Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Dire ce que l'on vit, vivre ce que l'on dit :: II. Histoire collective, travail d'idée et plateforme d'échanges inter-obédiences / interdisciplinaires :: 3. Je pense
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Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Dernière édition par la baleine le Mar 4 Oct - 5:38, édité 4 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Racines:
https://www.dailymotion.com/video/xw0xcx_un-document-d-archive-les-debuts-de-daniel-meurois-et-anne-givaudan_webcam
----
Éventail:
http://www.lechantdestoiles.com/ADMG.html
https://www.dailymotion.com/video/xw0xcx_un-document-d-archive-les-debuts-de-daniel-meurois-et-anne-givaudan_webcam
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Éventail:
Livres signés en commun par ANNE GIVAUDAN et DANIEL MEUROIS
N'hésitez pas à nous contacter par téléphone au 05 53 50 74 40 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
[url=http://www.lechantdestoiles.com/(Empty Reference!)][/url] | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Dernière édition par la baleine le Mar 25 Oct - 3:00, édité 1 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Si Anne Givaudan représenterait mon "féminin intérieur", alors, selon certaines résonances singulières, je pourrais être invité à entendre et à transcrire certains mots présents dans ce que j'ai nommé la vidéo-"racine" d'un éventail de publications-témoignage de ses expériences - ce que je traduis d'une récente liste de lecture et que je fais ci-dessous.
Bon, je n'arrive pas à la lire et qui ne m'empêchera pas de restituer ce que j'en ai retenu.
Le point focal de leurs expériences se situe en des voyages de "décorporation" ou dits "astraux" - au même titre que le rêve endormi à répétition, une activité, à priori, peu considérée en notre société matérialiste où, à moins d'avoir gagné une légitimation comme chercheur ou comme artiste, de bons produits productifs du système de re-production à la chaîne s' attacheront avec charité à stigmatiser votre anomalie-inadaptation-chronique-problématique (comme disait Brassens: "... sauf les manchots... ça va de soi", quoique).
Ces voyages les ont convaincu par expérience de la réalité de mondes parallèles, de guides et d'embûches par-delà notre monde limité à nos états "de veille" habituels et à nos 5 sens.
Est fait état de la rencontre d'un guide appelé "homme bleu" et des publications, par suite, fondées à l'intersection de rêves-voyages éveillés et des expériences et compréhensions qui en ont découlé.
ANNE GIVAUDAN ET LES BÊLEURS INCULTES DES TEXTES SACRÉS PRIS AU PREMIER DEGRÉ
Au début de son chemin, elle raconte comment, lors d'une première conférence, elle s' est faite "insulter". Ensuite comme on peut le voir elle a pris de la bouteille. Son choix a été la carrière d'écriture combinée à des séminaires de "développement personnel" - comme on dit aujourd'hui dans le milieu "new âge". Brassens s' est défendu autrement et je fais remarquer l'ironie qu' il y aurait à bêler à qui mieux mieux un certain refrain qui va suivre paresseusement pris à l'unique premier degré (ce qui vaut bien le verset du Coran...):
Au village, sans prétention,
J´ai mauvaise réputation.
Qu´je m´démène ou qu´je reste coi
Je pass´ pour un je-ne-sais-quoi
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi.
Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En n´écoutant pas le clairon qui sonne.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde me montre du doigt
Sauf les manchots, ça va de soi.
Quand j´croise un voleur malchanceux,
Poursuivi par un cul-terreux;
J´lance la patte et pourquoi le taire,
Le cul-terreux s´retrouv´ par terre
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En laissant courir les voleurs de pommes.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde se rue sur moi,
Sauf les culs-de-jatte, ça va de soi.
Pas besoin d´être Jérémie,
Pour d´viner l´sort qui m´est promis,
S´ils trouv´nt une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En suivant les ch´mins qui n´mènent pas à Rome,
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout l´mond´ viendra me voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.
http://musique.ados.fr/Sinsemilia/La-Mauvaise-Reputation-t1408.html
Bon, je n'arrive pas à la lire et qui ne m'empêchera pas de restituer ce que j'en ai retenu.
Le point focal de leurs expériences se situe en des voyages de "décorporation" ou dits "astraux" - au même titre que le rêve endormi à répétition, une activité, à priori, peu considérée en notre société matérialiste où, à moins d'avoir gagné une légitimation comme chercheur ou comme artiste, de bons produits productifs du système de re-production à la chaîne s' attacheront avec charité à stigmatiser votre anomalie-inadaptation-chronique-problématique (comme disait Brassens: "... sauf les manchots... ça va de soi", quoique).
Ces voyages les ont convaincu par expérience de la réalité de mondes parallèles, de guides et d'embûches par-delà notre monde limité à nos états "de veille" habituels et à nos 5 sens.
Est fait état de la rencontre d'un guide appelé "homme bleu" et des publications, par suite, fondées à l'intersection de rêves-voyages éveillés et des expériences et compréhensions qui en ont découlé.
ANNE GIVAUDAN ET LES BÊLEURS INCULTES DES TEXTES SACRÉS PRIS AU PREMIER DEGRÉ
Au début de son chemin, elle raconte comment, lors d'une première conférence, elle s' est faite "insulter". Ensuite comme on peut le voir elle a pris de la bouteille. Son choix a été la carrière d'écriture combinée à des séminaires de "développement personnel" - comme on dit aujourd'hui dans le milieu "new âge". Brassens s' est défendu autrement et je fais remarquer l'ironie qu' il y aurait à bêler à qui mieux mieux un certain refrain qui va suivre paresseusement pris à l'unique premier degré (ce qui vaut bien le verset du Coran...):
Au village, sans prétention,
J´ai mauvaise réputation.
Qu´je m´démène ou qu´je reste coi
Je pass´ pour un je-ne-sais-quoi
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi.
Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En n´écoutant pas le clairon qui sonne.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde me montre du doigt
Sauf les manchots, ça va de soi.
Quand j´croise un voleur malchanceux,
Poursuivi par un cul-terreux;
J´lance la patte et pourquoi le taire,
Le cul-terreux s´retrouv´ par terre
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En laissant courir les voleurs de pommes.
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout le monde se rue sur moi,
Sauf les culs-de-jatte, ça va de soi.
Pas besoin d´être Jérémie,
Pour d´viner l´sort qui m´est promis,
S´ils trouv´nt une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En suivant les ch´mins qui n´mènent pas à Rome,
Mais les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Non les brav´s gens n´aiment pas que
L´on suive une autre route qu´eux,
Tout l´mond´ viendra me voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.
http://musique.ados.fr/Sinsemilia/La-Mauvaise-Reputation-t1408.html
Dernière édition par la baleine le Mar 4 Oct - 5:40, édité 6 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
<
Pourrions-nous associer autour des paroles de cette chanson ?
>
Certes !
<
"Je ne fais pourtant de tort à personne..."
>
Ok.
Je crois que des blogs et même des livres où sont déblatéré des figures publiques ou des "connaissances" plus ou moins éloignées voire des êtres proches - anciens intimes, membres de famille - sont monnaie courante, aux jours d'aujourd'hui, et je prétends vouloir me démarquer de cela.
<
En quoi pourquoi comment ?
>
Deux protagonistes assez présents sur ce site ont été invité ici, il s' agissait de créer une alternative.
<
Ils penseront - sans te dire et qui, à ta différence qui joue franc jeu ? pour ce qui se tente ici - que c'est à toi d'appliquer et non à eux !?
>
Et voilà, j'estime, qui est penser à faux.
<
Pourquoi ?
>
Une langue ne se pratique pas tout seul, d'autant qu'ici l'analogie est éloignée au sens que dans un conflit ou un "mal en tendu", traduire en réciprocité un langage de l'émotionnel, du ressentiment, du sentiment, du ressenti ou de l'intuition et pratiquer une langue commune inconnue ne peut fonctionner sans entraînements mutuels voire, pour les enjeux lourds, intervention d'un tiers médiateur, je cite: "Avant de lui parler, il peut être judicieux de nous écouter nous mêmes, ou de choisir une personne ou un groupe qui peut nous offrir cette qualité d'écoute afin de nous aider à notre tour à mettre de l'ordre en nous de telle sorte que nous puissions faire l'économie des provocations et des agressions implicites ou explicites que nous n'aimerions pas subir nous mêmes si nous étions placés dans sa position..."
https://resonances.forumactif.com/t5-t-ecouter-t-entendre-m-ecouter-pour-me-faire-entendre#7
<
Et ?
>
Qui, me lisant ici et me rencontrant de visu, m'a INFORMÉ qu'il avait pris connaissance de certains de mes faits de paroles ?
<
En quoi estimes-tu que cela te serait dû ?
>
Ta question comporte beaucoup de volets.
1.
Soit ce que je dépose ici ne les concerne que de loin - ou pour la partie intellectuelle les dépasse et dont ils préfèrent m'attribuer l'unique responsabilité - et ils se permettent de parler "sur moi" en aparté voire de juger. Ce qui pose le "problème" des urgences ou hiérarchie de besoins.
Alors je te cite:
"Ils penseront - sans te dire et qui, à ta différence qui joue franc jeu ? pour ce qui se tente ici - que c'est à toi d'appliquer et non à eux !?"
Je développe sur ce que j'ai souligné.
-----
Ce que je peux déjà dire - pour avoir parcouru "Chronique d'un Départ"-, c'est que le dialogue "d'âme à âme" n'est pas donné ET du fait de notre langue - qui est reflet des déséquilibres inscrits dans nos cultures, vies et cerveaux - ET du fait de notre conscience "de veille".
<
Que veux-tu dire et quel rapport avec ce livre de Anne et Daniel Meurois - Givaudan ?
>
Le livre relaterait réalistement naissance d'une âme auprès de laquelle auraient été envoyé les ? auteurs réécriveurs transcriveurs de ce qui se présente comme des "dialogues". Un trait d'union éclairé, entre ces trois interlocuteurs, ayant estimé que cet être - en demande ou besoin encore pré-conscient et informulé - était mûr pour éclore à une autre qualité de conscience.
