – à tel point que je voulus abandonner purement et simplement la recherche de la vérité. Pour la seule raison que la vérité restait toujours cachée. Elle devait être cachée parce qu’elle changeait d’un livre à l’autre; d’un enseignant à l’autre. Vous surtout, qui êtes un maître spirituel gardien de la Vérité la plus élevée, vous devez comprendre ceci. »
Le Maître fit onduler sa main et l’instrument disparut immédiatement. A cet instant le Maître provoqua une expansion du temps. Tandis que la musique s’était arrêtée, la présence du Maître devint plus vive et plus réelle. Le Maître s’approcha à trente centimètres du visage d’Alija qui était incertain et tremblant. Il posa ses mains de chaque côté de la tête d’Alija comme pour la maintenir en équilibre.
Alija luttait pour maintenir son regard détourné, par peur de voyager dans la profondeur du regard pénétrant du Maître. Mais lorsque le Maître se mit à parler, Alija ne put résister à son regard. Il écouta plus profondément qu'il ne l'avait jamais fait auparavant.
« Il n’y a rien à garder, à protéger ou à défendre, mon cher Alija », murmura-t-il d'un ton mesuré. « Nous sommes des créatures de l’Esprit, au service de l’Esprit et bien que nous revêtions la biologie d’un animal inattentif, nous sommes des partenaires intimes du Créateur unique. Notre vie est soignée et nourrie par cet Esprit Universel et nous sommes avisés d’avoir confiance en Lui, car c’est la même intelligence qui a conçu ce corps miraculeux que vous portez et l’architecture de l’univers qui drape le ciel nocturne. »
« Il vous suffit d’écouter les sentiments d’amour de votre cœur, exprimés par le corps de lumière qui est en vous. Cette compréhension profondément pertinente est une clef pour vous. La vérité vivante, c’est réaliser cette réalité noble et puissante et l’élever depuis le royaume de l’abstrait vers l’expérience sincère de son expression. Telle est votre relation instantanée avec le Divin. »
Ensuite, le Maître recula, et l’instrument réapparut dans les mains d’Alija. Distrait, Alija recommença à jouer la mélodie qu’il avait composée, mais cette fois la présence du Maître se retira.
Alors que la lumière de son corps diminuait et fusionnait avec la lueur dorée de la bougie qui éclairait la pièce, sa voix se fit entendre une dernière fois.
« Vous connaissez précisément l’action juste, le geste exact et la réponse créative pour chaque circonstance. C’est le noble héritage encodé dans votre corps de lumière qui est le Vous-même le plus profond et le plus élevé. Si vous assumez cet aspect de votre identité et si vous le vivez dans ce monde, même seulement quelques minutes chaque jour, vous trouverez non seulement la vérité vivante et la vivrez, mais vous la transmettrez aussi à chaque battement de votre cœur. »
Alija ne dormit pas cette nuit là, ni la suivante car il réfléchissait à son expérience. Durant la troisième nuit, toujours absorbé dans des pensées profondes, il partit avec son instrument en direction d’un lac du voisinage. Dans la nuit sans lune, n’entendant que le hululement occasionnel d’un hibou, il suivit soigneusement son chemin le long d’un parcours accidenté. Finalement, il arriva au bord de l’eau qui s’étendait devant lui comme un miroir noir et impassible qui reflétait le ciel nocturne. Le scintillement de la lumière des étoiles détendit la fatigue de ses yeux.
Assis sur une grosse branche qui était tombée, il commença à entendre un son étrange, dont il n’était pas sûr de l’origine. Il se mit à observer le mouvement des étoiles, et le monde devant lui se teinta d’une nouvelle transparence. Le son était nettement musical alors qu’il semblait pourtant provenir des étoiles. Toute la nature était tranquille, en dehors du son mystérieux qui s’écoulait tout autour de lui, semblable à une symphonie d’instruments exotiques joués plus magistralement qu’aucun mortel ne pouvait l’imaginer.
Il fut un temps où Alija aurait défendu son sens personnel de la réalité, mais il laissa cette tentation passer rapidement. Il fut un temps où son ego serait intervenu et aurait jugé que cette expérience était une illusion ou un mirage mystique; une simple conséquence de son agitation. Mais deux nuits plus tôt, il avait appris quelque chose qui l’avait changé, et ce soir, sous la plus faible des lumières, il avait trouvé la vérité vivante dans le milieu qu’il comprenait le mieux : celui de la musique.
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Dernière édition par la baleine le Ven 25 Déc - 14:57, édité 3 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Est présenté comme matériaux émanant des "wingmakers": non-seulement des textes philosophiques, non-seulement des tableaux offrant à la méditation des symboles, mais également, sous forme d'écrits de facture mythologique ou poétique, des enseignements spirituels / de sagesse. Enfin, des musiques également - l'ensemble de ces créations solidaires.
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Je suis remué par ces passages que je résonne en ma mémoire:
Alija rassembla son courage. Il avait entendu des récits sur la manière dont les Maîtres éprouvaient la détermination de leurs étudiants, et maintenant plus que jamais, la situation exigeait de lui qu'il parle avec autant de vigueur que son éducation le permettait.
