5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
Dire ce que l'on vit, vivre ce que l'on dit :: II. Histoire collective, travail d'idée et plateforme d'échanges inter-obédiences / interdisciplinaires :: 3. Je pense
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Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
MAGIQUE RETENUE
21.10.2016
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En contexte (à 10:00):
Le chef d'orchestre ou Compositeur est la Source, elle nous comme unique sa ferveur - chaque musicien est une extension de sa Conscience Unique, pour harmoniser les diversités de musiciens, instruments et timbres instrumentaux, de nombreuses répétitions ont été nécessaires.
Le sujet est un drame - Pelleas et Melisande ou la séparation des âmes jumelles
22.10.2016
06:01:00
http://rapsody.unblog.fr/2012/03/10/4-eveil-des-ames-jumelles/
<
Je lis:
D'un blog au départ cheminant de la parole-écriture vers le "roman" nullement enjolivé, j'imagine, au point d'arrivée, il s' agit d'une auteure ayant pu "témoigner", comme tu dis ?
>
Peut-être, sans doute, j'imagine également. Pourtant, dans la vidéo précédente, combien me parle la beauté des images et l'effusion musicale. J'aimerais la questionner sur le mystère de la beauté des femmes chez ce peintre-musicien.
<
Est fait état d'éveil d'un "corps d' énergie" - une danse des cellules sur la musique d'un Compositeur ? Sur ce forum d'une baleine ayant échouée en blog, j'ai pensé à l'épisode de la chanson de Léonard Cohen.
>
La musique tournoyante des sphères est ici une valse lente-triste-et-joyeuse - un peu moins rapide qu'allegretto.
<
"Allegro molto moderato"
>
D'accord, disons que j'ai écarté d'emblée les versions les plus rapides et que l'effusion de lumière, dans cette musique, me transperce le coeur
7:34
<
Elle dit "scission" des âmes et non "séparation".
>
Peut-être pour ça qu'elles doivent se tenir à carreau: distance nécessaire pour, des abysses, faire ressurgir souvenance de l' élégiaque et transcendante beauté et bonté de ce monde qui vient.
22:01
20:28:51
<
La version du peintre-compositeur est répétée en boucle - tournée est faite des différents tableaux et la pièce, allègre, sert de tapisserie musicale reproduisant mécaniquement un "motif" qui est resservi ? trois fois. Tandis que contextualisée dans la globalité de la "suite pour orchestre", je découvre en effet une version plus lente - surtout vers la fin, peut-être requise par une indication dans la partition ?
>
Identiquement sur ce site, je me souviens d'un Brahms où la version la plus lente que j'avais trouvé avait gagné ma préférence. Je disais qu'Alain Volondat l'avait soutenu jusqu'à la limite du soutenable - c'était du moins mon souvenir non-étayé des faits (je n'ai pu retrouver cet enregistrement et comparer avec repères métronomiques). Compositeur ou chef d'orchestre, je tenterais l'expérience, en tout cas.
<
C'est comme si tu disais que trop vite conduit à une mécanique qui tourne en rond, et qu' inversément, intensité-ferveur pourrait être générée par une vitesse contenue ?
>
Grâce et légèreté me paraît plus difficile à défendre vers le lent - pour cet effet, vite est facile -, mon impression pour la version hors contexte est nettement que cette pièce est jouée trop vite. C'est magnifique, bien sûr - magne y fit que... -, mais pour moi désirant la magique retenue, en comparaison de ce que j'imagine, produisant une lumière ou beauté un peu clinquante et superficielle - bâclée.
En réalité, le titre ayant émergé pour cette partie ne désigne pas ici restrictivement la pièce de "musique" conventionnellement définie comme telle, mais essentiellement, ma recherche d'appropriation de textes - rêves et autres. Jusqu'à la méthodologie que j'ai développé et, concernant cet enjeu d'intégration, qui propose une solution pratique pour la compréhension basique d'une syntaxe et pour la mémorisation des partitions les plus complexes.
Concernant l'objectif de ce site aboutissant à la pratique de cette voie des WM, je me dis aussi qu'une part de moi aurait désiré vitesse et efficacité contre "mon tempo" - où, paradoxe: trop vite rajoute des matériaux alors que plus lent nous aurait conduit vers l'économie et m'aurait fait gagner du temps.
<
Mais ton projet n'était pas de jouer seul, au départ ?
>
Ailleurs, des acteurs m'ont imposé leur fonctionnement et d'autres, ici, se sont désistés.
<
D'où ce sentiment mélangé - triste et joyeux ?
>
Peut-être, oui.
21.10.2016
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En contexte (à 10:00):
Le chef d'orchestre ou Compositeur est la Source, elle nous comme unique sa ferveur - chaque musicien est une extension de sa Conscience Unique, pour harmoniser les diversités de musiciens, instruments et timbres instrumentaux, de nombreuses répétitions ont été nécessaires.
Le sujet est un drame - Pelleas et Melisande ou la séparation des âmes jumelles
22.10.2016
06:01:00
http://rapsody.unblog.fr/2012/03/10/4-eveil-des-ames-jumelles/
<
Je lis:
Juin 2016 : Le livre est disponible ici : TRANSMUTATION
D'un blog au départ cheminant de la parole-écriture vers le "roman" nullement enjolivé, j'imagine, au point d'arrivée, il s' agit d'une auteure ayant pu "témoigner", comme tu dis ?
>
Peut-être, sans doute, j'imagine également. Pourtant, dans la vidéo précédente, combien me parle la beauté des images et l'effusion musicale. J'aimerais la questionner sur le mystère de la beauté des femmes chez ce peintre-musicien.
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Est fait état d'éveil d'un "corps d' énergie" - une danse des cellules sur la musique d'un Compositeur ? Sur ce forum d'une baleine ayant échouée en blog, j'ai pensé à l'épisode de la chanson de Léonard Cohen.