Avec des objections qui s' imposent à ces adresses...
http://karmapolis.be/pipeline/interview_griffith_fr.html
http://rapsody.unblog.fr/2009/04/03/illustrations-des-dimensions-parks-alchimie/
... et sur lesquelles je ne m'étend pas ici, je remarque qu'une femme, "au centre", est en situation existentielle de mort-mutation, qu'en amont est un intercesseur et en aval deux "accoucheurs" sensés faciliter cette renaissance. Il y a donc des positions différentes: d'une part trois "facilitants" et d'autre part une âme en demande d' évolution.
Je ne développe pas pour les deux adresses précitées mais mentionne ces deux points primordiaux:
a) Par prudence élémentaire en cette zone que je nomme "psychique" et que d'autres nomment "astral", Kyle Griffith suggère de ne pas toucher / se laisser toucher, arguant que derrière des agneaux - "sur la terre comme aux ciels" - peuvent être cachés des loups qui peuvent même prendre les apparences trompeuses de proches disparus.
b) Ce livre - en commun avec la littérature new age ? / je pense ici aux écrits d' Elisabeth Kubler Ross et Raymond Moody - semble nourrir identiquement une confiance absolue en un "couloir de lumière" et un "soleil d'amour absolu" - assimilé à Dieu.
Or - ma seconde adresse précitée - là également, tout ne serait pas si simple ni tout rose, de véritables machineries monstrueuses imitant le vrai lieu spirituel par le biais d'un soleil trompeur... dont ré expéditions en de nouvelles incarnations... ne seraient nullement voulues par la Source - dont nous participerions - ni mérité par un "karma" rétributif -, mais infligé par tromperie.
La ressemblance avec ma situation sur ce site s' arrête là: depuis mon arrivée située chronologiquement peu après le premier attentat de Paris, j'ai rendu public en temps réel un long journal de rêves - datant de bien avant et composé de plusieurs sections déposées à différents endroits sur la toile.
Cette démarche est peu commune - il ne s' agissait en rien ni d'envahissement d'un territoire illégitime, ni de prétention déplacée à une "originalité", mais d'une motion intérieure forte, puissante, impérative, de mon être, à unifier en moi et "au dehors de moi" par résonances des composantes situables à l'articulation "psychique-spirituel" - il s' agissait d'urgence, et oui d'une certaine manière, d'un enjeu de vie ou de mort pour mon âme (= aussi esprit et corps) et peut-être celles d'autres qui pouvaient s' y reconnaître.
Mais la différence ne s' arrête pas là en ce sens que, les événements les plus récents ont démontrés en quoi la difficulté de traduction exacte entre ce langage du rêve qu' aujourd'hui je n'hésiterais pas à qualifier de situable "dans l'astral" OÙ PEUVENT VENIR EXCEPTIONNELLEMENT DES ENTITÉS PROVENANT DE LA ZONE SPIRITUELLE - et qui, en ce cas, constituerait une zone intermédiaire psychique-spirituelle - et le langage qui nous échoit et nous limite "de ce côté du miroir" peut donner lieu à des mal en tendu pouvant dégénérer vers le pire.
Disant cela, j'anticipe sur un autre cas de figure mais que je prépare ici et qui sera confirmé, je crois - pour ce qui est de la difficulté DE TRADUCTION liée au langage symbolique ou psychique-spirituel en cette région des "3D" - par l'état actuel d'analyse du rêve 8 dans le fil centré sur les Wingmakers section 5.3 (en cours de reconstitution).
Les tous premiers moments de rencontre entre Elisabeth et les "accoucheurs" de son être "cancérisé" par des "conflits intérieurs" non-résolus avec des tiers - nous venons de voir sa fille venir la visiter en rêve / sur ce plan astral, et plus tard son ancien compagnon viendra à son chevet... où l'on comprend qu'il ne s' agit pas que d'unique "intériorité" mais simultanément de relations avec des altérités - se situent en la page 19 de ce livre: elle est perdue - se demande si elle est morte -, ils l'appellent par son prénom - révélé par "l'intercesseur de lumière" -, elle s' étonne qu' ils le connaissent, ils la touchent - contact énergétique entre leurs corps subtils ! - et ensuite l' "enseignent" (l'accouchent) jusqu'à leur séparation fin du livre où, confiante, elle rejoint "les siens" et la joie parfaite, insoupçonnée, l'attendant au fond du couloir de lumière - happy end.
Il y a juste un problème, selon moi - pour filer et conclure la métaphore avec "mon premier cas" de figure -: ils connaissaient son prénom et avaient pour avantage sur elle d'être des voyageurs aguerris de l'astral, elle ne connaissait pas le leur et avait "contre elle" (en sa défaveur) d'être perdue, ils ont pris l'initiative de la toucher et que, non-informée et inexpérimentée elle ne pouvait que laisser faire ou "subir", tout cela, le cas échéant - ne peut être exclu cette éventualité -, en situation où elle ou tous étaient trompés.
Pourrions-nous associer autour des paroles de cette chanson ?
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Certes !
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"Je ne fais pourtant de tort à personne..."
>
Ok.
Je crois que des blogs et même des livres où sont déblatéré des figures publiques ou des "connaissances" plus ou moins éloignées voire des êtres proches - anciens intimes, membres de famille - sont monnaie courante, aux jours d'aujourd'hui, et je prétends vouloir me démarquer de cela.
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En quoi pourquoi comment ?
>
Deux protagonistes assez présents sur ce site ont été invité ici, il s' agissait de créer une alternative.
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Ils penseront - sans te dire et qui, à ta différence qui joue franc jeu ? pour ce qui se tente ici - que c'est à toi d'appliquer et non à eux !?
>
Et voilà, j'estime, qui est penser à faux.
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Pourquoi ?
>
Une langue ne se pratique pas tout seul, d'autant qu'ici l'analogie est éloignée au sens que dans un conflit ou un "mal en tendu", traduire en réciprocité un langage de l'émotionnel, du ressentiment, du sentiment, du ressenti ou de l'intuition et pratiquer une langue commune inconnue ne peut fonctionner sans entraînements mutuels voire, pour les enjeux lourds, intervention d'un tiers médiateur, je cite: "Avant de lui parler, il peut être judicieux de nous écouter nous mêmes, ou de choisir une personne ou un groupe qui peut nous offrir cette qualité d'écoute afin de nous aider à notre tour à mettre de l'ordre en nous de telle sorte que nous puissions faire l'économie des provocations et des agressions implicites ou explicites que nous n'aimerions pas subir nous mêmes si nous étions placés dans sa position..."
https://resonances.forumactif.com/t5-t-ecouter-t-entendre-m-ecouter-pour-me-faire-entendre#7
<
Et ?
>
Qui, me lisant ici et me rencontrant de visu, m'a INFORMÉ qu'il avait pris connaissance de certains de mes faits de paroles ?
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En quoi estimes-tu que cela te serait dû ?
>
Ta question comporte beaucoup de volets.
1.
Soit ce que je dépose ici ne les concerne que de loin - ou pour la partie intellectuelle les dépasse et dont ils préfèrent m'attribuer l'unique responsabilité - et ils se permettent de parler "sur moi" en aparté voire de juger. Ce qui pose le "problème" des urgences ou hiérarchie de besoins.
Alors je te cite:
"Ils penseront - sans te dire et qui, à ta différence qui joue franc jeu ? pour ce qui se tente ici - que c'est à toi d'appliquer et non à eux !?"
Je développe sur ce que j'ai souligné.
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Ce que je peux déjà dire - pour avoir parcouru "Chronique d'un Départ"-, c'est que le dialogue "d'âme à âme" n'est pas donné ET du fait de notre langue - qui est reflet des déséquilibres inscrits dans nos cultures, vies et cerveaux - ET du fait de notre conscience "de veille".
<
Que veux-tu dire et quel rapport avec ce livre de Anne et Daniel Meurois - Givaudan ?
>
Le livre relaterait réalistement naissance d'une âme auprès de laquelle auraient été envoyé les ? auteurs réécriveurs transcriveurs de ce qui se présente comme des "dialogues". Un trait d'union éclairé, entre ces trois interlocuteurs, ayant estimé que cet être - en demande ou besoin encore pré-conscient et informulé - était mûr pour éclore à une autre qualité de conscience.
Avec des objections qui s' imposent à ces adresses...
http://karmapolis.be/pipeline/interview_griffith_fr.html
http://rapsody.unblog.fr/2009/04/03/illustrations-des-dimensions-parks-alchimie/
... et sur lesquelles je ne m'étend pas ici, je remarque qu'une femme, "au centre", est en situation existentielle de mort-mutation, qu'en amont est un intercesseur et en aval deux "accoucheurs" sensés faciliter cette renaissance. Il y a donc des positions différentes: d'une part trois "facilitants" et d'autre part une âme en demande d' évolution.
Je ne développe pas pour les deux adresses précitées mais mentionne ces deux points primordiaux:
a) Par prudence élémentaire en cette zone que je nomme "psychique" et que d'autres nomment "astral", Kyle Griffith suggère de ne pas toucher / se laisser toucher, arguant que derrière des agneaux - "sur la terre comme aux ciels" - peuvent être cachés des loups qui peuvent même prendre les apparences trompeuses de proches disparus.
b) Ce livre - en commun avec la littérature new age ? / je pense ici aux écrits d' Elisabeth Kubler Ross et Raymond Moody - semble nourrir identiquement une confiance absolue en un "couloir de lumière" et un "soleil d'amour absolu" - assimilé à Dieu.
Or - ma seconde adresse précitée - là également, tout ne serait pas si simple ni tout rose, de véritables machineries monstrueuses imitant le vrai lieu spirituel par le biais d'un soleil trompeur... dont ré expéditions en de nouvelles incarnations... ne seraient nullement voulues par la Source - dont nous participerions - ni mérité par un "karma" rétributif -, mais infligé par tromperie.