« Je n’ai pas d’autre choix que de protéger mon droit de connaître la vérité. La vérité LA PLUS HAUTE », commença-t-il avec une faiblesse dans sa voix qui trahissait sa nervosité. « Je ne me contente pas de connaître en partie quand je sais que je peux connaître en totalité. » «
Toute ma vie, » poursuivit-il, « j’ai lu des œuvres spirituelles et je les ai étudiées consciencieusement. Mais plus je lisais, plus je devenais confus – à tel point que je voulus abandonner purement et simplement la recherche de la vérité. Pour la seule raison que la vérité restait toujours cachée. Elle devait être cachée parce qu’elle changeait d’un livre à l’autre; d’un enseignant à l’autre. Vous surtout, qui êtes un maître spirituel gardien de la Vérité la plus élevée, vous devez comprendre ceci. »
Le Maître fit onduler sa main et l’instrument disparut immédiatement. A cet instant le Maître provoqua une expansion du temps. Tandis que la musique s’était arrêtée, la présence du Maître devint plus vive et plus réelle. Le Maître s’approcha à trente centimètres du visage d’Alija qui était incertain et tremblant. Il posa ses mains de chaque côté de la tête d’Alija comme pour la maintenir en équilibre.
Dernière édition par la baleine le Ven 25 Déc - 8:32, édité 1 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
À travers une vidéo, un être parle et, derrière lui, une icône imitation de "La trinité" d'Andrei Roublev:
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Comme à d'autres occasions, souvent, sa tête bascule d'un côté, créant par imitation ou par opposition gauche-droite un contraste avec la figure du maître, sur l'image sainte, paraissant seul digne de verticalité, ou avec celle de ses "disciples" - supposément: le "Fils" et l' "Esprit".
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Cette icône qu'il avait contemplé en conformité avec le dogme fondateur des religions du Livre, aujourd'hui, il la comprend autrement. Et cette vive conscience du poids des têtes inclinées se redresse avec une pensée réinformée, car en deçà de son histoire singulière, un pan essentiel de l'histoire collective semble lui avoir été restitué:
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Via la culture comme lavage de cerveau, ce Père sensément d'amour pour ses disciples a été, en réalité, historiquement et symboliquement, comme forgeant les consciences des humains dans la peur, culpabilité (rs), soumission à une éthique qu'il ne respectait pas - modèle tordu, "père du mensonge". Au contraire, toute la mise en scène du texte sacralisé déformant sa nature spirituelle a brouillé son image, le soumettant à lui - ce qui était le but.
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Bien sûr, les croyants ne voyaient pas cela - la particularité des humains qui tranchent sur ce dieu réducteur et détournateur de l'oeuvre de la Source est qu'ils sont tant habités par la contradiction du Dieu d'amour et ce monde, leur est si vital de voir se représenter dans des traces visibles l'amour illimité qu'ils connaissent derrière les apparences, qu'ils l'ont projeté sur l'idole. Ainsi, Roublev magnifiant ce potentat tout-puissant et terrifiant, l'habillant de Lumière, parle d'un Autre.
Dernière édition par la baleine le Sam 23 Juil - 15:59, édité 2 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Quoi qu'il en soit des représentations de chacun, l'esprit humain jongle avec les symboles pour s'y reconnaître (rs) dans un miroir réunifiant. Ainsi, la "visite" de dieux "étrangers" à "Avram": qui sont-ils, dans l'histoire pragmatique soutenant l'idéalisation ?
Dernière édition par la baleine le Ven 25 Déc - 1:45, édité 1 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Je me réfère à Anton Parks, volume 1 des "Chroniques du Girku" édition Nouvelle Terre page 453 et suivante:
Dernière édition par la baleine le Jeu 24 Déc - 18:23, édité 2 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
Karmaone: "En ce qui concerne le christianisme, il semble que l'amour du prochain et le culte de la vierge soit un ajout tardif provenant en fin de compte de traditions païennes plus anciennes. Les textes et les religions gnostiques dénoncent ces religions "masculines", conquérantes et guerrières comme une sorte de virus, d'infection provenant d'extraterrestres, les archontes. Peut-on raisonnablement penser que les Gnostiques désignaient en réalité les reptiliens mâles lorsqu'ils parlaient des Archontes ?"
Dernière édition par la baleine le Sam 23 Juil - 20:39, édité 2 fois
Re: Contexte d'un rêve; une belle écriture...
S'ensuit page suivante une démonstration édifiante d'une traduction du texte tronqué, où la trace explicite d'un "serpent terrifiant" disparaît d'une version à une autre retenue, la dernière faisant autorité.
Pourtant, recours à la racine la plus ancienne du mot ,"Père", en hébreu, qui dériverait du sumérien GINA AB UL - qui veut dire"Lézard" - réintroduit la faille qui avait été cachée dans le texte sacralisé - non par protection d'une "transcendance" divine mais par Tromperie.
Pourtant, recours à la racine la plus ancienne du mot ,"Père", en hébreu, qui dériverait du sumérien GINA AB UL - qui veut dire"Lézard" - réintroduit la faille qui avait été cachée dans le texte sacralisé - non par protection d'une "transcendance" divine mais par Tromperie.
Dernière édition par la baleine le Sam 23 Juil - 19:58, édité 2 fois
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