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La musique tournoyante des sphères est ici une valse lente-triste-et-joyeuse - un peu moins rapide qu'allegretto.
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"Allegro molto moderato"
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D'accord, disons que j'ai écarté d'emblée les versions les plus rapides et que l'effusion de lumière, dans cette musique, me transperce le coeur
7:34
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Elle dit "scission" des âmes et non "séparation".
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Peut-être pour ça qu'elles doivent se tenir à carreau: distance nécessaire pour, des abysses, faire ressurgir souvenance de l' élégiaque et transcendante beauté et bonté de ce monde qui vient.
22:01
20:28:51
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La version du peintre-compositeur est répétée en boucle - tournée est faite des différents tableaux et la pièce, allègre, sert de tapisserie musicale reproduisant mécaniquement un "motif" qui est resservi ? trois fois. Tandis que contextualisée dans la globalité de la "suite pour orchestre", je découvre en effet une version plus lente - surtout vers la fin, peut-être requise par une indication dans la partition ?
>
Identiquement sur ce site, je me souviens d'un Brahms où la version la plus lente que j'avais trouvé avait gagné ma préférence. Je disais qu'Alain Volondat l'avait soutenu jusqu'à la limite du soutenable - c'était du moins mon souvenir non-étayé des faits (je n'ai pu retrouver cet enregistrement et comparer avec repères métronomiques). Compositeur ou chef d'orchestre, je tenterais l'expérience, en tout cas.
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C'est comme si tu disais que trop vite conduit à une mécanique qui tourne en rond, et qu' inversément, intensité-ferveur pourrait être générée par une vitesse contenue ?
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Grâce et légèreté me paraît plus difficile à défendre vers le lent - pour cet effet, vite est facile -, mon impression pour la version hors contexte est nettement que cette pièce est jouée trop vite. C'est magnifique, bien sûr - magne y fit que... -, mais pour moi désirant la magique retenue, en comparaison de ce que j'imagine, produisant une lumière ou beauté un peu clinquante et superficielle - bâclée.
En réalité, le titre ayant émergé pour cette partie ne désigne pas ici restrictivement la pièce de "musique" conventionnellement définie comme telle, mais essentiellement, ma recherche d'appropriation de textes - rêves et autres. Jusqu'à la méthodologie que j'ai développé et, concernant cet enjeu d'intégration, qui propose une solution pratique pour la compréhension basique d'une syntaxe et pour la mémorisation des partitions les plus complexes.
Concernant l'objectif de ce site aboutissant à la pratique de cette voie des WM, je me dis aussi qu'une part de moi aurait désiré vitesse et efficacité contre "mon tempo" - où, paradoxe: trop vite rajoute des matériaux alors que plus lent nous aurait conduit vers l'économie et m'aurait fait gagner du temps.
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Mais ton projet n'était pas de jouer seul, au départ ?
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Ailleurs, des acteurs m'ont imposé leur fonctionnement et d'autres, ici, se sont désistés.
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D'où ce sentiment mélangé - triste et joyeux ?
>
Peut-être, oui.
Dernière édition par la baleine le Jeu 24 Nov - 0:54, édité 42 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
23.10.2016
08:49:34
La musique reste présente - telle une clé - ramassant dans le champ du sensible (rs) tout ce que je peux comprendre et pressentir de ce qui aurait été déposé sur ce site en contexte.
Le texte à l'adresse sur les âmes jumelles me paraît d'une exceptionnelle clarté - jusqu'à présent, je dois dire, en dépit d'une histoire déroulée sur les sites Centreaide et Eveil qui m'avait conduit au seuil de cette découverte, je n'avais à peu près rien compris de ce que j'avais lu là-bas, sachant pourtant que je devrais y retourner.
<
Comment tenir ensemble les données éparses de perception d'une unité sous-jacente et, en sa mémoire vive, bénéficier de l'énergie générée par l'âme se reconnaissant elle-même et étant reconnue par d'autres si le texte comprend des lettres ou des notes trop distendues, éloignées ? Cette auteure a "rapproché des lettres", pourrait-on dire, lui permettant cette re-connaissance - et à nous la lisant aujourd'hui.
Sans nous étendre pour le moment sur le contenu de ce texte, pouvons-nous creuser sur l'enjeu d'écriture ?
>
D'accord.
24.10.2016
09:48:18
J'en ai déjà parlé et plus près d'un essentiel que ce que je viens d'effacer. Je crois que la réponse à cette question est reprise dans le rêve 8 et le texte qui l'a précédé. Il y a "d'autre part" une liste de lecture à associer avec un "faiseur d'ailes" à cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t243p112-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8280
08:49:34
La musique reste présente - telle une clé - ramassant dans le champ du sensible (rs) tout ce que je peux comprendre et pressentir de ce qui aurait été déposé sur ce site en contexte.
Le texte à l'adresse sur les âmes jumelles me paraît d'une exceptionnelle clarté - jusqu'à présent, je dois dire, en dépit d'une histoire déroulée sur les sites Centreaide et Eveil qui m'avait conduit au seuil de cette découverte, je n'avais à peu près rien compris de ce que j'avais lu là-bas, sachant pourtant que je devrais y retourner.
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Comment tenir ensemble les données éparses de perception d'une unité sous-jacente et, en sa mémoire vive, bénéficier de l'énergie générée par l'âme se reconnaissant elle-même et étant reconnue par d'autres si le texte comprend des lettres ou des notes trop distendues, éloignées ? Cette auteure a "rapproché des lettres", pourrait-on dire, lui permettant cette re-connaissance - et à nous la lisant aujourd'hui.
Sans nous étendre pour le moment sur le contenu de ce texte, pouvons-nous creuser sur l'enjeu d'écriture ?
>
D'accord.