La ressemblance avec ma situation sur ce site s' arrête là: depuis mon arrivée située chronologiquement peu après le premier attentat de Paris, j'ai rendu public en temps réel un long journal de rêves - datant de bien avant et composé de plusieurs sections déposées à différents endroits sur la toile.
Cette démarche est peu commune - il ne s' agissait en rien ni d'envahissement d'un territoire illégitime, ni de prétention déplacée à une "originalité", mais d'une motion intérieure forte, puissante, impérative, de mon être, à unifier en moi et "au dehors de moi" par résonances des composantes situables à l'articulation "psychique-spirituel" - il s' agissait d'urgence, et oui d'une certaine manière, d'un enjeu de vie ou de mort pour mon âme (= aussi esprit et corps) et peut-être celles d'autres qui pouvaient s' y reconnaître.
Mais la différence ne s' arrête pas là en ce sens que, les événements les plus récents ont démontrés en quoi la difficulté de traduction exacte entre ce langage du rêve qu' aujourd'hui je n'hésiterais pas à qualifier de situable "dans l'astral" OÙ PEUVENT VENIR EXCEPTIONNELLEMENT DES ENTITÉS PROVENANT DE LA ZONE SPIRITUELLE - et qui, en ce cas, constituerait une zone intermédiaire psychique-spirituelle - et le langage qui nous échoit et nous limite "de ce côté du miroir" peut donner lieu à des mal en tendu pouvant dégénérer vers le pire.
Disant cela, j'anticipe sur un autre cas de figure mais que je prépare ici et qui sera confirmé, je crois - pour ce qui est de la difficulté DE TRADUCTION liée au langage symbolique ou psychique-spirituel en cette région des "3D" - par l'état actuel d'analyse du rêve 8 dans le fil centré sur les Wingmakers section 5.3 (en cours de reconstitution).
Les tous premiers moments de rencontre entre Elisabeth et les "accoucheurs" de son être "cancérisé" par des "conflits intérieurs" non-résolus avec des tiers - nous venons de voir sa fille venir la visiter en rêve / sur ce plan astral, et plus tard son ancien compagnon viendra à son chevet... où l'on comprend qu'il ne s' agit pas que d'unique "intériorité" mais simultanément de relations avec des altérités - se situent en la page 19 de ce livre: elle est perdue - se demande si elle est morte -, ils l'appellent par son prénom - révélé par "l'intercesseur de lumière" -, elle s' étonne qu' ils le connaissent, ils la touchent - contact énergétique entre leurs corps subtils ! - et ensuite l' "enseignent" (l'accouchent) jusqu'à leur séparation fin du livre où, confiante, elle rejoint "les siens" et la joie parfaite, insoupçonnée, l'attendant au fond du couloir de lumière - happy end.
Il y a juste un problème, selon moi - pour filer et conclure la métaphore avec "mon premier cas" de figure -: ils connaissaient son prénom et avaient pour avantage sur elle d'être des voyageurs aguerris de l'astral, elle ne connaissait pas le leur et avait "contre elle" (en sa défaveur) d'être perdue, ils ont pris l'initiative de la toucher et que, non-informée et inexpérimentée elle ne pouvait que laisser faire ou "subir", tout cela, le cas échéant - ne peut être exclu cette éventualité -, en situation où elle ou tous étaient trompés.
Dernière édition par la baleine le Mar 1 Nov - 5:55, édité 61 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
<
La vision de Kyle Griffith n'est guère optimiste et ton apparent raisonnement concernant le premier cas de figure serait donc: la responsabilité du "bruit" que tu as fait sur la toile reviendrait à autrui ?
>
La responsabilité me revient, mais la "position" d'enseignement ou de jugement fondée sur d'éventuelles instrumentalisations par des tiers me fait penser à cette parole de l'Evangile - et où bien entendu je ne m'identifie pas ici comme auteur ou détenteur de cette parole mais comme un participant à égale responsabilité vis-à-vis d'autrui: "Heureux pour qui je ne serai pas une occasion de chute !".
<
Je ne vois pas en quoi quiconque dès lors te devrait un retour.
>
Je ne met pas en doute à priori la bienveillance des protagonistes de l'histoire racontée par "Chronique d'un Départ" - prise ici pour exemple démontrant presque "par l'absurde" que, vu une ignorance possible concernant la réalité apparente ou voilée des mondes visibles et "invisibles" - au sens ici d'être inaccessibles à nos 5 sens -, les meilleures intentions peuvent être détournées et instrumentalisées.
Maintenant, pour compléter ce qui précède et qui donnait donc la plus vaste mesure des enjeux réels voilés "derrière les apparences", je suis bien obligé de raconter cette anecdote qui devrait permettre de conclure sur notre point de départ.
Quelqu'un me dit: "Dis-moi les choses face à face et non derrière mon dos !" - ce qui me prouvait qu'elle m'avait lu ici. Son exigence me conduisait à lui "exploser" à la figure, lui tourner définitivement le dos et l'entendre me crier de loin: "Grossier personnage !". Autrement dit: elle dispose bien d'un espace où parler en aparté qui, dans une visée d'évolution, ne m'offre aucune possibilité de savoir ce qui est dit ou pensé "sur moi".
Il ne s' agit pas ici d'une demande de pommade pour un égo mais de rendre possible cette communication d'être à être - ou d'âme en demande d'évolution à une autre âme se mettant à son écoute, cf. le livre précité d'Anne Givaudan et ensuite intervertissement des rôles.
Par contre, ici elle peut être informée dont le but est, en commencement du processus évoqué dans le blog de ce site, de me soulager sans lui exploser à la figure.
Mais même ce dernier "cas de figure", à défaut de mieux, m'est dénié comme droit, conduisant à quelle finalité ?
La vision de Kyle Griffith n'est guère optimiste et ton apparent raisonnement concernant le premier cas de figure serait donc: la responsabilité du "bruit" que tu as fait sur la toile reviendrait à autrui ?
>
La responsabilité me revient, mais la "position" d'enseignement ou de jugement fondée sur d'éventuelles instrumentalisations par des tiers me fait penser à cette parole de l'Evangile - et où bien entendu je ne m'identifie pas ici comme auteur ou détenteur de cette parole mais comme un participant à égale responsabilité vis-à-vis d'autrui: "Heureux pour qui je ne serai pas une occasion de chute !".
<
Je ne vois pas en quoi quiconque dès lors te devrait un retour.
>
Je ne met pas en doute à priori la bienveillance des protagonistes de l'histoire racontée par "Chronique d'un Départ" - prise ici pour exemple démontrant presque "par l'absurde" que, vu une ignorance possible concernant la réalité apparente ou voilée des mondes visibles et "invisibles" - au sens ici d'être inaccessibles à nos 5 sens -, les meilleures intentions peuvent être détournées et instrumentalisées.
Maintenant, pour compléter ce qui précède et qui donnait donc la plus vaste mesure des enjeux réels voilés "derrière les apparences", je suis bien obligé de raconter cette anecdote qui devrait permettre de conclure sur notre point de départ.
Quelqu'un me dit: "Dis-moi les choses face à face et non derrière mon dos !" - ce qui me prouvait qu'elle m'avait lu ici. Son exigence me conduisait à lui "exploser" à la figure, lui tourner définitivement le dos et l'entendre me crier de loin: "Grossier personnage !". Autrement dit: elle dispose bien d'un espace où parler en aparté qui, dans une visée d'évolution, ne m'offre aucune possibilité de savoir ce qui est dit ou pensé "sur moi".
Il ne s' agit pas ici d'une demande de pommade pour un égo mais de rendre possible cette communication d'être à être - ou d'âme en demande d'évolution à une autre âme se mettant à son écoute, cf. le livre précité d'Anne Givaudan et ensuite intervertissement des rôles.
Par contre, ici elle peut être informée dont le but est, en commencement du processus évoqué dans le blog de ce site, de me soulager sans lui exploser à la figure.
Mais même ce dernier "cas de figure", à défaut de mieux, m'est dénié comme droit, conduisant à quelle finalité ?
Dernière édition par la baleine le Mer 12 Oct - 6:02, édité 12 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Je conclus de ce premier parcours que, de sa "réputation", tout créateur, finalement, n'en a que faire - Brassens écrit ce qu'il vit et le cheville à son unicité constituée de ses valeurs - âme - qu'il définit par lui-même - esprit - et de sa corporeite comme "outil d'expression" dans ce monde "matériel" qui noue ces trois composantes essentielles.
Pour ce qui me concerne, en tant que création partielle et essentielle, ma parole-écriture, sur les forums, a fait un chemin, ce lieu ayant commencé de définir des valeurs et des outils qu'il me reste à maîtriser... avec d'autres. Que ce qui s' exprime ici soit inabouti et puisse déranger, je le conçois et qui me paraît fruit de responsabilités partagées.
Je ne vise aucunement l'amour intégral avec tous - c'est aussi la séparation qui rend possible la création comme insertion singulière dans un contexte d' âmes-groupe. Car aucun créateur ne naît pour séduire ou se soumettre à la loi du groupe. Cela implique de réaliser la force qui est en lui - celle-là même qui m'a fait briser une loi du silence concernant bien des enjeux intimement liés, interconnectés - ma manière étant la mienne que je continue de trouver, que cela plaise ou non.
Pour ce qui me concerne, en tant que création partielle et essentielle, ma parole-écriture, sur les forums, a fait un chemin, ce lieu ayant commencé de définir des valeurs et des outils qu'il me reste à maîtriser... avec d'autres. Que ce qui s' exprime ici soit inabouti et puisse déranger, je le conçois et qui me paraît fruit de responsabilités partagées.
Je ne vise aucunement l'amour intégral avec tous - c'est aussi la séparation qui rend possible la création comme insertion singulière dans un contexte d' âmes-groupe. Car aucun créateur ne naît pour séduire ou se soumettre à la loi du groupe. Cela implique de réaliser la force qui est en lui - celle-là même qui m'a fait briser une loi du silence concernant bien des enjeux intimement liés, interconnectés - ma manière étant la mienne que je continue de trouver, que cela plaise ou non.