24.10.2016
09:48:18
J'en ai déjà parlé et plus près d'un essentiel que ce que je viens d'effacer. Je crois que la réponse à cette question est reprise dans le rêve 8 et le texte qui l'a précédé. Il y a "d'autre part" une liste de lecture à associer avec un "faiseur d'ailes" à cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t243p112-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8280
Dernière édition par la baleine le Lun 26 Déc - 7:19, édité 16 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
À cette heure, suite de l' état d'avancement du travail (...) toujours en cours sur le huitième rêve
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8309
me paraît voir s' éloigner interprétation littérale du texte de rêve - où apparaîtrait, à l'évidence, que le rêveur emprunte au "réel" certains matériaux du temps de veille pour parler d'un sujet inconscient - ses enjeux singuliers - concernant une "toute autre scène".
<
Toute autre ?
>
Ceci demanderait sans doute à être nuancé et qui est prématuré pour l'instant: comme en musique pour des "harmoniques du son", le terme "résonance" indique, un phénomène de ressemblance mais non de parfaite identité entre deux sujets ou "sons fondamentaux"
Lorsque l’on parle de fréquence fondamentale, on parle de la fréquence du premier harmonique du son considéré, que l’on désigne comme harmonique 1 ou harmonique fondamental. La note que l’on perçoit correspond à cet harmonique, même s'il est absent du spectre sonore. Certains sons peuvent cependant tromper l’oreille, un harmonique aigu pouvant s’entendre plus que la fondamentale et la cacher.
En regardant attentivement le tableau des fréquences de notes ci-dessous, les musiciens trouveront une correspondance entre les fréquences harmoniques d’une note et les notes qui s’accordent harmonieusement avec la fondamentale. On sait par exemple que pour la note do, les notes constituant des intervalles naturels avec elle sont mi (la tierce), sol (la quinte), si (la septième), do (l’octave), ré (la neuvième), etc.
Les harmoniques naturels d’une note sont donnés par les fréquences multiples de la fondamentale.
Source:
https://resonances.forumactif.com/t244-anne-givaudan-les-formes-pensees-racines-eventail-et-les-manchots-a-cinq-sens-brassens-et-la-mauvaise-reputation#8344
Dernière édition par la baleine le Dim 30 Oct - 21:00, édité 1 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
la baleine
>
(...) Pourquoi ai-je eu besoin de reprendre le détail des variations du thème (musical) sinon pour voir apparaître enfin l'évidence "par recoupements" et, ce faisant, prendre acte que la lenteur extrême de ma soumission reconnaissante au verbe ayant pu apparaître comme tergiversations m'était indispensable / indices pensables. Ce n'est pas le moment de faire le bilan de ce que j'ai nommé en cette section "travail d'idée" mais je sais, à ce temps de ce travail, que qq ch d'important a bougé, s' est mis en place - je ne pense plus de la même manière.
(...) Cette préface se rapproche du texte des WM précédant le rêve, pour moi, en ce que cette multiplicité d'applications de "l'esprit du zen" (tir à l'arc, art floral, cérémonie du thé, etc.) démontre une spiritualité qui s' incarne dans la matérialité, dans l'espace-temps.
Source:
https://resonances.forumactif.com/t245p14-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8343
Dernière édition par la baleine le Mer 16 Nov - 6:34, édité 2 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
<
En quoi comment cette manière différente de penser ?
>
Lors de ma fréquentation du site aurobindien, je ne pouvais concevoir un Dieu bon qui aurait implanté le désir en l'humain et, à ceux qui voudraient être utiles et donc le servir (??? et pourquoi comment un tel Dieu retenant sa puissance sur cette terre de douleur ?), simultanément, leur demander de combattre, contrarier cette racine de la vie.
M'énervait aussi au plus haut point cette insistance presque obsessionnelle, dans ce yoga, sur le risque de détournement d'un travail effectif sur les plans invisibles par des "forces adverses". Je trouvais dans tout cela répétition du dualisme platonicien ayant diabolisé le corps, dans notre culture helleno-chrétienne, ce qui était finalement, pour moi pratiquant alors la méditation hesychaste, un renforcement, une redite me rappelant douloureusement ma contradiction interne.
<
Et donc, qu'est-ce qui a changé ?
>
Je ne peux qu' être frappé de ce que les deux exemples donnés par Anne Givaudan qui décrivent l'activation des "flammes de lumière" parlent de relations d'amour contrarié: l'une par la distance géographique, l'autre par une interférence familiale. Il ne s' agit pas de "relations" banalisées par le modèle
consumériste élargi aujourd'hui à tous les aspects de la vie - auquel cas pourquoi insister, un objet est facilement remplaçable par un autre.
<
Ils sont amoureux au départ et, dans le fragment d'histoire qu' elle nous conte, ont su le rester ?
>
Un espace non-comblé les aurait-il aidé à continuer à imaginer, rêver leur non-objet d'amour - car c'est de l'amour dont ils seraient amoureux - une "joie sans objet" (titre d'un "livre" de Jean Klein).
<
Et ?
>
Par infiltration dans nos vies et sur cette planète, un autre extrait cité dans le même fil parle de l'emprise des émotions négatives: là encore, m'apparaît qu'une culture banalisant l'enfermement, le retour sur soi, encourageant l'expression et, ce faisant, déployant ces forces par vagues, trombes, ouragans grossissants via programmation reptilienne est implicitement dénoncée - cf. Anton Parks, ainsi que le phénomène
"mimétique" identifié par René Girard. Où, en contemplation des maux de l'humanité qui seraient redevables à un faisceau d'influences et en regard desquelles notre pouvoir individuel paraîtrait dérisoire, derrière les apparences de confrontation à des déterminismes colossaux se jouerait en réalité, décisif, un effet d'entraînement et d'accumulation de chaque "centrale de production et de retraitement énergétique" que constitueraient nos "organismes génétiquement modifiés".