Dernière édition par la baleine le Mar 4 Oct - 5:43, édité 1 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
la baleine a écrit:
l'état actuel d'analyse du rêve 8 dans le fil centré sur les Wingmakers section 5.3
https://resonances.forumactif.com/t243p112-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailesu#8280
Dernière édition par la baleine le Dim 30 Oct - 17:43, édité 1 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
ORPHELINS DE "LABORATOIRES" GAVÉS DE "MEDICAMENTS" PAR TUBULAIRES DÉBOUCHANT DIRECTEMENT DANS LEUR ESTOMAC; UN RAISONNEMENT FAUX - IRRECEVABLE CAR INCONSÉQUENT
<
"En suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome" ?
>
Avec pour cible cette autre adresse
http://www.karmapolis.be/intro/orphelins_labo.htm
j'ajoute au sous-titre développé dans un fil parallèle sur ce site:
https://resonances.forumactif.com/t119p70-autour-de-l-art-de-la-guerre-hyperdimensionnelle-reflexion-approche-critique#2963
À savoir: "De la non-absolutisation du relatif à la non-relativisation de l'absolu: la quête de la science".
En suggérant que ce refrain de Brassens ne devait pas être "pris au premier degré", j'entend que "Rome" symbolise non-seulement le pouvoir central en ce domaine desdites "croyances religieuses" - une expression assez peu conciliable avec la démarche scientifique -, mais également pour le "savoir scientifique" qui, comme en son temps pour la religion, se serait allié à un pouvoir politique pour s' ériger en dogme inquestionnable et abattre hors débat scientifique toutes les thèses concurrentes.
<
Mais des fineaux te diront que la Vérité absolue (définitivement close sur elle-même) n'existe pas. Et que la recherche passionnelle de celle-ci - en science comme en religion -, de par sa résonance guerrière révèle sa double inconscience: et quant à l'objet - la thèse défendue en un temps des connaissances qui restent partielles et donc relatives -, et quant à son terreau - humain trop humain.
>
Avançant ton argumentaire, comme pour paraphraser les mots qui précèdent de cette chanson, quelqu'un refusant poursuite du débat et acceptant un traitement invalidant pour beaucoup de monde ajoute: "Je n'ai rien fait de mal". J'estime ce raisonnement faux, irrecevable et inconséquent.
<
Pourquoi ?
>
La science peut peut-être soutenir - dans l'absolu abstrait - que La vérité Toute n'existe pas, mais elle ne travaille pas que sur le renouvellement de ses paradigmes DANS L'ABSTRAIT mais en remettant en cause à partir de ses observations concrètes... sur un terrain - politique, scientifique, biologique... Observation de son propre terrain biologique donc, d'une part, et une situation globale bien au-delà de la perspective "holistique" concernant le seul corps physique - comme si "seul" pouvait exister.
Or cet article et cette thèse - la liaison frauduleuse "vih-sida" -, bien des sites sérieux la relayent aujourd'hui plus qu'hier sans que le débat ait eu lieu - collusion technocrates-haute finance-représentants.
Voyant les enjeux humains - lisez l'article également sur karmapolis : des orphelins de "laboratoires" non-compliants (après avoir été confisqués à leur parents "irresponsables") gavés de "médicaments" par des tubulaires débouchant directement dans leur estomac ! -, et bien non désolé: je ne me fais pas complice de cette criminelle désinformation.
Source: http://sidasante.com/
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"En suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome" ?
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Avec pour cible cette autre adresse
http://www.karmapolis.be/intro/orphelins_labo.htm
j'ajoute au sous-titre développé dans un fil parallèle sur ce site:
https://resonances.forumactif.com/t119p70-autour-de-l-art-de-la-guerre-hyperdimensionnelle-reflexion-approche-critique#2963
À savoir: "De la non-absolutisation du relatif à la non-relativisation de l'absolu: la quête de la science".
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
En suggérant que ce refrain de Brassens ne devait pas être "pris au premier degré", j'entend que "Rome" symbolise non-seulement le pouvoir central en ce domaine desdites "croyances religieuses" - une expression assez peu conciliable avec la démarche scientifique -, mais également pour le "savoir scientifique" qui, comme en son temps pour la religion, se serait allié à un pouvoir politique pour s' ériger en dogme inquestionnable et abattre hors débat scientifique toutes les thèses concurrentes.
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Mais des fineaux te diront que la Vérité absolue (définitivement close sur elle-même) n'existe pas. Et que la recherche passionnelle de celle-ci - en science comme en religion -, de par sa résonance guerrière révèle sa double inconscience: et quant à l'objet - la thèse défendue en un temps des connaissances qui restent partielles et donc relatives -, et quant à son terreau - humain trop humain.
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Avançant ton argumentaire, comme pour paraphraser les mots qui précèdent de cette chanson, quelqu'un refusant poursuite du débat et acceptant un traitement invalidant pour beaucoup de monde ajoute: "Je n'ai rien fait de mal". J'estime ce raisonnement faux, irrecevable et inconséquent.
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Pourquoi ?
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La science peut peut-être soutenir - dans l'absolu abstrait - que La vérité Toute n'existe pas, mais elle ne travaille pas que sur le renouvellement de ses paradigmes DANS L'ABSTRAIT mais en remettant en cause à partir de ses observations concrètes... sur un terrain - politique, scientifique, biologique... Observation de son propre terrain biologique donc, d'une part, et une situation globale bien au-delà de la perspective "holistique" concernant le seul corps physique - comme si "seul" pouvait exister.
Or cet article et cette thèse - la liaison frauduleuse "vih-sida" -, bien des sites sérieux la relayent aujourd'hui plus qu'hier sans que le débat ait eu lieu - collusion technocrates-haute finance-représentants.
Voyant les enjeux humains - lisez l'article également sur karmapolis : des orphelins de "laboratoires" non-compliants (après avoir été confisqués à leur parents "irresponsables") gavés de "médicaments" par des tubulaires débouchant directement dans leur estomac ! -, et bien non désolé: je ne me fais pas complice de cette criminelle désinformation.
Circuit d'initiation à la " dissidence $IDA " :
Une promenade didactique et hygiénique !
Par Dr Marc Deru
En science, la charge de la preuve revient à celui qui émet l'hypothèse, pas à celui qui la conteste.
Découvrez ces textes avec l'esprit ouvert, le bon sens et le discernement toujours en éveil.
Soyez prêt à dépasser tous vos préjugés, à remettre en question les arguments d'autorité et les affirmations d'experts non étayées par des preuves, à soumettre à une saine critique beaucoup d'idées reçues.
Exercez votre jugement. Reprenez le contrôle de votre pensée.
1° étape : une vue d'ensemble sur le sujet.
- http://www.sidasante.com/journal/joudavid.htm
- http://www.sidasante.com/critique/crigiral.htm
- http://www.sidasante.com/deru/effond.htm
- http://www.sidasante.com/critique/kohnlein.htm
2° étape : être séropositif, qu'est-ce que cela signifie ?
3° étape : la question du " VIH ", virus fantôme.
- http://www.sidasante.com/edh/edhvih.htm
- http://www.sidasante.com/edh/edh70s.htm
- http://www.sidasante.com/edh/remark.htm (en anglais)
4° étape : le point sur la situation en Afrique.
- http://www.sidasante.com/journal/effondre.htm
- http://www.sidasante.com/critique/fialafr.htm
- http://www.sidasante.com/deru/krynen.htm
- http://www.sidasante.com/deru/sidafric.htm
5° étape : le pourquoi et le comment de l'immunodéficience.
- http://www.virusmyth.net/aids/data/rgcofactors.htm (en anglais)
- http://www.sidasante.com/critique/kremer.htm
6° étape : une analyse politique.
- http://www.virusmyth.net/aids/data/rhaids.htm (en anglais)
7° étape : pour ceux qui veulent creuser davantage le sujet.
- voir d'autres articles sur le site, en particulier :
Réfutation de la déclaration de Durban :
http://www.sidasante.com/science/refutation.htm
E.Papadopulos et le groupe de Perth : Le VIH est-il la cause du sida ?
http://www.sidasante.com/science/scielen1.htm
V.Turner !groupe de Perth) : Est-ce que les tests anticorps prouvent une infection VIH ?
http://www.sidasante.com/science/scivalt.htm
voir le site anglophone " http://www.virusmyth.com" qui rassemble un grand nombre de documents scientifiques et journalistiques, en particulier, à propos de l’Afrique, à la rubrique " Find ", sous rubrique " Africa ",
des articles de :
Celia Farber (Out of Africa 1 et 2)
Christian Fiala
Charles Geshekter
Neville Hodgkinson (The plague that never was)
Joan Shenton (African AIDS, AIDS and Africa)
---------------
Etape de conclusion : L'avocat sud-africain, Anthony Brink, donne une réponse à la question que tout le monde se pose :
- "Est-il donc possible que, sur la question du SIDA, tous les médecins soient dans l’erreur ?"
http://www.sidasante.com/critique/brink.htm
Source: http://sidasante.com/
Dernière édition par la baleine le Mer 12 Oct - 6:59, édité 6 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Extraits de "Formes Pensées", Anne GIVAUDAN + Daniel Meurois-Givaudan et «Les trois Marie»
Par lsrb Le 2012-05-06
…” Nous attirons toujours à nous ce qui va nous permettre de guérir et notre âme se rit du temps et de l’espace. Nous sommes les créateurs de nos pensées et des mondes subtils ou physiques qu’elles génèrent, nous sommes les maîtres incontestables de la pièce de théâtre que nous avons mise en scène et qui est notre vie.
Que l’on récolte ce qu’on sème est une loi de « physique mystique » ou de « physique subtile » qui n’a rien à voir avec la morale d’un temps ou d’une époque et ne peut porter le nom de punition.
« Les molécules se modifient selon la qualité de la pensée qui l’anime »
Ce qui importe c’est ce que nous sommes aujourd’hui, nous qui sommes la mosaïque de tout ce que nous avons été jusque-là et de tout ce que nous deviendrons par la suite.
« Il est facile, si on ne reste pas lucide, de reproduire indéfiniment le même karma, car le sentiment de culpabilité est là, ainsi que le désamour de soi-même… En effet, lorsque l’on prend conscience de ses faits et gestes des vies passées, et qui plus est ne sont pas toujours beaux, on est tenté de se sentir coupable et d’une manière ou d’une autre de s’auto-punir…et c’est là qu’est le piège : manquer d’amour envers soi-même et s’empêcher ainsi de gravir les échelons de l’évolution… »
Il n’y a qu’une vie et non pas trente-six mille mais aussi, cette vie comporte-t-elle des instants où l’on dort, où l’on se réveille avec d’autres vêtements, où l’on tourne les pages d’un livre inscrit au fond de nous et qui nous font voyager d’un chapitre à l’autre. Une FP peut nous accompagner de vie en vie et se réactiver au moment même où toutes les circonstances de notre vie actuelle le lui permettent. C’est ainsi que nous nous offrons une nouvelle occasion de résoudre ce qui n’a pu l’être, pour qu’ait enfin lieu la Transmutation de l’Ombre en Lumière.
Nos FP créent des réseaux extrêmement subtils et solides avec tout ce qui nous entoure. Elles contiennent tout ce qui est en rapport avec l’évènement qui s’est gravé un jour en nous et continuent de nous blesser. Qu’il s’agisse d’une époque, du temps qu’il fait dehors, d’un instrument, d’un regard, d’une atmosphère, tout est là dans les moindres détails. De vie en vie, ces FP attireront à nous ce qui peut vibrer en syntonie avec notre histoire, pour enfin nous permettre de la guérir. Sommes-nous ici pour ressasser sans arrêt de vieilles histoires ? Non. Il faut qu’un jour nous cessions de nourrir notre intellect et notre mental. Nous avons eu des centaines et des centaines d’incarnations et nous avons joué presque tous les rôles possibles et imaginables. Nul besoin d’y revenir sans arrêt. se complaire dans le passé nourrit les FP qui y sont attachées… Cesser d’agiter le passé les dévitalise. L’Amour est le plus puissant des dissolvants.
Qu’est-ce qu’une FP ? : Une FP est une « entité » énergétique et est créée par le chakra frontal (énergie créatrice des images et de la matérialisation sur les plans subtils de notre pensée) et d’un autre centre ou chakra en rapport et dépendant de l’origine de cette création. Par exemple : selon l’image, le concept ou la compréhension d’un évènement, des centres énergétiques différents peuvent entrer en action. Si c’est une émotion forte, ce sera le chakra solaire, Si le mental est mis à contribution, ce sera le cinquième chakra, si le problème touche à la survie ou des pulsions plus animales ce sera le deuxième chakra….Le chakra du cœur est absent de ce processus automatique pour l’instant car trop peu actif chez la majorité des humains.
Il n’y a pas « d’accidents » sur les plans subtils, pas plus que de « hasards ». Tous les évènements y sont déjà inscrits avant qu’ils ne se concrétisent dans la matière. Que cela prenne un instant, des heures, des mois ou des années n’enlève rien au fait que les FP préexistent à l’évènement.
Lorsqu’une FP est constituée, elle crée une ouverture à travers nos différentes auras qui ainsi n’assurent plus leurs fonctions protectrices initiales. Elle fait aussitôt office d’aimant, et va attirer à elle tout ce qui peut correspondre à sa vibration personnelle. La porte sera désormais ouverte à ce que les Esséniens appelaient, il y a deux mille ans déjà, « entité maladie ». « L’ entité maladie » est attirée vers nous et vers l’un de nos organes parce que nous émettons des signaux qui lui correspondent sur un plan subtil et qui sont en résonance avec l’émetteur qui n’est autre que nous-mêmes.
Le type de maladie que nous captons est toujours en « syntonie » avec ce que nous vivons et avec la symbolique du corps et de ses organes. Etre en « syntonie » signifie « être en accord, en harmonie ».
Une entité de ce type est semblable à un être de l’Ether qui se nourrit des forces vitales d’un organe ou d’un corps entier jusqu’à épuisement de ce dernier. Cela n’est ni juste ni injuste. La maladie est, et restera, toujours et avant tout une sonnette d’alarme qui attire notre attention sur l’alignement défectueux de nos différents corps. Si nous ne sommes pas en accord avec nos pensées, nos paroles et nos actes, nous ne pouvons agir avec sérénité et vitalité.
Il y a en nous une banque de données que l’on appelle « atome-germe » et qui nous suit d’incarnation en incarnation. Il contient tout ce qui nous concerne et ce, dans les moindres détails. Il revient avec nous, logé dans le ventricule gauche du cœur, à un niveau subtil. C’est le futur père qui sur le plan de l’âme, au moment où se prend la décision de l’incarnation et trois mois avant toute conception physique, va réactiver cet atome.
Nous sommes la totalité des évènements que l’on dit « passé » et en nous est déjà contenu ce que l’on nomme ici sur cette Terre, le « futur ». Ce qui a existé, existe et existera toujours. Néanmoins, et c’est bien à ce stade que nous intervenons, ce que nous mettons autour d’un évènement quel qu’il soit, tant par l’émotion qu’il provoque en nous que par l’idée que nous en avons, dépend de notre seul regard. Accepter ce que l’on peut changer sans le colorer de nos désirs, de nos manques, est un acte d’Amour inconditionnel envers Soi et envers la Vie, telle qu’elle est, sans jugement, sans attente autre que ce qui est.
Les « Nadis » (canaux) sont comme l’axe de circulation qu’emprunte la Lumière pour inonder et donner la Vie à notre organisme dans les plans physiques. Les Nadis forment comme un treillis de lumière qui inonde nos différents corps et nous met en résonance avec tout l’univers. Ainsi, l’information circule non seulement en nous, mais en connexion avec tous les organismes vivants dans tous les univers. La lumière quant à elle, n’y circule pas en ligne droite mais en lemniscates, par une trajectoire qui dessine l’infini.
Un « égrégore » est avant tout un moteur, une masse d’énergie alimentée par toutes les pensées du même type qui circulent à la surface du monde.
En 1791, Kent écrivait « La raison ne perçoit que ce qu’elle produit elle-même, d’après ses propres plans ». A notre époque, Jacob Bohm et Carl Pribram ont la certitude que notre cerveau peut créer la matière et que l’attention que nous portons aux éléments de la vie est suffisante pour leur donner une existence : « Bohm avance que notre cerveau forge les notions de temps et d’espace ; notre cerveau construit mathématiquement une réalité objective, par l’interprétation de fréquences d’un ordre d’existence plus profond situé par-delà l’espace et le temps ». Pribram dira que « le monde objectif n’a pas d’existence, du moins pas celle que nous lui octroyons… La réalité spatio-temporelle n’est que le résultat de la lecture et du traitement de ces fréquences par le calculateur complexe qu’est notre cerveau. »
Retrouver chez des physiciens et des chercheurs en physique quantique ce qui a été montré d’une manière plus mystique, confirme dans le fait qu’il n’y aurait qu’un pas à franchir pour que la mystique puisse être comprise en termes plus concrets et que Science et Conscience ne soient que les deux doigts d’une même main, celle de ce que l’on nomme « Dieu ».
Et comme le dit Sri Aurobindo : « Il faut nous dégager non seulement des pièges du mental et des sens mais aussi de ceux du penseur, du théologien et du fondateur d’église, des chaînes, des idées… il nous faut toujours transgresser de telles frontières, toujours renoncer au fini pour l’infini… Et il nous faut même se détacher de ces vérités, sur lesquelles notre prise est la plus ferme, car elles ne sont qu’expressions et formes de l’Indicible, lequel ne saurait être limité à quelque formes que ce soit. »
Le Prâna : les particules de prâna sont en suspension autour de nous. Cela peut être comparé à une fabuleuse énergie présente en tout et autour de tout et qui, baignant la création tout entière de sa présence, infuse la Force de Vie, jusque dans ses plus infimes manifestations. L’œil, ou plutôt l’âme qui apprend à regarder l’infini dans les conditions et l’état de conscience déjà évoqués, parvient aisément à discerner ce prâna. Il lui apparaît sous la forme d’une myriade de points microscopiques, argentés, se déplaçant en tous sens à grande vitesse sans jamais s’entrechoquer.(Regardez le ciel bleu dans un endroit pur, en montagne ou dans les prés, sans vraiment vous attacher à un sujet quelconque et laissez faire, vous verrez probablement ces petites particules bouger très vite dans tous les sens !)
Le mental et la forme-pensée : A chaque fois qu’un être émet une pensée, il se produit à la surface de son aura mentale une sorte de geyser d’où jaillit rapidement une forme plus ou moins définie, forme qui se détache de l’ensemble des corps pour entamer un itinéraire qui lui est propre.
Certaines évoquent très nettement des motifs géométriques tandis que d’autres affichent des contours vagues et, pour tout dire, ectoplasmiques…Il en est hélas aussi d’inquiétants…ou des formes de visages.
Dans tous les cas, la recherche de sensations mène immanquablement à une impasse. La recherche d’une capacité ou d’un pouvoir n’est jamais que celle effrénée d’un savoir extérieur à l’être, alors que la quête de la connaissance est celle d’une retrouvaille avec une lumière intérieure.
Ce que l’on appelle la maladie est un être, ou si l’on préfère, une entité. Non pas un être comme vous et moi, mais un être qui a sa raison d’exister même s’il ne possède pas de conscience de soi. On peut aussi l’appeler « une énergie » véhiculée par l’éthérique de notre monde et qui acquiert une forme d’autonomie. Sa force prend racine dans l’Ether et se base sur celle d’un égrégore, celui formé par un individu particulier ou par l’humanité tout entière.