Là où James définit un "cycle vicieux" opposable à un "cycle vertueux" -
https://resonances.forumactif.com/t218p28-5-1-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#7741
l'image de la centrale nucléaire est employée par Bernard Montaud signalant que forces centrifuge et expansive procèderaient du même potentiel destructeur et créateur de chaque individualité composant l'humanité globale.
S'ajoute à ce "tableau" / à cette "grande image", par le biais des réincarnations / recyclages des âmes, une croissance de la conscience globale de l'humanité. Où à un moment dans l'histoire des humains sur cette planète, cette force d' "entraînement" et d' "accumulation" que j'évoquais arriverait à la constitution d'une "masse critique" de conscience et d' énergie positive renversant la destinée tragique actuelle de la totalité organique conscience de Gaya + conscience globale de l' humain.
En quoi comment cette manière différente de penser ?
>
Lors de ma fréquentation du site aurobindien, je ne pouvais concevoir un Dieu bon qui aurait implanté le désir en l'humain et, à ceux qui voudraient être utiles et donc le servir (??? et pourquoi comment un tel Dieu retenant sa puissance sur cette terre de douleur ?), simultanément, leur demander de combattre, contrarier cette racine de la vie.
M'énervait aussi au plus haut point cette insistance presque obsessionnelle, dans ce yoga, sur le risque de détournement d'un travail effectif sur les plans invisibles par des "forces adverses". Je trouvais dans tout cela répétition du dualisme platonicien ayant diabolisé le corps, dans notre culture helleno-chrétienne, ce qui était finalement, pour moi pratiquant alors la méditation hesychaste, un renforcement, une redite me rappelant douloureusement ma contradiction interne.
<
Et donc, qu'est-ce qui a changé ?
>
Je ne peux qu' être frappé de ce que les deux exemples donnés par Anne Givaudan qui décrivent l'activation des "flammes de lumière" parlent de relations d'amour contrarié: l'une par la distance géographique, l'autre par une interférence familiale. Il ne s' agit pas de "relations" banalisées par le modèle
consumériste élargi aujourd'hui à tous les aspects de la vie - auquel cas pourquoi insister, un objet est facilement remplaçable par un autre.
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Ils sont amoureux au départ et, dans le fragment d'histoire qu' elle nous conte, ont su le rester ?
>
Un espace non-comblé les aurait-il aidé à continuer à imaginer, rêver leur non-objet d'amour - car c'est de l'amour dont ils seraient amoureux - une "joie sans objet" (titre d'un "livre" de Jean Klein).
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Et ?
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Par infiltration dans nos vies et sur cette planète, un autre extrait cité dans le même fil parle de l'emprise des émotions négatives: là encore, m'apparaît qu'une culture banalisant l'enfermement, le retour sur soi, encourageant l'expression et, ce faisant, déployant ces forces par vagues, trombes, ouragans grossissants via programmation reptilienne est implicitement dénoncée - cf. Anton Parks, ainsi que le phénomène
"mimétique" identifié par René Girard. Où, en contemplation des maux de l'humanité qui seraient redevables à un faisceau d'influences et en regard desquelles notre pouvoir individuel paraîtrait dérisoire, derrière les apparences de confrontation à des déterminismes colossaux se jouerait en réalité, décisif, un effet d'entraînement et d'accumulation de chaque "centrale de production et de retraitement énergétique" que constitueraient nos "organismes génétiquement modifiés".
Là où James définit un "cycle vicieux" opposable à un "cycle vertueux" -
https://resonances.forumactif.com/t218p28-5-1-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#7741
l'image de la centrale nucléaire est employée par Bernard Montaud signalant que forces centrifuge et expansive procèderaient du même potentiel destructeur et créateur de chaque individualité composant l'humanité globale.
S'ajoute à ce "tableau" / à cette "grande image", par le biais des réincarnations / recyclages des âmes, une croissance de la conscience globale de l'humanité. Où à un moment dans l'histoire des humains sur cette planète, cette force d' "entraînement" et d' "accumulation" que j'évoquais arriverait à la constitution d'une "masse critique" de conscience et d' énergie positive renversant la destinée tragique actuelle de la totalité organique conscience de Gaya + conscience globale de l' humain.
Dernière édition par la baleine le Lun 26 Déc - 0:21, édité 32 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
01.11.2016
06:51:25
suite à ce travail, un autre point de redéfinition, pour moi, s' applique à mon rapport à la tradition orthodoxe - l'église restée "orientale" après le schisme Orient-Occident et, toutefois, "enrichie" des rapports inspirés d'Annick de Souzenelle à la lettre hébraïque. En tant qu' également, à l'usure, ma relation à cette double tradition s' était révélée "mortellement" endommagée - au sens de détruire mon aspiration-dévotion-foi en une Voie praticable ici-et-maintenant dans la ligne temporelle d'un devenir positif et constructif.
<
Dirais-tu que tu te re-permettrais, aujourd'hui, d'invoquer la supposée personne historique nommée "Jésus" ou "Ye(h)shouwah" ?
>
Ce matin, je m'éveille avec la sensation nette d'une sorte de bourdonnement
dans la tête - ce sont des vibrations concrètes, perceptibles à nouveau à cet instant. Cette perception n'est pas nouvelle - elle date précisément de cette période où ces vibrations m'éveillaient la nuit - parfois encore ensommeillé, je me traînais sur un banc de méditation pour répéter en boucle la "prière du coeur".
Y aurait-il une relation de ressemblance ou d'identité à faire avec la "descente" de la "force" nommée "shakti" par Sri Aurobindo, "saint -esprit" par les méditants du Mont Athos, et avec ce descriptif d'activation de "flammes de lumière" par Anne Givaudan et James des "WingMakers" ? De Carlo Suares, on peut lire "La Bible restituée" pour imaginer un possible "nouage" entre des énergies cosmiques et nos récepteurs psycho-physiques. Ainsi, certains qabalistes lisent le nom "Jésus" comme l'insertion, dans les lettres YHWH / dans le tetragramme dit sacré, de la lettre "schin" - un souffle énergétique. Ce que j'entend comme: au même titre que la thèse de Parks contemplant ou ? défendant / s' appropriant Jésus comme une réincarnation "divine" dans la lignée égyptienne Isis-Osiris-Horus, je n'invoque pas sa personne historique - et en tout cas pas comme unique "Fils de Dieu" (et en cela confirmé par la révélation reçue par le fondateur de la religion musulmane), et pour autant que cette incarnation ait existé dans l'histoire récente telle que nous nous la représentons - mais, en amont, l'énergie christique qui l'aurait adombré.
02.11.2016
05:36:10
Ce qui précède s' appuye sur des sources divergentes et même carrément contradictoires, la référence d'une pensée critique, sinon - autant qu' il soit possible - exhaustive se situant pour moi à cette adresse:
http://eden-saga.com/autres-christs-composite-suaire-turin-baygent-nazoreen-marie-magdala-rabbi-yeshua-bar-yosef.html
Sur cette question des "preuves matérielles" (?? en quoi cela présenterait-il le moindre intérêt ?), Daniel Meurois plus que contesté, également, par ? Marie Roca au plus près d'une "trace", et je ne mettrai pas ces autres adresses.
06:51:25
https://resonances.forumactif.com/t243p126-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8299... une danse des cellules sur la musique d'un Compositeur ?
suite à ce travail, un autre point de redéfinition, pour moi, s' applique à mon rapport à la tradition orthodoxe - l'église restée "orientale" après le schisme Orient-Occident et, toutefois, "enrichie" des rapports inspirés d'Annick de Souzenelle à la lettre hébraïque. En tant qu' également, à l'usure, ma relation à cette double tradition s' était révélée "mortellement" endommagée - au sens de détruire mon aspiration-dévotion-foi en une Voie praticable ici-et-maintenant dans la ligne temporelle d'un devenir positif et constructif.
<
Dirais-tu que tu te re-permettrais, aujourd'hui, d'invoquer la supposée personne historique nommée "Jésus" ou "Ye(h)shouwah" ?
>
Ce matin, je m'éveille avec la sensation nette d'une sorte de bourdonnement
dans la tête - ce sont des vibrations concrètes, perceptibles à nouveau à cet instant. Cette perception n'est pas nouvelle - elle date précisément de cette période où ces vibrations m'éveillaient la nuit - parfois encore ensommeillé, je me traînais sur un banc de méditation pour répéter en boucle la "prière du coeur".
Y aurait-il une relation de ressemblance ou d'identité à faire avec la "descente" de la "force" nommée "shakti" par Sri Aurobindo, "saint -esprit" par les méditants du Mont Athos, et avec ce descriptif d'activation de "flammes de lumière" par Anne Givaudan et James des "WingMakers" ? De Carlo Suares, on peut lire "La Bible restituée" pour imaginer un possible "nouage" entre des énergies cosmiques et nos récepteurs psycho-physiques. Ainsi, certains qabalistes lisent le nom "Jésus" comme l'insertion, dans les lettres YHWH / dans le tetragramme dit sacré, de la lettre "schin" - un souffle énergétique. Ce que j'entend comme: au même titre que la thèse de Parks contemplant ou ? défendant / s' appropriant Jésus comme une réincarnation "divine" dans la lignée égyptienne Isis-Osiris-Horus, je n'invoque pas sa personne historique - et en tout cas pas comme unique "Fils de Dieu" (et en cela confirmé par la révélation reçue par le fondateur de la religion musulmane), et pour autant que cette incarnation ait existé dans l'histoire récente telle que nous nous la représentons - mais, en amont, l'énergie christique qui l'aurait adombré.
02.11.2016
05:36:10
Ce qui précède s' appuye sur des sources divergentes et même carrément contradictoires, la référence d'une pensée critique, sinon - autant qu' il soit possible - exhaustive se situant pour moi à cette adresse:
http://eden-saga.com/autres-christs-composite-suaire-turin-baygent-nazoreen-marie-magdala-rabbi-yeshua-bar-yosef.html
Sur cette question des "preuves matérielles" (?? en quoi cela présenterait-il le moindre intérêt ?), Daniel Meurois plus que contesté, également, par ? Marie Roca au plus près d'une "trace", et je ne mettrai pas ces autres adresses.
Dernière édition par la baleine le Lun 26 Déc - 0:24, édité 12 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
02.11.2016
<
Je pensais utile de saisir au vol opportunité de ta redéfinition. De ton adresse je retiens - et qui nous reconduit au "centre de la cible" ? - ce passage:
<
Je pensais utile de saisir au vol opportunité de ta redéfinition. De ton adresse je retiens - et qui nous reconduit au "centre de la cible" ? - ce passage:
"Entre Dieu et l’homme, il n’y a pas de différence de nature.Il y a juste une différence de degré.
Cultive Dieu en Toi.
Dans les Andes va survenir un homme doux et bienveillant. Il soignera les malades, il détournera les hommes des effusions de sang. Son nom sera Tiki ou Enki. Il montrera aux gens comment se passer de leur bagnole. On n’est pas né pour être pilote, leur dira-t-il. On n’est pas au service de la bagnole. Alors les Andins renonceront à leur corps de chair. Aucun démiurge n’a fait notre âme. Incréé, tel est notre esprit. Eternelle est la lumière. Notre apparence actuelle est contingente, seule la lumière demeure."