La « coque aurique » a un rôle de cuirasse ou de bouclier énergétique, la force de celui-ci dépend de la qualité de la vie physique d’un organisme, de son environnement, de sa nourriture, et bien sûr de sa luminosité, de son état de transparence qui n’est autre que la force engendrée par « l’ Amour ». Voilà une notion tellement « usée » qu’elle semble parfois ne plus signifier grand-chose.
L’AMOUR doit être avant tout un don INCONDITIONNEL de soi, sans émotivité, avec la tolérance, l’absence de jugement. Il est le grand épurateur de l’âme, l’eau qui lave les corps subtils, le chirurgien des tissus impalpables, l’architecte de la santé totale. Il ne faut pas en faire un état d’âme puisqu’il est UN ETAT D’ETRE.
Ce n’est pas non plus une philosophie, mais une COMPRÉHENSION PROFONDE DE LA LOI DES CHOSES.
Attention, il ne s’agit pas seulement de l’amour envers les autres et l’univers, mais aussi de l’amour envers soi. Cet amour est totalement différent de « l’amour-propre » qui pourrait en fait s’appeler « amour envers moi », c’est-à-dire envers le masque de notre personnalité temporelle. Chacun de nous est une des facettes de la grande manifestation de Vie – le Grand Tout. Chacun se doit de respecter autrui et de se respecter lui-même.
Il semble que l’humanité doive réapprendre à s’aimer c’est-à-dire à se réidentifier et à honorer son Essence, sa Divinité première. Morales et religions peuvent être totalement étrangères à ce concept. Si la pureté d’une âme conditionne la solidité et la limpidité de la trame des auras, inversement ses imperfections et ses petitesses y créent de réelles brèches par lesquelles s’engouffre l’énergie de déstabilisation que nous avons appelée « entité-maladie ».
La maîtrise de la Pensée :
Trop nombreux sont ceux d’entre les hommes qui s’imaginent qu’une pensée est tout simplement « quelque chose » de très vague, par exemple un influx dont la destination est de se perdre dans une sorte de néant. Par les notions « d’ondes » la science officielle a semble-t-il, commencé de prouver qu’il n’en est rien. Notre langage n’étant évidemment pas celui d’un physicien ou d’un biologiste, notre approche du phénomène de la pensée ne peut donc prendre que le visage d’un vécu différent.
Dès qu’une onde mentale ou une pulsion émotionnelle est émise par un être, un renflement vient à se manifester à la surface de l’une de ses coques auriques (ses corps subtils). Ce renflement qui est issu d’une force créatrice ayant généralement son siège dans les deuxième et troisième corps subtils (astral et mental) va jaillir immédiatement de ceux-ci pour adopter deux types d’itinéraires.
Le premier possible sera intérieur, la pensée se manifestera par une masse d’énergie se déplaçant en circuit fermé dans la zone des auras, polluant ou purifiant celle-ci. C’est le phénomène de l’idée fixe.
Le second sera extérieur à l’individu, la pensée donnera lieu à une puissance à part entière, douée d’une forme d’autonomie capable de voguer vers l’univers entier selon la durée et la force du souffle qui l’a émise. Cette puissance ou cette énergie est dotée d’un corps très nettement discernable à un œil exercé.
L’Etre qui pense agit donc bel et bien comme un créateur dans le monde éthérique et la forme-pensée devient aisément un « être-pensée » pour peu qu’elle soit constamment nourrie par des ondes mentales du même type qu’elle. Elle se transmue alors en créature lumineuse ou au contraire déstabilisatrice, en ne considérant bien sûr ici que ces deux cas extrêmes.
Selon le grand principe qui veut que ce qui se ressemble s’assemble, les pensées du même type convergent les unes vers les autres afin de constituer ce qu’il est convenu d’appeler « un égrégore », énorme réservoir éthérique d’énergies de nature semblable.
En d’autres termes, si vous êtes fréquemment générateur de pensées et de pulsions de colère, vous créez une sorte d’être qui, non seulement obscurcit votre avance en encombrant votre propre aura, mais encore va se joindre à l’égrégore général de la colère.
Ainsi naissent dans l’univers des énergies qui finissent par s’infiltrer au cœur de la vie de façon insidieuse ; ce sont les véritables moteurs de la violence et de la guerre et nous en sommes tous responsables.
Il existe aussi évidemment une infinité d’égrégores différents, non pas seulement pour des pensées distinctes ou des émotions, mais aussi pour des courants de pensées. A partir de là, on peut comprendre aisément que de tels réservoirs énergétiques sont capables d’influencer la vie de la planète et de l’humanité, la parasitant constamment ou au contraire la purifiant. Qui plus est, chaque être a la possibilité, consciente ou non, de puiser des forces dans le ou les égrégores en résonance avec ses propres desseins ou tendances.
Cela nous entraîne moins loin qu’on ne l’imagine des notions de santé et de maladie. En effet, nous avons pu constater que plus une pensée peut être considérée comme pure, plus sa nature amène une augmentation du rythme vibratoire des corps subtils aboutissant à une consolidation des enveloppes auriques successives.
L’inverse est évidemment vrai.
On nous répliquera bien sûr qu’il est des individus peu recommandables dont la santé est éclatante et d’autres à l’idéal élevé qui demeurent constamment souffreteux. Cela s’explique par le fait que les ultimes barrières aux disharmonies que constituent le cocon éthérique et le corps physique sont plus ou moins denses et « friables » en fonction de facteurs généralement karmiques.
Une énergie engendrée ne se perd jamais, elle retourne toujours sous une forme ou sous une autre au grand corps que représente l’humanité et à son émetteur premier, l’individu.
Cela n’induit en aucune sorte les notions de récompense ou de châtiment. Cela met simplement en relief un grand mécanisme naturel qui veut que tôt ou tard, dans une existence ou dans une autre, chacun récolte ce qu’il sème. La Nature ou la force Divine n’agit jamais arbitrairement . C’est l’homme et en général toute créature qui, en fonction de son pouvoir de décision, joue à son gré avec un immense potentiel de cartes.
De tout cela il faut retenir que chaque disharmonie de l’âme ou du corps a pris racine un jour au niveau de l’énergie de la pensée.
C’est pourquoi il est utile d’affirmer que la maîtrise de la santé totale passe nécessairement par la maîtrise de notre capacité de penser.
Une maladie est toujours une « mise au point », un réajustement de l’être profond avec lui-même. Il faut tenter de comprendre le pourquoi de la situation et ne pas rejeter le trouble.Par essence, toute obscurité porte en elle le germe de la lumière.”…
http://lsrb.e-monsite.com/blog/extraits-de-formes-pensees-anne-givaudan.html
Dernière édition par la baleine le Ven 28 Oct - 1:57, édité 11 fois
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Les Formes-Pensées par Anne Givaudan
« Commencer à s’accepter petit, c’est déjà accomplir un grand, grand pas… »
– Le voyage à Shambhalla. Ce mois-ci, nous avons choisi de vous partager un extrait du livre « Formes-pensées – Découvrir et comprendre leurs influences sur notre santé et sur notre vie » chap. 21
Anne-Givaudan#2Par Anne Givaudan
« Jusqu’à présent, j’ai essentiellement évoqué les FP (formes-pensées) qui nous épuisent, alourdissent notre avance et nous rendent malades que ce soit sur un plan physique ou psychique. Mais penserez-vous à juste titre, pourquoi passer sous silence ces formes FP de lumière qui nous entourent? Et bien parce que justement, elles ne stagnent pas dans notre aura!
Une FP qui est issue de nous et que nous avons générée par une énergie lourde, c’est à-dire de colère, de tristesse de doute, en fait de tout ce qui émane de notre ego possède une densité, un poids, une forme. Plus elle est lourde, pesante et plus elle est proche de la matière physique, plus elle est visible, plus elle est palpable Sa densité la rend telle qu’elle stagne autour de nous, après voir déchiré notre tissu aurique.
Ainsi, une FP de peur ou de colère va, au tout début de sa formation, rester autour de nous, comme une valise que de mois en mois nous allons remplir, tout en gardant les vieux vêtements qui sont déjà dedans. Un jour, la valise ne peut plus rien contenir car elle est trop pleine et de toute façon, physiquement, nous n’avons pas assez de force pour continuer à la transporter… C’est le moment du « ras le bol », « de la goutte qui fait déborder le vase » et de la maladie que l’on découvre sur notre corps physique, due à notre peu d’attention à ce que nous transportons avec nous.
La vie actuelle est telle que nous sommes pris dans un tourbillon centrifuge dont il est difficile de nos extraire. Pourtant, nous ne pouvons plus ignorer que nous sommes malades, que la Terre est malade et que, de notre passivité intérieure, naît le plus grand marasme qui soit actuellement.
Par ces FP que nous ne cessons de créer et d’entretenir, nous collaborons étroitement à ce que j’appelle « Le Gouvernement Mondial ». Il est facile de se sentir désespéré ou impuissant devant les agissements de ce Gouvernement qui utilise en nous ce qu’il y a de plus bas. L’Amour vrai cependant, se passe de nos lamentations qui ne feront jamais œuvre utile.
Combien de fois ai-je entendu : « je me sens tellement impuissant devant les faits qui sévissent sur la planète que je préfère ne pas savoir. À mon âge, je veux vivre tranquille. De toute façon, ça a toujours existé, je me suis souvent culpabilisé et cela n’a rien changé. Alors, laissez-moi tranquille avec tout ça… »
La personne qui m’a tenu ces propos est en fait proche de ce que le plus grand nombre pense. Tant que le « mal » ne nous touche pas directement, on compatit, du moment que rien ne change dans le confort douillet de nos vies occidentales.