Dernière édition par la baleine le Mer 16 Nov - 7:28, édité 2 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
Dernière édition par la baleine le Mar 8 Nov - 8:36, édité 1 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
06.11.2016
https://resonances.forumactif.com/t243p112-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8278
le danseur ne danse pas simplement pour exécuter avec son corps certains mouvements rythmés. Il faut d’abord que le mental se mette au diapason de l’Inconscient.
https://resonances.forumactif.com/t243p112-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8278
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
08.11.2016
Deux résonances physiques "négatives" (de rejet) en relisant dans la seconde version du fil à l'adresse qui précède
1. que je voulais désormais "m'arrimer au texte" (l'analyser en détail dans tous ses constituants);
2. que je ne voulais plus "courir après les listes de lecture".
06:33:29
Traduction à cette heure:
1. mise en oeuvre me mettrait en contradiction non-viable avec l'affirmation de nécessaire "discrétion" proposée dans le texte des wm;
2. je ne dois pas croire que "courir après les listes de lecture" pourrait constituer une "perte de temps".
Deux résonances physiques "négatives" (de rejet) en relisant dans la seconde version du fil à l'adresse qui précède
1. que je voulais désormais "m'arrimer au texte" (l'analyser en détail dans tous ses constituants);
2. que je ne voulais plus "courir après les listes de lecture".
06:33:29
Traduction à cette heure:
1. mise en oeuvre me mettrait en contradiction non-viable avec l'affirmation de nécessaire "discrétion" proposée dans le texte des wm;
2. je ne dois pas croire que "courir après les listes de lecture" pourrait constituer une "perte de temps".
Dernière édition par la baleine le Sam 12 Nov - 20:48, édité 1 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
Une manière différente de contraster, suspendre et conclure par relation à un territoire (sonore) de départ
http://resonances.foirumactif.com/t247-l-en-dehors-du-corps-psychique-astral-comme-appel-aspiration-a-la-vraie-lumiere#8405
09.11.2016
<
En somme, comme tu dis dans ton fil Histoire personnelle, ce "refus du corps", cette prégnance du sommeil, du rêve et cet attrait pour la "spiritualité" qui serait en liaison avec les mondes psychique(astral)-spirituel pourrait-il être une reformulation positive et constructive(, d'une part,) de ce que Freud pensait devoir définir comme "pulsion de mort" (et d'autre part comme "sublimation") ?
>
Pourquoi pas ? L'inspiration puisée dans le rêve du dormeur et de l'art.
<
Le rêve de l'art ?
>
Réécoutant la Sicilienne de Fauré, je constate qu'à nouveau, je suis mis en présence d'une forme "ABA"; qu'intervalliquement, les 3 premières notes de la partie A sont identiques au démarrage du mouvement fa min de la sonate de Beethoven; que les deux thèmes ont pour tracé général une longue ascension (comme un poisson volant, un dauphin ou une baleine remontant des profondeurs); que la partie B est dans la "tonalité relative" peu coutumière que je note "bVI" (cf. "Plan tonal à la papa"); que dans la symphonie de Mozart, ce degré sert d'approche rapprochée de la dominante afin de marquer la demi-cadence (répétition progressante du demi-ton descendant b6-5 à la basse) alors que Fauré (un genre de Gabriel (rs) faisant annonce à Marie) s' en sert donc tout d'abord comme seconde tonalité dans la partie B (et cela donc en commun également avec le Beethoven), mais finalement aussi comme accord-arpège à part entière, par analogie, jouant le rôle d'appel de l'accord terminal de tonique (en remplacement de l'habituelle dominante: enchaînement bVI - I et ceci en commun avec la conclusion d'une de mes compositions jazz ?).
L'essentiel à retenir, il me semble, pour entendre-interpréter symboliquement ce rêve musical éveillé: le degré ou la tonalité Im (I mineur) est mis en contraste avec le degré ou la tonalité bVI (bVI majeur).
12.11.2016
<
Je me laisse dériver vers une association peut-être totalement gratuite, délirante - nous verrons bien si elle nous mène quelque part.
Tu réfères à une anthropologie ternaire corps-âme-esprit comme un arbre renversé, selon une certaine qabale, ayant ses racines plantées en un ciel métaphysique non-abstrait (Azilout). Où entre un binaire / dualisme guerrier ne peut subsister qu' un monisme soit exclusivement matérialiste, soit exclusivement spiritualiste, alors que ce TERNAIRE ferait liaison entre ces oppositions en générant la multiplicité.
Ce multiple est néanmoins recherche de reconstitution du Un-non-divisé qui se réalise, donc, entre les deux opposables A-(B)-A par la partie B. Cette dernière - second triangle de l'Arbre - en diverses expressions émanant du coeur ("Tiepheret") - dont des expressions dites "artistiques" - correspondrait à l'éveil - qui peut faire une "balance", voire mieux, un mariage, une articulation féconde entre ces deux extrêmes ?
>
Où veux-tu en venir ?
11:11
<
Cet "entre-deux" se décline pour toi dans des formes variées.
>
Tu veux dire dans un langage symbolique ?
<
Voilà. Mais comme effort d' "inscription", qui peut constituer aussi un "entre-deux" t'avançant vers une "vraie" réalisation.
Alors, te demandant à cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8317
quelle relation tu voyais entre le rêve 8 et un projet d'écriture, il me semble que, pour le dégagement des significations, nous disposerions d'asser d'éléments nous permettant de rassembler des parties ?
Oui mais...
>
Une chose est de rapprocher certains éléments significatifs, une autre est de voir et de dire en quelques mots ce qui constituerait une unité porteuse de sens et de désir d'action non-duelle.
<
Disons que ce dire constituerait une prochaine étape ?
>
Ok. Je reste attaché à une approche multiple par divers "recoupements", où dans le fil "Anton...", j'aurais "oublié" quelqu'un. La vidéo qui suit me rappelle: écrire, oui mais...
http://www.supramental.fr/supramental_messages_video2.php?video=0330
http://resonances.foirumactif.com/t247-l-en-dehors-du-corps-psychique-astral-comme-appel-aspiration-a-la-vraie-lumiere#8405
09.11.2016
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En somme, comme tu dis dans ton fil Histoire personnelle, ce "refus du corps", cette prégnance du sommeil, du rêve et cet attrait pour la "spiritualité" qui serait en liaison avec les mondes psychique(astral)-spirituel pourrait-il être une reformulation positive et constructive(, d'une part,) de ce que Freud pensait devoir définir comme "pulsion de mort" (et d'autre part comme "sublimation") ?
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Pourquoi pas ? L'inspiration puisée dans le rêve du dormeur et de l'art.
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Le rêve de l'art ?
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Réécoutant la Sicilienne de Fauré, je constate qu'à nouveau, je suis mis en présence d'une forme "ABA"; qu'intervalliquement, les 3 premières notes de la partie A sont identiques au démarrage du mouvement fa min de la sonate de Beethoven; que les deux thèmes ont pour tracé général une longue ascension (comme un poisson volant, un dauphin ou une baleine remontant des profondeurs); que la partie B est dans la "tonalité relative" peu coutumière que je note "bVI" (cf. "Plan tonal à la papa"); que dans la symphonie de Mozart, ce degré sert d'approche rapprochée de la dominante afin de marquer la demi-cadence (répétition progressante du demi-ton descendant b6-5 à la basse) alors que Fauré (un genre de Gabriel (rs) faisant annonce à Marie) s' en sert donc tout d'abord comme seconde tonalité dans la partie B (et cela donc en commun également avec le Beethoven), mais finalement aussi comme accord-arpège à part entière, par analogie, jouant le rôle d'appel de l'accord terminal de tonique (en remplacement de l'habituelle dominante: enchaînement bVI - I et ceci en commun avec la conclusion d'une de mes compositions jazz ?).
L'essentiel à retenir, il me semble, pour entendre-interpréter symboliquement ce rêve musical éveillé: le degré ou la tonalité Im (I mineur) est mis en contraste avec le degré ou la tonalité bVI (bVI majeur).
12.11.2016
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Je me laisse dériver vers une association peut-être totalement gratuite, délirante - nous verrons bien si elle nous mène quelque part.
Tu réfères à une anthropologie ternaire corps-âme-esprit comme un arbre renversé, selon une certaine qabale, ayant ses racines plantées en un ciel métaphysique non-abstrait (Azilout). Où entre un binaire / dualisme guerrier ne peut subsister qu' un monisme soit exclusivement matérialiste, soit exclusivement spiritualiste, alors que ce TERNAIRE ferait liaison entre ces oppositions en générant la multiplicité.
Ce multiple est néanmoins recherche de reconstitution du Un-non-divisé qui se réalise, donc, entre les deux opposables A-(B)-A par la partie B. Cette dernière - second triangle de l'Arbre - en diverses expressions émanant du coeur ("Tiepheret") - dont des expressions dites "artistiques" - correspondrait à l'éveil - qui peut faire une "balance", voire mieux, un mariage, une articulation féconde entre ces deux extrêmes ?
>
Où veux-tu en venir ?
11:11
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Cet "entre-deux" se décline pour toi dans des formes variées.
>
Tu veux dire dans un langage symbolique ?
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Voilà. Mais comme effort d' "inscription", qui peut constituer aussi un "entre-deux" t'avançant vers une "vraie" réalisation.
Alors, te demandant à cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8317
quelle relation tu voyais entre le rêve 8 et un projet d'écriture, il me semble que, pour le dégagement des significations, nous disposerions d'asser d'éléments nous permettant de rassembler des parties ?
Oui mais...
>
Une chose est de rapprocher certains éléments significatifs, une autre est de voir et de dire en quelques mots ce qui constituerait une unité porteuse de sens et de désir d'action non-duelle.
<
Disons que ce dire constituerait une prochaine étape ?
>
Ok. Je reste attaché à une approche multiple par divers "recoupements", où dans le fil "Anton...", j'aurais "oublié" quelqu'un. La vidéo qui suit me rappelle: écrire, oui mais...
http://www.supramental.fr/supramental_messages_video2.php?video=0330
Dernière édition par la baleine le Lun 26 Déc - 0:44, édité 29 fois
Re: 5.3 WingMakers / les faiseurs d'ailes
15.11.2016
06:27:07
Un flottement caractéristique: laisser parler des images; 3:26 / "cinq mesures avant la fin au deuxième temps"
En la prenant en chemin dont me manque la globalité d'une proposition vécue et pensée, cette vidéo rencontre un essentiel où je me retrouve. D'autre part (?), pour la Sicilienne, deux choses m'apparaissent aujourd'hui.
1. Comme constituante traditionnelle de la "cadence parfaite" caractéristique du style classique, l'harmonie globale de septième de dominante précédant l'accord terminal de tonique est-elle bien absente en toutes notes dans le texte mais néanmoins suggérée ? Avec esquisse de la gamme de tons et l'allègement de cette tension que constitue dans cette harmonie l'intervalle de quarte augmentée (du temps où les différents modes étaient utilisés, "diabolus in musica"), ceci contribuerait à l'impression de flottement caractéristique du "style impressionniste".
2. J'ai peut-être compris que la résonance sonore signalée
"ramassant dans le champ du sensible (rs) "
https://resonances.forumactif.com/t243p126-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8306
ainsi que l'expression
"l'effusion de lumière, ... me transperce le coeur"
https://resonances.forumactif.com/t243p126-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8299
m'inviteraient à laisser parler des images.
<
Dans les extraits musicaux précédents que tu signales, je me rappele que tu avais ajouté à tes analyses un possible repérage temporel dans les documents videophoniques, ce qui, pour des non-spécialistes, facilitait la réception de ton commentaire. Tu parles de quelles images ?