On peut signer une pétition, envoyer des mails, participer à une manifestation ou donner quelques sous mais la guerre a-t-elle cessé au fond de nous? Nos pensées sont-elles plus claires et plus lumineuses? Ou entretenons-nous comme à l’habitude nos vieilles rancœurs et nos anciens mécanismes de protection ou de fuite? Avons-nous changé le regard que nous portons sur la vie et qui la rend telle que nous la voyons? Avons-nous décidé de cesser toute collaboration avec l’ombre qui est en nous? Continuons-nous à diviser le bon et le mauvais chemin, ceux qui sont dans la droite ligne et ceux qui sont à côté? Allons-nous juger et nous juger, punir et nous punir encore longtemps?
Sans cette volonté de transmutation intérieure, toute action se révélera une simple vanité!
À cet instant de votre lecture, j’aimerais vous offrir les paroles de l’un des enseignants de Shambhalla :
« …L’ensemble de la race humaine croit se trouver devant un labyrinthe, ne sachant pas que celui-ci est l’image illusoire de la projection des pensées. Il faut maintenant cesser de s’excentrer car il n’y a qu’un pas du soi au Soi, un pas que nous empêche de franchir notre seul ego. L’âme a le visage de cet ego. L’âme a vécu ce qu’elle devait vivre, il vous faut enfin la laver et la dissoudre dans l’Esprit dont elle procède… Vos connaissances ne vous serviront à rien ou si peu… Qui a jamais vu une encyclopédie se feuilleter elle-même?… Prendre un stylo, enfoncer un clou, préparer un repas, sont les gestes quotidiens des hommes. Si pour vous ils sont insignifiants, ils sont aussi l’aveu de votre égarement. Qu’ils deviennent vos prières de vie et vos demeurerez au centre de vous-même… La matière est votre tremplin… Aimez sans commune mesure, aimez comme l’Amour lui-même. »
Une FP lumineuse, de joie, d‘Amour pur, sans séparativité, est d’une extrême subtilité. Je me suis souvent trouvée lors de mes voyages, que ce soit sur les plans physiques ou plus subtils, face à de grands êtres desquels émane une aura porteuse d’une indicible énergie de Vie. Cette aura qui part du chakra du cœur mais aussi de tous les atomes de vie de l’Être qui aime, inonde souvent de sa lumière toute une région. Elle entoure chacun d’une énergie si fine et tellement aimante que nous sommes aimantés par la présence de ces êtres qui nous apportent une nourriture inégalée. À travers l’exemple qui suit, nous allons assister au parcours d’une pensée pure (c’est-à-dire non entachée par le jugement) qui jaillit de notre être avec force et répétitivité chez celui que pourrait être chacun de nous.
STEVE – « La mesure de l’amour, c’est d’aimer sans mesure. » St-Augustin
Steve est un jeune anglais venu faire ses études en France. À Paris plus précisément. Depuis quelques mois il est très amoureux d’une jeune fille qui, malheureusement pour lui, continue son université dans une région du Sud de la France. Il ne peut la rejoindre que certains week-ends car il n’est pas bien riche. Qu’à cela ne tienne, l’auto-stop est aussi une bonne solution.
Lorsque Steve n’est pas près de Maggie, il en rêve et souvent pendant ses cours, son regard flotte vers un univers bien terrestre mais trop loin à son gré. Cette passion est tellement forte que Steve envoie des messages télépathiques remplis d’amour à Maggie qui de son côté sent naître en elle un Amour grand et fort. Le soir, il met une musique dans sa chambre d’étudiant, une musique commune à eux deux, qu’elle écoute aussi et qui les rapproche Pendant ce temps, sur d’autres plans, des FP s’envolent, messagères d’Amour et de joie, porteuses de futures retrouvailles.
Lorsque Steve pense tellement fort à Maggie qu’il sent tout son corps envahi par elle, ce n’est pas simplement du désir. Il n’attend rien en retour et il sait que même si Maggie ne l‘aimait pas, il continuerait à l’aimer. C’est en tout cas ce qu’il pense profondément et sincèrement à ce moment-là.
Durant toute cette époque, les FP qui s’échappent de lui sont d’une telle substance de lumière, qu’elles traversent tous les corps et toutes les auras protectrices de Steve sans qu’aucune n’en soit abîmée. Bien au contraire, ces FP sur leur passage renforcent et illuminent les auras du jeune homme à tel point, que même ceux qui ne le connaissent pas le sentent heureux, intouchable et lisent autour de lui l’Amour qui l’habite. C’est ainsi que pendant toute cette période, les auras de Steve vont connaître une expansion et une force inégalées qui seront ses meilleurs protections contre tout ce qui pourrait lui arriver.
Curieusement, le jeune étudiant se sent en pleine forme, même s’il travaille tard le soir, pour récupérer des ses week-ends avec Maggie. Il n’a plus de rhume, ni d’autres désagréments et se sent au mieux de ses capacités tandis que le monde change autour de lui.
Pour ce jeune Anglais, de la campagne qui trouvait Paris et surtout son quartier un peu sale, très bruyant et trop loin de la fac, tout semble différent. Paris est maintenant à ses yeux, une ville de tous les possibles. Dans son quartier, les gens lui sourient et sont devenus tout à coup aimables, même le bruit ne semble plus avoir d’existence ou si peu. Les camions poubelles et le nettoyage qui rythmaient son réveil matinal sont toujours les mêmes mais depuis un certain temps, Steve les aime comme faisant partie intégrante de a vie de son quartier. En fait, il aime tout et tout le monde et répand le sourire et l’envie d’aimer autour de lui.
En effet, les FP lumineuses sont, elles aussi, contagieuses. Si dans le cas de Simon, les FP tendaient leurs têtes chercheuses à l’affût d’une faille où pénétrer, les FP de Steve balaient tout le sombre autour d’elles et répandent une énergie porteuse de Joie. Elles touchent ainsi d’une caresse enveloppante tous ceux qui y sont accessibles. Si nous pouvions voir sur un plan subtil le ballet qui se danse autour du jeune homme lorsqu’il se promène dans la rue, nous verrions des rubans lumineux qui sans discriminations, caressent tous ceux qui passent près de lui.
Une dame âgée le croise sur le trottoir. Elle est en habits de deuil car elle vient de perdre son unique enfant d’un accident de voiture. Enveloppée de noir au physique comme au subtil, elle est absorbée dans ses pensées et sans voir le jeune étudiant, elle regarde le trottoir en faisant attention à ses pas qui semblent peu assurés. Elle pense que son fils n’a pas eu de chance et que, peut-être, elle ne lui a pas assez dit qu’elle l’aimait. Il ne la voyait plus beaucoup ces derniers temps… Elle aurait bien aimé le revoir au moins une fois. Maintenant, elle est bien seule.
Les tristes pensées tourbillonnent autour d’elle, amenuisant plus encore la coque protectrice de ses auras lorsque, tout à coup, une longue flamme couleur de l’Amour l’entoure de ses couleurs rose, azur et or. Le long ruban s’arrête un instant, comme devant un mur, mais sans se lasser et en l’espace d’un éclair, il tourne, virevolte et se fraye un passage à travers les jeunes FP sombres qui évoluent autour de la vielle dame. Un moment après, celle-ci s’arrête et fait mine de fouiller dans son petite sac à main, noir lui aussi.
Et si elle s’arrêtait pour prendre un thé dans ce salon qu’elle aime bien? Cette idée, qu’elle vient tout juste d’avoir, la détend un peu et lui plaît. Assise dans le salon de thé douillet, elle sort de son sac posé sur ses genoux, des photos, des photos d’un bonheur enfui mais qui cette fois ne la rend pas nostalgique.
En elle monte un chant de grâce, léger et subtil. C’est celui d’un remerciement pour tout ce qui s’est passé de beau et de bien dans sa vie. Pour tout l’Amour qu’elle a reçu et qu’elle a donné…
« C’est déjà si beau d’avoir pu vivre tout ça! » se console-t-elle intérieurement devant un brownie au chocolat et un thé au jasmin qui lui réchauffent le cœur.
Steve et la vieille dame ne se connaissent pas et ne se rencontreront sans doute jamais, pourtant entre eux, il y a un lien, si lumineux et si solide, qu’il perdurera au-delà de l’espace et du temps : celui d’un instant d’Amour et de Bonheur.
Pendant ce temps, l’énergie radieuse de ces FP s’envolent pour nourrir l’égrégore de l’Amour et lorsqu’à des milliers de kilomètres de là, Tchang voudra enfreindre les règlements familiaux et épouser celle que son cœur aime vraiment c’est là qu’il puisera la force d’agir.
Tchang est d’une grande famille asiatique qui est riche et connue. La mésalliance est quelque chose d’impensable chez elle. On ne se marie qu’avec quelqu’un de même rang et de même race. La tradition le veut ainsi et toutes les révolutions n’y changeront rien. Tchang seconde son père dans son entreprise mais c’est un jeune homme doux et surtout il est très amoureux. L’obstacle n’est pas pour lui d’être amoureux, mais que la jeune fille qu’il aime soit européenne et sans titre, ni richesse. Voilà le « problème » avec lequel il se débat depuis des mois.
Qu’à cela ne tienne, aujourd’hui Tchang se sent assez de force et de courage pour affronter ses parents. Il sait déjà que son père, sous le coup de la colère, va menacer de le déshériter et que sa mère ne voudra plus le voir. Mais aujourd’hui, rien ne peut l’arrêter. Il est sûr de son amour et de celui de cette jeune fille qui l’aime. Qu’importe, il travaillera à l’usine, s’il le faut, mais il ira jusqu’au bout, non pas de son désir mais de son amour.
La seule chose qu’il sait, c’est que tout est possible, et ainsi, il puise inconsciemment l’énergie dont il a besoin dans l’égrégore qui lui donnera la force de concrétiser son objectif : celui de l’Amour.
Contrairement aux FP d’ombre, les FP de lumière ne stagnent pas dans une aura. Elles sont si volatiles, si légères et si actives qu’elles remplissent son créateur d’une immense aura de bonheur. Leur peu de consistance « physique » ou de densité, les rendent non pas fragiles, ni vulnérables, mais au contraire exemptes de toute manipulation. C’est là toute leur puissance. Elles ne peuvent jamais être phagocytées par la non-lumière.