>
Je parle des tableaux de Knopf... je voulais dire "Klimt" - un tout autre genre.
<
A cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8317
tu disais: "> J'entendrais globalement ce rêve comme orienté autour de l'enjeu : redonner âme "perdue" (refoulée, oubliée) à un corps décharné - partie C du rêve -, ce qui implique, derrière "l'arbre qui cache la forêt", de retrouver l'enfance ..."
Eva naissante
>
Sur mon minuscule "androïde" - et de plus, sans oreillette -, la version pour orchestre rendait la fondamentale de l'accord V presque inaudible - évanescente -, ce qui donnait cette impression d'enchaînement bVI-I au lieu de bVI-V7-I.
Ici, la cadence - c'est-à-dire la conclusion - se trouve mieux marquée à la basse présentée au piano.
De plus, cette fondamentale est écrite noir sur blanc - à 3:26 où, 5 mesures avant la fin au deuxième temps, chacun peut la voir, la lire, l'entendre et me confirmer (aucun doute à avoir à ce sujet):
Après réécoute, à 2:28, je trouve plus qu'une "esquisse" de la gamme de tons entiers - à une note près et avec deux barres de renvois perpétuels, le système pourrait être bouclé en une improvisation "crédible" sur ces notes mais briserait l'harmonie globale et l' équilibre des parties composant cette pièce.
La gamme de tons supprime les tensions - on flotte, on plane - et, de plus (hors contexte de cette pièce), ne permet qu'une et une seule transposition. Les "modes ecclésiastiques" - à minima, héritage de l'antiquité grecque - impliquaient par contre une grande variété de gammes mais, là aussi, une "rondeur" générée par des "sous-toniques" - ou absence de "sensibles" demandant urgemment soulagement de tensions vers le repos. Le matériau sonore de l'antiquité et du moyen-âge précédant apparition de ce "diabolus in musica" exprime donc une toute autre relation à la temporalité.
<
06:27:07
Un flottement caractéristique: laisser parler des images; 3:26 / "cinq mesures avant la fin au deuxième temps"
En la prenant en chemin dont me manque la globalité d'une proposition vécue et pensée, cette vidéo rencontre un essentiel où je me retrouve. D'autre part (?), pour la Sicilienne, deux choses m'apparaissent aujourd'hui.
1. Comme constituante traditionnelle de la "cadence parfaite" caractéristique du style classique, l'harmonie globale de septième de dominante précédant l'accord terminal de tonique est-elle bien absente en toutes notes dans le texte mais néanmoins suggérée ? Avec esquisse de la gamme de tons et l'allègement de cette tension que constitue dans cette harmonie l'intervalle de quarte augmentée (du temps où les différents modes étaient utilisés, "diabolus in musica"), ceci contribuerait à l'impression de flottement caractéristique du "style impressionniste".
2. J'ai peut-être compris que la résonance sonore signalée
"ramassant dans le champ du sensible (rs) "
https://resonances.forumactif.com/t243p126-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8306
ainsi que l'expression
"l'effusion de lumière, ... me transperce le coeur"
https://resonances.forumactif.com/t243p126-5-3-wingmakers-les-faiseurs-d-ailes#8299
m'inviteraient à laisser parler des images.
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Dans les extraits musicaux précédents que tu signales, je me rappele que tu avais ajouté à tes analyses un possible repérage temporel dans les documents videophoniques, ce qui, pour des non-spécialistes, facilitait la réception de ton commentaire. Tu parles de quelles images ?
>
Je parle des tableaux de Knopf... je voulais dire "Klimt" - un tout autre genre.
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A cette adresse
https://resonances.forumactif.com/t245-un-gros-arbre-coupe-net-coupe-de-cheveux-depourvu-d-ame#8317
tu disais: "> J'entendrais globalement ce rêve comme orienté autour de l'enjeu : redonner âme "perdue" (refoulée, oubliée) à un corps décharné - partie C du rêve -, ce qui implique, derrière "l'arbre qui cache la forêt", de retrouver l'enfance ..."
Eva naissante
>
Sur mon minuscule "androïde" - et de plus, sans oreillette -, la version pour orchestre rendait la fondamentale de l'accord V presque inaudible - évanescente -, ce qui donnait cette impression d'enchaînement bVI-I au lieu de bVI-V7-I.
Ici, la cadence - c'est-à-dire la conclusion - se trouve mieux marquée à la basse présentée au piano.
De plus, cette fondamentale est écrite noir sur blanc - à 3:26 où, 5 mesures avant la fin au deuxième temps, chacun peut la voir, la lire, l'entendre et me confirmer (aucun doute à avoir à ce sujet):
Après réécoute, à 2:28, je trouve plus qu'une "esquisse" de la gamme de tons entiers - à une note près et avec deux barres de renvois perpétuels, le système pourrait être bouclé en une improvisation "crédible" sur ces notes mais briserait l'harmonie globale et l' équilibre des parties composant cette pièce.
La gamme de tons supprime les tensions - on flotte, on plane - et, de plus (hors contexte de cette pièce), ne permet qu'une et une seule transposition. Les "modes ecclésiastiques" - à minima, héritage de l'antiquité grecque - impliquaient par contre une grande variété de gammes mais, là aussi, une "rondeur" générée par des "sous-toniques" - ou absence de "sensibles" demandant urgemment soulagement de tensions vers le repos. Le matériau sonore de l'antiquité et du moyen-âge précédant apparition de ce "diabolus in musica" exprime donc une toute autre relation à la temporalité.
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"...lorsque nous nous retirons de notre monde ce n’est que pour un court laps de temps et nous retournons sous la surface encore une fois. Mais lorsque nous sommes au-dessus de la surface de notre monde, nous oublions momentanément que nous ne sommes que des humains avec un début et une fin."
Dernière édition par la baleine le Lun 23 Jan - 16:16, édité 36 fois
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