En fait, c’est un peu comme si nous voulions nous brancher sur les différentes fréquences d’une radio. Nous pouvons capter l’une ou l’autre des émissions et lorsque des émissions se chevauchent, nous n’obtenons qu’un brouhaha inaudible.
Les FP quant à elles, fonctionnent analogiquement. Leurs densités sont différentes et elles ne voyagent pas toutes sur la même fréquence. Elles ne sont donc atteintes que par des énergies qui se déplacent sur une « fréquence vibratoire » analogue à la leur. Une FP de Lumière ne peut être manipulée. Par contre, lorsqu’elle rencontre une FP à fréquence lente, comme celles émises par la vieille dame en deuil, elle permet la Transmutation.
Je sais que pour un scientifique les mots que j’emploie peuvent paraître inadéquats. Il est pourtant essentiel de ne pas s’en tenir au vêtement extérieur de mon explication mais d’en pénétrer l’Essence.
Tout au début de nos expériences hors du corps, avec Daniel Meurois, nous donnions l’une de nos premières conférences dans une petite salle proche de l’université de Lille. Il y avait donc des étudiants et des professeurs dans l’auditoire. Le voyage astral était un domaine dont personne ne parlait publiquement en 1971. Nous étions donc au milieu de nos explications lorsqu’un homme se leva pour prendre la parole. Son intervention fut la suivante :
« Vous dites que vous faites ces expériences à deux, j’en déduis que vous êtes des escrocs. Je fais des recherches dans ces domaines et personne jusqu’à présent n’a pu le faire à deux. Je suis professeur et je ne peux vous croire. »
Une autre personne se leva et sortit, clamant d’une voix très audible que nous étions des êtres « dangereux ».
Quant à nous, nous étions assis et heureusement! Ce n’était même pas notre expérience de sortie hors du corps que cet homme mettait en doute, ce qui aurait pu paraître plus logique. Non, toute sa contre argumentation tenait dans le fait que nous étions deux… j’étais atterrée et déjà très impressionnée d’avoir un petit public. J’aurais donné beaucoup, à ce moment-là, pour ne pas être là. Pas un instant l’intervenant n’avait eu l’idée de se remettre en cause, ni de se demander, si après tout ce que nous disions valait d’être regardé de plus près.
Malhabile, je ne savais que répondre et mes réparties, d’habitude à propos, semblaient m’avoir totalement abandonnée. Intérieurement, j’étais comme un poisson hors de l’eau. Extérieurement, ça ne se percevait pas. Moi qui n’avais déjà aucune envie de partager mes expériences en public, sachant combien je pouvais à l’époque m’attirer de remarques désobligeantes, je me voyais traitée « d’escroc » et de « menteuse ». Ce jour-là, mon orgueil a été touché jusqu’à ce que je me persuade que je n’avais rien à prouver. Je décidai après cela, de faire comme une journaliste, de témoigner simplement de ce que je vivais, sans penser que le monde entier doive me croire. J’acquis ainsi une plus grande sérénité.
Les FP de Lumière, aussi légère et subtiles soient-elles, ont cependant une forme et une action très concrète.
Lorsque nous regardons l’aura d’une personne qui prie ou qui médite, pour un objectif précis, nous voyons une très belle lumière autour de la personne en question et des formes géométriques, qui s’envolent pour atteindre leur destination.
Pour être plus précise : si nous pensons à une personne qui a besoin de notre aide, un enfant qui va passer un examen ou à une amie malade, une FP va s’envoler de nous, porteuse de notre énergie d’Amour. Arrivée à destination elle balaiera selon sa force et sa précision, les FP qui sont générées par la peur ou la tristesse des receveurs. Si les FP que nous envoyons sont pures, c’est-à-dire dénuées de marchandage, si elles sont envoyées non pour jouer les sauveurs mais dans un acte d’Amour, si elles sont précises et répétées, elles ont toutes les chances de dissoudre les FP d’ombre qui traînent autour de leurs destinataires.
Ainsi l’enfant retrouvera en lui sa confiance initiale et l’amie malade se sentira plus calme pour traverser ce qu’elle vit à cet instant.
Une FP, de Lumière et d’Amour, ne peut faire le chemin à la place de celui ou celle à qui elle est destinée.Personne ne fera jamais le chemin à notre place et c’est juste ainsi. Le rôle des FP est de nous faire retrouver notre Essence et de nous permettre de réveiller en nous la mémoire du grand Soleil qui ne nous a jamais quittés.
Nous n’avons rien à attendre de ce qui est extérieur à nous puisque tout est déjà en nous. L’Amour ne peut être et ne sera jamais offert en partage car il est là, partout autour de nous… Nous l’avons simplement oublié. À nous de lever les voiles qui recouvrent notre regard, ce regard que nous croyons porter si loin et qui n’a pas encore fait son premier pas.
Je lisais récemment une note sur les derviches tourneurs qui disait en substance que certains ordres sufis ont maîtrisé la danse-spirale.
« Par la répétition de ce mouvement sacré, ils parviennent aux plus hauts niveaux de conscience. Ces derviches peuvent voyager au centre de la spirale et en rapporter la puissance magique de leur choix. Dans cet état, le derviche pénètre le Grand Silence et entre en communication avec le Créateur. Par tours et détours, le derviche attire et repousse certaines énergies… »
Cela m’a précisément ramenée à une danse où des derviches tournaient inlassablement. Je ne sais s’il s’agissait de ceux cités par le texte, mais je me souviens d’avoir vu, durant toute cette danse, des énergies et des masses sombres qui stagnaient dans l’Ether du lieu et qui au fur et à mesure du tournoiement semblaient balayées puis dissoutes jusqu’à ce qu’il ne reste plus que de la Lumière autour des danseurs.
Je ne sais pas si ces masses sombres sont revenues par la suite ou si l’alchimie en action à cet instant les a définitivement transformées. Cependant, une lumière qui s’amplifiait, tournoyait dans la sphère de chaque danseur jusqu’à ce que tout à coup une seule énergie jaillisse, telle une gerbe de lumière, au centre de leur groupe, les unifiant en un seul Être. »
http://www.eveiletsante.fr/formes-pensees-anne-givaudan/
Re: Anne Givaudan: les "Formes-Pensées" (racines, éventail) et les manchots à cinq sens; Brassens et "La mauvaise réputation"
Suite sur ce fil après ce titre
et cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t244-anne-givaudan-les-formes-pensees-racines-eventail-et-les-manchots-a-cinq-sens-brassens-et-la-mauvaise-reputation#8199
2.
Soit, par le phénomène des projections-résonances, sans m'en avertir - ou par allusions pouvant générer fantasme, construction scénarique du pire voire obnubilation -, à tort ou à raison, ils se sentiront plus ou moins directement concernés et mettront en oeuvre non pas communication consciente via pratique partagée sur base des références déposées sur ce site mais, sans le moindre recul / dans l'immédiateté, pour auto-justification: vengeance directe ou indirecte.
À cette heure, suite de l' état d'avancement du travail
https://resonances.forumactif.com/t244-anne-givaudan-les-formes-pensees-racines-eventail-et-les-manchots-a-cinq-sens-brassens-et-la-mauvaise-reputation#8281
toujours en cours sur le huitième rêve
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8309
me paraît voir s' éloigner interprétation littérale du texte de rêve - où apparaîtrait, à l'évidence, que le rêveur emprunte au "réel" certains matériaux du temps de veille pour parler d'un sujet inconscient - ses enjeux singuliers - concernant une "toute autre scène".
<
Toute autre ?
>
Ceci demanderait sans doute à être nuancé et qui est prématuré pour l'instant: comme en musique pour des "harmoniques du son", le terme "résonance" indique un phénomène de ressemblance mais non de parfaite identité entre deux sujets ou "sons fondamentaux":
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Harmonique_(musique)
ANNE GIVAUDAN ET LES BÊLEURS INCULTES DES TEXTES SACRÉS PRIS AU PREMIER DEGRÉ
et cette adresse
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2.
Soit, par le phénomène des projections-résonances, sans m'en avertir - ou par allusions pouvant générer fantasme, construction scénarique du pire voire obnubilation -, à tort ou à raison, ils se sentiront plus ou moins directement concernés et mettront en oeuvre non pas communication consciente via pratique partagée sur base des références déposées sur ce site mais, sans le moindre recul / dans l'immédiateté, pour auto-justification: vengeance directe ou indirecte.
À cette heure, suite de l' état d'avancement du travail
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toujours en cours sur le huitième rêve
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8309
me paraît voir s' éloigner interprétation littérale du texte de rêve - où apparaîtrait, à l'évidence, que le rêveur emprunte au "réel" certains matériaux du temps de veille pour parler d'un sujet inconscient - ses enjeux singuliers - concernant une "toute autre scène".
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Toute autre ?
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Ceci demanderait sans doute à être nuancé et qui est prématuré pour l'instant: comme en musique pour des "harmoniques du son", le terme "résonance" indique un phénomène de ressemblance mais non de parfaite identité entre deux sujets ou "sons fondamentaux":
Lorsque l’on parle de fréquence fondamentale, on parle de la fréquence du premier harmonique du son considéré, que l’on désigne comme harmonique 1 ou harmonique fondamental. La note que l’on perçoit correspond à cet harmonique, même s'il est absent du spectre sonore. Certains sons peuvent cependant tromper l’oreille, un harmonique aigu pouvant s’entendre plus que la fondamentale et la cacher.
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En regardant attentivement le tableau des fréquences de notes ci-dessous, les musiciens trouveront une correspondance entre les fréquences harmoniques d’une note et les notes qui s’accordent harmonieusement avec la fondamentale. On sait par exemple que pour la note do, les notes constituant des intervalles naturels avec elle sont mi (la tierce), sol (la quinte), si (la septième), do (l’octave), ré (la neuvième), etc.
Les harmoniques naturels d’une note sont donnés par les fréquences multiples de la fondamentale.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Harmonique_(musique)
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